Première visite des cachots ... En pleine nuit !

Zélie se réveilla en sursaut, elle venait de faire un cauchemar. Ce cauchemar lui rappelait son enfance, et elle détestait ça. Oui, Zélie n'avait vraiment pas eu une belle enfance, oh, bien sûr ses parents l’avaient correctement élevée, mais bon. Son visage était couvert de sueur. Ses yeux étaient remplis de larmes, elle avait pleuré dans son sommeil. La Serdaigle regarda son réveil : 2h18. Deux heures du mat’, Zélie ne savait pas quoi faire, elle était très fatiguée, elle se rallongea, mais rien à faire, le sommeil de venait pas. Elle soupira et s’assit sur son lit. Elle aurait tant aimé visiter le parc la nuit, regardait la lune comme Malicia le faisait, elle. Mais non, une balade s’imposait, puis surtout … elle devait réfléchir, réfléchir à en parler, à quelqu’un, une personne de confiance. Bien sûr elle l’avait trouvé cette personne, mais comment abordait le sujet ?

Les images de la conversation avec Lou dans la volière flashèrent dans la tête de la Serdaigle qui se leva brusquement et s’habilla en toute hâte. Faisant bien sûr attention de ne pas réveiller les autres jeunes filles de son dortoir. Elle descendit doucement les escaliers en colimaçon et observa la salle commune. Restait dans cette salle à la chaleur humaine et très accueillante ? Non. Zélie poussa lourdement le tableau, les larmes coulant le long de ses joues. Son visage d’une blancheur jamais vu sûr Zélie. Elle scruta les couloirs, pas un chien, même pas un chat, même pas Miss teigne … Zélie se détendit, personne ne viendrait l’embêtait. Pas à une heure pareille en tout cas.

Elle se retrouva dans le hall d’entrée, elle ferma ses paupières et continua à marcher les yeux fermés, elle ne fonça même pas dans un mur, non, elle se retrouva devant une porte. Elle regarda autour d’elle et ouvrit cette porte, c’était la porte qui menait aux cachots. Zélie fit une grimace, jamais elle n’était venue ici. Et elle ne voulait vraiment pas y aller le jour. Mais bon, la nuit il n’y avait personne. Aucun Serpentards, Zélie réfléchit à leur sujet, tous ne devaient pas être aussi cruels. Il y en avait sûrement certains qui étaient différents, et Zélie aimerait bien les rencontrer, juste pour voir. Zélie cligna des yeux. Tout était sombre.

Elle ne distinguait même pas les tableaux, ni les portes, ni rien du tout. Pour une fois Zélie ne fut pas prise par une crise d’angoisse, bah oui ! C’est quand même stressant de se retrouver dans les cachots, seule, en pleine nuit. Elle réfléchissait à ce qu’elle allait dire à son amie, à son amie qui l’avait tant réconforté dans la volière. Des larmes n’arrêtaient pas de coulaient, elle ne pouvait pas les arrêter, cela lui était impossible … Si seulement elle aurait pu être autrement dans son enfance. Son enfance où elle n’avait dit aucun mot. Bien sûr elle savait parlé à ce moment-là, mais elle n’avait aucune envie d’émettre un son …

Elle s’assit dans un coin sombre, ses yeux rouges horriblement gonflés. Elle essuya toutes ses larmes et ferma les yeux, il faisait frais, elle attendait … Elle était en uniforme, ses cheveux roux n’était pas coiffés, mais ils étaient propres et magnifiquement doux. Elle mit sa tête entre ses genoux, elle avait froid à présent, trop froid …

**Lysa Reilley** Nombre de messages : 189 Date d'inscription : 09/03/2006

Lysa etait de mauvaise humeur, elle avait attendu Peeves toute la nuit et aucun signe de lui. L'attente n'arrangeait guère son amabilité habituelle. Razz

La route des cachots etait assez longue, heuresement les pouffys respectaient le reglement et s'en allaient se coucher a une heure raisonnable.

Alors qu'elle etait bien engagée dans ce chemin sinueux,sombre et obscure elle crut discerner une présence.

**J'ose encore esperer que ce n'est pas un pouffy en mal de sensation forte, je ne dors jamais bien si je les approche de trop près**.

En effet, Lysa faisait de plus en plus d'efforts pour assurer sa réputation de cancre. Elle sechait les cours toute la journée et agressait tout ce qui avait le malheur de bouger pas trop loin d'elle.

Chemin faisant son intuition devint realité, une personne se trouvait bien là accroupie d'après ce qu'elle pouvait voir. Un serpentard probablement trop ivre pour parcourir le chemin de la salle commune en une fois dans sa totalité.
Lysa faillit ceder a la tentation de shooter violemment dans cet amas humain mais se reprit rapidement,après tout c'etait peut-être un de ses amis.

Elle s'approcha de plus près, ses yeux s'etaient rapidement habitués a l'obscurité, l'habitude surement.

C'est ainsi que sa surprise fut grande lorsqu'elle discerna clairement le blason de Serdaigle sur la robe de la jeune fille surement occupee a pleurnicher.

Elle resta a une distance raisonnable, Merlin sait quelles sont les reactions des desesperés.
Malgré tout sa voix etait assez forte pour etre audible par la jeune serdaigle.

Dis-moi l'intello tu devrais pas être en train d'apprendre le theoreme de Morgane la fée sur les angles des baguettes au lieu de souiller le sol de ces nobles lieux.

Si tu voulais faire de charmantes rencontres ou mieux encore te faire des amis tu t'es trompé d'endroit, nul ne viendra te consoler, tu n'es pas en territoire pouffsoufle.

Mais qu'avaient-ils donc tous a s'enteter a venir dans les cachots, la reputation des rencontres qu'on y faisait n'etait pourtant plus a faire.

Est-ce une certaine tendance a la décadence qui te pousse a rester au sol ou tout simplement un Adn mélé a celui d'un chien.
Peu importe, la reponse m'interesse nullement.

En revanche, tu te trouve sur mon chemin et bien que je n'aurai aucun remords a t'ecraser, je refuse de souiller la semelle de mes chaussures alors retire toi du chemin et tout se passera bien.

Le ton de Lysa etait las et dépourvu d'emotion, sa patience avait été tellement eprouvée aujourd'hui qu'elle se sentait capable de n'importe quoi, cette jeune fille aurait du y refléchir a deux fois avant de s'aventurer en teritoire serpentard.

Encore une nuit sans trouver le sommeil. Une de plus, une de moins, à ce stade là, la gardienne de Serdaigle s'en moquait un peu. Bien que les ronflements sonores de ses amies commencent à l'exxasperer ... Vers deux heures, n'y tenant plus de rester là, immobile, dans ses draps etouffants, la Serdaigle aux grands yeux bleus sortit doucement, sur la pointe des pieds, de son dortoir bleu et argent, et partit faire un tour. Première étape ? Où faisait-il frais ? La réponse se posait d'elle même, dans les cachots. Sans hesitations, Lou s'y rendit, tranquillement, ayant toute la nuit pour en profiter.

Lorsque la demoiselle Belacqua fut completement plongée dans l'obscurité et le froid mordant des cachots, elle pensa à sortir sa baguette, pour un peu de lumière. Mais non, elle attirerait l'attention ... il ne servait à rien de prendre des risques inconsidéré en indiquant carrement sa position au concierge. Serdaigle n'avait pas assez de points pour se le permettre. La demoiselle Belacqua continua donc d'avancer, voyant très bien dans l'obscurité la plus complete de ces cachots glacés, lorsqu'un bruit de pas, bref, raide, lui parvint. Rusard ?

La jeune fille accelera subitement, et tournant à gauche, fut brusquement ebloui par une source de lumière incongru. Elle avait failli rentrer dans une lampe torche ... malin tiens. Se retournant en clignant des yeux, la demoiselle distingua une ombre, dressé, et perçut ses dires, mordants. Aparemment cette personne agressait ... euh ... elle parlait toute seule ?

Lou s'approcha un peu plus de la silhouette, et put enfin reconnaitre son "amie" Lysa, qu'elle aprreciait beaucoup malgrè tout. Sans un mot, la seconde année sortit sa baguette, qu'elle laissa negligemment pendre le long de son bras. Se plantant juste dans le dos de la Serpentard, sans que cette dernière ne le sente, ou ne l'entende, Lou se dressa sur la pointe des pieds où apercevoir la victime.

C'était une jeune fille de sa maison, une petite rousse ... une petite rousse ... il n'y avait pourtant pas 36 000 rousses ! La jeune fille eut un hoquet de stupeur, minime, lorsqu'elle reconnue son amie Zélie, une vraie amie cette fois. Ecoutant, les lèvres pincés, les dires de la Serpentard, Lou fit doucement remonter sa baguette le long de la colonne vertebrale de Lysa. La tenant fermemant, elle repliqua, froidement, comme le fond les Serpentards.

- Lysa. Quelle charmante surprise. Je voudrais juste t'eclaircir sur quelques points que tu viens d'enoncer. Rien de bien grave, ne t'en fait pas ...

Il valait mieux faire comme si elle ne connaissai pas Zélie. Ainsi, elle ne dirait pas son nom, et Lysa ne pourrait pas la prendre pour en faire son bouc emissaire, bien cette situation soit peu probable. Toujours aussi calmement, la demoiselle continua.

- Primo Lysa, tu ne peux absolument pas appelé cette jeune fille "intello", bien que je sois sur que comme moi, elle se rende parfaitement compte du compliment que tu lui adresses. Je ne vais pas t'expliquer pourquoi, tu ne comprendrais pas, je prefère te parler simplement.

La Serdaigle aux grands yeux bleus fit une petite pause des plus théatrale, puis reprit.

- Secondo, ma chère, nous sommes en territoire Poufsouffle. Bien que je pense qu'avec toi dans les parages, ils évitent ces lieux comme la peste mais ... mais ... Effectivement, leur dortoir se trouve ici, dans les sous sols. D'ailleurs, vu de quelle mauvaise humeur tu es, tu dois en venir. Tu es encore aller quemander des baisers qu'ils t'ont refusé, c'est ça ? Alala ... Laisse faire les choses Lysa ... Bref, je ne vais pas t'embeter, chacun ses fantasmes.

Lou sourit hypocritement dans le dos de la Serpentards, dons la nuque s'était raidit, avant de poursuivre, sans se departir de son calme legendaire, mais se demndant si elle n'avait pas été un peu trop loin.

- Troisio, et tu te trompes sur tes deux propositions, tu as tout faux ! Si cette pauvre demoiselle est ainsi terrorisé, au sol, j'entends, c'est qu'elle ne veut se mettre à ta hauteur, pour ne point respirer ton halène putride. C'est un choix comme un autre, moi je me suis mis derrière, tu vois.

Lou pressa sa baguette sur le dos de la Vert et Argent, puis relacha quelque peu son emprise, avant de finir, redoutant les repliques.

- Allez Lysa, tu es fatigué. Va te coucher, que je puisse ramener cette première année au dortoir.

**Lysa Reilley** Nombre de messages : 189 Date d'inscription : 09/03/2006

Lysa laissa echapper un rire froid et denué de toute émotion.

Bravo belacqua et merci de me donner la preuve de ton courage en m'attaquant par derrière justement je me disai cette situation manque d'une imbécile venu jouer les héros.

Bon tu vas me dire je n'en attendais pas moins de toi, une petite sotte qui veut faire la grande mais qui n'arrive a tenir l'illusion que peu de temps.

La voix de Lysa reprit son ton habituellement ironique et enjoué.

Ensuite ma chère petite bien que je ne sois pas là pour t'eduquer sache que l'on dit tercio et non pas troisio. Si tu veux donner des leçons tu devrais d'abord apprendre a parler ta propre langue.

Cette fois-ci Lysa riait vraiment devant le ridicul de la situation. Elle ne pouvait apercevoir le visage de la serdaigle mais sentait parfaitement la présence de sa baguette le long de sa colonne vertébrale.

Dis moi Lou je peux t'appeler comme ça après tout on en est dejà au prénom toi et moi, nous sommes presque amie, enfin nous le serions si j'acordai de l'importance aux bécasses de ton espèce.

Donc je disai ma chère amie je ne peux pas aller me coucher ta présence me manquerait trop, une fille qui ne sait pas parler et qui attaque par derrière je ne peux pas m'en passer.

Dis moi tu ne serai pas une de ces serpentards refoulées trop faible pour y être acceptée?

Lysa baissa les yeux vers l'autre serdaigle toujours a terre.

Ce dechet est de ta maison? Mais je t'en prie debarasse m'en nous n'avons nul besoin de paillasson dans les cachots.

Lysa avait plongé sa main dans sa poche ou elle avait rencontré sa baguette. Certes Belacqua etait derrière elle mais elle n'etait pas du genre a declarer forfait si rapidement encore plus face a une serdaigle.

Bien Belacqua je ne voudrai pas que tu doutes que ta conversation de gobelins transgénique ne m'interesse pas mais je n'ai que trop toléré ta présence chez les serpentards. La prochaine fois que tu voudras jouer les héros fais le de face au moins tu pourras te vanter de tes exploits.

Malgré le ton se faisant menaçant Lysa etait relativement calme, pour l'instant c'etait la seule option qui lui etait ouverte bien qu'elle en ait vu d'autres. Aussi, le moindre de ses sens etait en eveil masqué par son apparence nonchalante.

[ Shame on me pour le tercio Embarassed

]

Mouhahaha ! Quel plaisir d'avoir de nouveau à faire avec Lysa ! Cette Serpentarde était diaboliquement géniale ! Pas très intelligente, et manquant de repartie, recssant souvent la même chose, mais tout de même drole, on ne pouvait que s'en rendre compte. Esquissant un sourire de pitié envers la pauvre Serpentard, trop stupide pour se rendre compte que ce qu'elle disait était ridicule, la jeune fille, tenant toujours sa baguette, mais ayant relaché sa pression dans le dos de sa camarade, reprit tout aussi calmement, avec un ton froid, recommadé d'utiliser avec les Verts et Argents.

- Moi courageuse ? Merci, je n'ai aucune besoin de comparaison avec les Gryffondors, je m'en passerai. Mais TOI, il ne fait nul doute que tu dois etre en extase devant ton propre courage : c'est vrai, quoi de plus impressionant que de s'attaquer à une première année, déjà au sol, et qui plus est afaibli. Tsss ... Tu m'excusera d'agir avec toi comme une lache, mais ainsi, nous sommes à armes égales. Moi qui te menace de dos, avec ma baguette, et toi, qui menaces plus jeune que toi ...

Son regard descendit à la hauteur de la poche de Lysa, et la seconde année surprit son poing, serré autour de sa baguette. Prete à attaquer, ou à se defendre.

- Avec ta baguette. Mais je ne t'en veux pas. Nous savons toutes deux que vous autres Serpentards êtes comme ça ... C'est dans votre nature ... Que veux-tu ... je m'adapte.

Lou ignora la remarque à propos de son erreur de langage. Elle avait fait une bourde, comme tout le monde, et ce n'était pas la peine de relever ce genre de détails.

- Une Serpentard refoulée ? Moi ? C'est trop d'honneur, très chère.

Fit la jeune fille, ironique.

- Mais je vais repondre à cette question des plus interressantes, car comme l'a dit ~~Emma Zanzibar~~ Rowena Serdaigle elle-même, "Les Serpentards posent des questions, et les Serdaigles y répondent". C'est beau hein ? Tu te coucheras moins bète ce soir, comme ça ! Bref, pourquoi je ne suis pas dans ta maison ? Tout simplement, parce que je suis une pure Serdaigle. Et que si nous sommes les moins nombreux, c'est que notre maison recquiert des qualités hors du commun : une intelligence au dessus de la moyenne, des connaissances etonnantes ainsi qu'une vaste culture générale, une faculté d'apprentissage, et d'adaptation extraordinaire, des pouvoirs puissants, et une ecrtaine facilité à reflechir vite et bien, et à trouver des solutions à chaques problèmes. Impressionant, n'est-il pas ? Bref, et c'est parce que moi je rempli tout les critères, que je m'y trouve. Ou alors, le choixpeau à tiré au sort, et c'est du au pur hasard.

Lou se dessina une sourire hypocrite grandiose avant d'ajouter, murmurant dans l'oereille de sa Lysa.

- Mais ça m'etonnerait !

La Serpentard declara alors qu'elle voulait partir ! Alors que quelques instants auparavant, Lou lui aurait trop manqué. Toujours certie de son sourire faisant face à toutes les epreuves, la seconde année s'exclama, faignant la surprise.

- Quoi ? Dites donc tu ne seras pas un peu contardictoire toi ? Effectivement, il y a de ça quelques instants tu assurais que ma presence te manquerais. Mais soit, tes desirs sont aussi les miens. Je te souhaite donc une bonne nuit, c'est ça ? Bon.

Lentement, la Serdaigle recula, sa baguette toujours pointé sur Lysa.

[Pour l'amour du ciel attendez mooooi Sad

Chacun son tour, donc ça fait : moi, Lysa et Lou oki ? ]

Zélie avait entendu des pas, une Serpentard. Zélie ne pleurait plus, elle leva les yeux vers la fille ... Si on pouvait appeler ça une fille bien sûr. Zélie se leva, elle n'avait peur de rien à ce moment, ses yeux rouges plein de tristesse et ses mains serrées pleines de rage. Elle se mit face à la Serpentard et lui répondit d'un ton froid.

Dit moi la chose, je dirais que tu ne t'es pas vu depuis bien longtemps, fiche le camp, va te laver !

Elle n'avait pas dit ça pour la provoquer, mais juste pour pouvoir entendre le son de sa voix, pour peut-être la dernière fois. Puis Zélie rit d'un rire franc.

En effet j'étais ici pour me faire des amis, mais vu que tu es là maintenant, cela me donne plus du tout envie.

Zélie passa la troisième phrase de la chose. Elle n'avait pas sa baguette en mains, mais aucune importance, par contre, la rouquine s'intéressa beaucoup à la dernière phrase de cette ~~fille~~ chose.

Je te dirais aussi que j'étais là avant toi, oh ! Peut-être que tu y étais il y a quelques heures pour aller dans ta "charmante" salle commune, mais comme dit le proverbe : Qui va à la chasse perd sa place. Puis, tu n'as pas besoin de salir tes chaussures. Tu as surtout besoin de les nettoyer un peu.

Peut-être que cette chose allait l'attaquer, mais Zélie ne put y réfléchir plus longtemps, Lou était juste derrière la chose. Lou fit une leçon à la chose nommé Lysa ... Ahem, Zélie sortit sa baguette, et écouta Lou, mais ne dit rien, elle écouta par contre plus attentivement la chose quelques secondes après.

Tu ferais mieux te t'intéresser aux Serdaigles, parce que les bécasses comme tu dis, eux au moins ne ce font pas ridiculisé par des autres personnes. Parce que là tu es vraiment ridicule ! Alors je crois que tu peux aller dormir dans ton lit.

Puis, le déchet, il appartient à Serdaigle, serais-tu daltonienne ou pas assez intelligente pour regarder les blasons ? Et tu devrais apprendre à ne pas dire de sottises ma jolie, car tu viens de dire que la présence de Lou te manquerait de trop, mais tu lui dis de partir pour que tu puisse être en paix. Enfin ... Les Serpentards arrivent toujours à leurs fins, mais est-ce qu'ils en sont capables hein ?

Zélie ne dit rien de plus, de toute façon cette chose la dégoûtait de plus haut, elle en avait rien à faire ...

**Lysa Reilley** Nombre de messages : 189 Date d'inscription : 09/03/2006

Lysa rigola de plus belle, voilà que Mademoiselle je fais-le -dechet-en pleurnichant par terre venait de se reveiller et redisait les mêmes bêtises que sa camarade ce qui etait relativement terriblement affligeant.

Dites vous avez décidé de faire un concours de stupidité ou est-ce la définition du mot ironie que votre cerveau n'est pas capable de comprendre.
Il faut vraiment tout vous expliquer rajouta Lysa en prenant une voix semblable a celle que l'on prenait lorsque l'on s'adressait a de jeunes enfants.

Alors je vous félicite, une ne sait pas parler et l'autre n'a pas d'idée ni de reflexions, mais quel débat interessant nous pourrions avoir le soir au coin du feu.

Lysa leva un sourcil toujours amusée par la situation.

Je précise pour vos demi-cerveaux cette dernière phrase etait totalement ironique.

Lysa etait reellement deçue par ses pauvres serdaigles qui voulaient jouer aux malines mais qui etaient totalement incapables de comprendre leur propre langue et qui visiblement ne jouaient pas au même niveau qu'elle même.

Enfin bon, un jour un magicien celèbre a dit qu'il ne fallait pas s'abaisser au niveau des faibles mais l'élever au sien, je voudrais bien vous apprendre la vie et les nuances de votre propre langue mais j'ai bien peur que dans votre état il vous soit incapable de progresser.

Alors la prochaine fois que vous voudrez paraître intelligente adressez vous aux murs ou a votre miroir de cette manière pas le moindre doute vous pourrez faire illusion.

Maintenant je vais vraiment y aller je commence a fatiguer, a chaque discussion avec toi Belacqua c'est la même chose il faut que je t'explique le moindre sens de mes mots tu comprendras aisemment que ce soit terriblement lassant a la fin.

Lysa commença a s'eloigner puir regarda un sourire moqueur aux lèvres les deux serdaigles ,toutes deux baguettes en main.

Alors , ma chère amie surtout n'hésite pas a revenir me voir quand ton cerveau se sera developpé je serai ravie de reprendre là ou nous en étions.

[ Desolée, c'est très court ]

Le visage de Lou devint quelque peu livide durant le discours de Zélie : la petite n'utilisait pas du tout la bonne technique. Avec les Serpentard, c'était ironie, sang-froid, ironie, pique, ironie. Et en plus, Lysa la regardait maintenant comme un vrai déchet. Au moins Reilley ne connaissait pas le nom de la jolie Serdaigle, elle ne pourrait s'acharner ...

Lorsque Lysa eut terminé son petit discours d'adieu, Lou avait depuis bien longtemps retrouvé son sourire hypocrite fabriqué spécialement pour la Serpentard, ~~importé de France.~~ Alors une fois que cette dernière est cessé de debiter ses anneries, la gardienne de Serdaigle reprit la parole, son ton glacial, calme et sereine, comme toujours face à Lysa.

- Le concours de stupidité, tu l'as gagné depuis longtemps. Et l'ironie est avant tout une forme humoristique qui consiste à dire l'inverse de ce que l'on pense, tout en rendant évident que ce que l'on dit est en désaccord avec ce que l'on pense. Au tu n'étais pas ironique, puisque tu n'étais pas drole, et que je doute que tu penses. Merci bien, je sais parler, mais beaucoup de langues, et il nous arrive à tous de parfois nous melanger. Enfin non ... pas à toi ... toi c'est tout le temps.

Lysa commença alors à reculer. Et Lou, quant à elle, éclata de rire devant le ridicule de la situation.

- Quoi ? Tu veux t'en aller ? Enfin ! Depuis le temps qu'on te l'a demandé. Tout vient à qui sait attendre, donc ... Enfin, ma chère, toi non plus n'hésite pas à venir me voir quand tu seras utiliser le tien ... Allez, à la prochaine Lysa ! Et ne t'attaques plus aux prémieres année de Serdaigle ... Il te reste deux autres maisons, ça fera bien l'affaire ?

Lysa était en train de partir, tant mieux, Zélie ne supportait vraiment pas sa présence, elle la détestait maintenant, pire que Tiphanny, qu'elle appréciait plus ou moins !! Bref ... Zélie était devenue pâle, elle se retrouvait maintenant seule avec Lou, est-ce que c'était le moment ? Non, elle attendrait encore un peu. Ca allait encore trop vite pour elle. D'accord Lou était très gentille, mais peut-être qu'elle se fichait complètement de la vie de Zélie, enfin, son passé.

Zélie ne sût quoi dire, elle voulait quitter les cachots, allait se reposer dans la salle commune, sentir la chaleur de la cheminée, oui, car Zélie avait maintenant très froid, cet endroit était trop trop frais. Et elle n'aimait pas du tout ça, et puis, Lou et elles risquaient de tomber sur Rusart, et ça, Zélie ne le souhaitait vraiment pas !

Alors la jeune Serdaigle rangea sa baguette et se mit face à Lou. Son amie qui avait pourtant dit que si Zélie avait besoin de parler elle serait là, eh bah oui, là, Zélie avait besoin de parler, et surtout à Lou. Lou qui s'était rendu compte qui se passait quelque chose dans la tête de la rouquine.

Zélie prit par la main la deuxième année et dit d'une voix froide :

Viens, on ne devrait pas rester ici, Rusart est sûrement dans les parages. On va dans la salle commune.

Mais avant que Zélie commence à marcher, elle attendit une réponse de son amie, on ne sait jamais, peut-être que celle-ci n'avait pas très très envie d'aller dans la salle commune ...