Identité

*Nom: Méryona

*Prénom: Dante

*Age de vôtre personnage : 11 ans

*Age du posteur (au moins 14 ans) : 15 ans

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Dante était une jeune homme d'une carrure robuste mais assez maigre au demeurant. Il avait de long cheveux noirs profonds aux reflets bleuté et des yeux pourpres sombres qui affinait à merveille son visage. Sa peau laiteuse faisait ressortir ses lèvres sayantes. Il était plutôt grand pour son âge mais sa famille l'avait voulu ainsi et, pour lui, c'était un aventage à ne pas prendre à la légère et plus qu'apparent de sa supérioté croissante. Il était souvent de noir vêtu mais à celà il préférait l'élégance des couleurs fraiches et assez neutre à l'occasion. Le visage fermé du garçon affirmait une confiance en sois apparente et une difficulté à se dévoiler. Mais malgré celà, Dante était un élève appliqué et l'apparence qu'il se donnait ne résumait en rien la personne froide et distante qu'il était. Dante n'avait jamais voulu le pouvoir, il y avait été résigné. Son air de démon laissait indifférent ses parents qui l'avaient dressés comme un animal destiné à obéir. Sous ses airs démoniaques, il adorait le charme des femmes, surtout celui de sa mère qui avait admirer depuis longtemps. Mais il ne s'attaderait pas à n'importe qui. Le charme qui opérait pour sa propre convoitise était très rare. Se jouer des gensétait l'un de ses passes temps et les conséquences de ses actes l'enivraient de plaisir.

Le caractère de Dante était peu commode et, se refusant aux autres, on aurait pu le comparé à un loup errant, solitaire et perdu dans un monde qui ne lui avait jamais convenu. Il était indifférent aux autres et on avait tôt fait de lui reprocher. L'adolescent était souvent instable et son humeur tantôt paisible pouvait en tromper plus d'un. On disait souvent que le dragon, pour attraper sa proie, finissait toujours par se déguiser en un autre pour tromper sa vicitime. Dans sa façon d'être envers les autres, il semblait évasif mais dangereux. Chacun devait savoir qu'il était une menace.

Le première année paraissait pourtant mûr à première vue mais il ne crachait en aucun cas sur une façon humiliante de réduire les autres à ses pieds. Son coeur ne se résumait qu'à un charme mélancolique et dévoué avec lequel il se servait pour s'attirer l'attention d'autrui. Il avait du charme, le même que son père, qu'il avait tant admiré. Dante n'appréciait pas les autres, les trouvaient si insipides et sans interêt. Il ne le comprenait pas, ne le tenait pas pour ami. Mais malgré sa démarche assuré, l'adolescent avait le coeur déchiré, déchiré par une amitié qu'il croyait sincère mais à jamais brisé.

L'héritier Méryona était un enfant touche à tout. Elevé par sa mère, il goutait peu à peu aux joies de l'enfance sans se douter que son bonheur prendrait bientôt fin. Après que son père ai été tué dans une atroce affaire par un auror, sa mère tomba violament malade. Malade de déspespoir et de vivre. Elle tomba malade peu de temps après et on l'a transfera dans un hôpital au centre de la Bretagne. Il n'y avait plus aucun espoir qu'elle redevienne comme avant. Aussi vivante et belle qu'elle fut, elle en était réduit à un état néfaste et dégradant. D'après le médecin qui vint le voir après sa première visite, on l'a tenait en vie grâce à un sortilège complexe qui l'a mettait dans un état second, il fit prendre conscience à Dante qu'il n'y avait plus d'espoir qu'elle revienne un jours avec un esprit sain et qu'elle puisse se débrouiller seule d'elle même. On lui conseilla de la laisser mourir en paix, de la laisser rejoindre sa famille. Mais Dante refusa, il aimait trop sa mère pour la laisser partir aussi bêtement. Laissant son fils unique, héritier de ses biens, dans le néan et l'insouciance qu'on venait de lui dérober. Adopté par une famille de moldu, Dante n'avait jamais pu supporter cette espèce de taudit dans lequel son père l'avait laissé. Les fugues à répétition fit de Dante un garçon fuyant et renfermé. La rage nacquit dans son coeur, et bientôt, le dévora en une plainte silencieuse, et que le jeune garçon sobstinait à faire taire. Ses pleurs, son enfance, ses parents, tout était mort. Le jeune garçon, en revevant de l'école, passait chaque jours voir sa mère et la soignait du mieux qu'il pouvait mais celle-ci n'ouvrait jamais les yeux. Mais lui, qui l'avait aider? Personne, il le savait. Il avait du faire seul le trajet difficile et pénible d'une vie déjà tracé par son père, le mal l'attendait au bond du chemin. Il devait lui faire honneur, alors qu'il l'avait lachement laissé au dépourvut.

Sa mère, Kate Jones était une femme merveilleuse. Elle cultivait l'image de marque de la famille avec le sourire qui faisait depuis longtemps son charme. Des cheveux noirs corbeaux et des yeux bleus océans ravissaient le regard de tout ceux qui pouvait l'apercevoir, de près ou de loin.Kate avait, elle aussi, été élevé selon les principes des Jones et de leurs dignes lignées et ne savait que trop ce qu'on endurait après ce lavage de cerveau. Elle avait été malheureuse toute sa vie, aimant un homme froid comme la glace et qui ne portait son regard que sur le pouvoir qu'il pouvait obtenir.

Quand à son père, Scott Méryona , c'était un homme ténébreux résigné au mal pour nourrir sa famille. Dans sa jeunesse, Scott détenait une beauté digne des dieux. Des cheveux bruns clairs et des yeux noirs faisaient de lui un homme envié et confiant qui faisait l'admiration de son fils.
Dante était enfant unique. Seul héritier des Méryona, il doit à jamais perdurer, l'image de perfection des Méryona. Ce qu'il avait assumé, jusque là, avec amertume et courage.

Dante venait de passer le voile magique qui le conduisit dans l'allée du Poudlard Express. Il fixait le train sans vraiment en être ébahit. Il s'attendait à mieux par apport à ce qu'on lui en avait dit. Le panache de fumée noire qui se dérobait du train permettait au voyageur d'être discret. Des hombres se dévoilaient grossièrement. Il tenait serrer dans sa paume le plan magique que lui avait donner le jeune homme du ministère pour trouver l'emplacement du train. Il ramena ses cheveux en arrière. Il paraissait neutre de sens, il était conscient qu'il se trouvait devant la dernière étape pour accéder à Poudlard mais celà ne l'emplissait pas de joie. D'ailleurs, çà ne l'avait jamais emplit d'un quelconque sentiment de se voir enfermer à Poudlard ou à l'orphelinat. Mais là, il laisserait beaucoup plus de chose passé, il y avait tant à découvrir, tant de gens à connaître et à haïr. Car il aimait ce sentiment qui s'était emplifier avec le temps. La rage de vaincre et de voir vaincu. Il s'avanca, trainant derrière lui une valise lourde de sens et de préjugé.

Il observa les personnes autour de lui. Certains élèves embrassaient leurs familles, d'autres les saluaient d'un signe de main dans le train, plusieurs laissaient apparaître leurs tristesses mais affichait un air fier. Il détourna son regard de la foule et regarda le paysage, lointain et brumeux. Des gouttes de pluie se mirent à tomber. Il prit sa baguette et jetta un sortilège d'imperméabilité sur ses vêtements. Il aimait la pluie sincérement, le bruit que produisait celle-ci en mourant dans le verre épais du train.

Il leva son visage vers le ciel, gouttant au plaisir de la fraicheur que produisait l'eau sur sa peau laiteuse. Les parents, nerveux, filaient, les jambes à leurs coups, adressant un dernier signe d'affection à leurs rejetons.

Soudain, le train siffla en un cir étourdissant, signe d'un départ imminent. Il enjamba l'escalier et monta dans l'espace restreint du couloir. La chaleur était presque étouffante pour lui. C'est pourquoi il décida de précipité le choix du compartiment où il s'éjournerait pendant plusieurs heures. Il était sûr de ne pas vouloir d'une pipelette qui n'arreterait ses questions sous peine d'un sort. Comme si la malchance le précédait, les dix premiers compartiments étaient remplit d'élèves surexités, qui ne pouvait lui convenir aucunement. Brusquement, les bruits laissèrent place au silence, il était annéantit, il entrerait dans le premier qui venait, même s'il devait voir proliférer ce sentiment de violence gratuite en lui. Il entra donc dans le 11 compartiments, qui, par chance était totalement vide. Il posa sa valise à ses pieds et s'asseya lourdement dans le fond du siège, assez confortable à son goût. Il ferma les yeux, cette journée était épuisante, et demain ne s'annoncait pas plus simple. Mais quelques choses lui disaient que cette journée n'était pas finit, et que le calme qui se faisait ressentir n'était qu'éphémère.

Enfin, il arriva devant l'immense porte en chêne. Il entra suivant sans interêt la foule d'élève de première anné qu'il ignorait superbement.

Après une longue liste d'élève, ce fut à présent son tour de mettre l'espèce de vieille chose rabougri qu'était le sois disant choixpeau sur ses cheveux noirs. Ses yeux noir fixèrent un instant l'objet qui s'anima. Il hésita un instant, il était prit de dégoût. Mais il avait vu pire et se contenta d'observer l'objet avec beaucoup d'interêt. On appella son nom d'une voix forte. Il jetta un regard à la femme qui lui rendit cellui-ci, le regard froid et détestablement stricte. Elle le poussait à s'avancer.

- Méryona Dante

Il s'avanca. Curieux de savoir vers quel chemin le chapeaux le mènerait.

[ Je reconnais que, cette fois, j'ai fait un rien trop long. Désolé, mais quand je me met à écrire, plus moyen de m'arrêter. Désolé pour le choixpeau, j'ai été un peu dûr sur ce coût là. ]

Huuummm ...



Je dirais ...



SERPENTARD !!




(Aucun problème, Au contraire^^)