Une fois n'est pas coutume , Erylis entra dans la bibliotheque d'un pas determiné , suivit de son chat . Il était tard , et plus personne ne se trouvait encore dans ce lieu.Elle chercha les rayons ou étaient entreposés les livres qu'elle voulait et trouva deux rangée entiere consacrée a ce sujet.
Elle leva les yeux aux ciel .

"Ben voyons ..." grogna elle.

Elle en pris une dizaine , totalement au hasard et s'installa confortablement sur un fauteuil , les pieds sur la table basse . Bastet , sa chatte , avait décidé de monter la garde , montrant ses crocs et sortant ses griffes des qu'un eleve avait l'idée de s'approcher un peu trop , ce qui arrangeait bien Erylis.
Elle feuilletait les livres , cherchant les plus interressants , balancant a travers la piece ceux qu'elle n'aimait pas. Au bout d'un moment , elle s'arreta , sans avoir trouver ce qu'elle cherchait. Elle ferma les yeux , avec la ferme intention de continuer ses recherches apres 5 minutes de pause , mais s'endormit. Sa tete retomba sur son épaule , et des meches de cheveux sur son visage.
Elle dormait profondement. Soudain son corps fut secoué de spasmes violent. Inconsciement , la jeune fille rejeta sa tete en arriere , la cognant violement avec l'accoudoir de son siege. Les yeux résulvés , incapable de controler son corps et ses gestes , elle tomba de son fauteuil. Alors qu'elle était toujours secouée de mouvements convulsifs , un sang rouge et épais s'écoulait lentement de sa tete sur le tapis.

Nymphadora parcourait les couloirs menant à la bibliotheque, depuis le double meurtre la securité etait de mise et la surveillance en etait donc decupler.
Elle arriva devant la bibliotheque et poussa la porte pour verifier qu'aucun élèves ne trainer dans le coin. Elle ne vit rien d'apparant mais decida d'aller jusqu'à la reserve pour verifier. Elle parcoura donc les etagères et vit à l'angle une jeune fille qui a première vu sembler dormir allonger sur le sol, Nymphadora decida donc de la reveiler pour la ramener dans son dortoir, mais plus elle s'aprocher plus elle vit une tache rouge qui n'avait rien avoir avec de l'encre s'etaler autour de la jeune fille. Elle se precipita à ses côtés et vit qu'elle s'etait blesser à la tête et qu'elle etait parcouru de spasmes.
* Non mais c'est incroyable ils se blessent tous ici !! je peut rien y faire je sai pas ce qu'elle a ... L'infirmerie !!*
Nymphadora decrocha sa cape qu'elle pressa sur la coupure qui saigner abondament.
*Mobilos corpus * pensa t'elle en fesant un moulinet avec sa baguette. Nymphadora se redressa en même temps que le corps de la blesser qu'elle reconnu comme etant Erylis Sayan, etudiante de serpantard. Elle apuyait toujours sur la coupure tendit qu'elle marchais d'un pas vif vers la sortie le corp de Erylis flottant devant elle...

Rusard venait inspecter la bibliothèque pour s'assurer qu'aucun élève ne s'y trouvait seul à cette heure tardive, quand il se retrouva nez-à-nez avec un professeur qui escortait un élève inconscient à l'aide d'un sortilège.
il se précipita pout constater des dégats. La jeune fille saignait abondemment à la tête et Rusard fit une grimace en la voyant.

Bon sang ! Que s'est-il passé ?

Il songea avec 5 secondes de retard qu'il devait aider la jeune femme à la conduire à l'infirmerie...

* ... L'INFIRMERIE ?! ... Inespéré ! Merveilleux ! Magnifique ! Quelle aubaine cette élève ! *

Son visage s'éclaira quand il se rendit compte que c'était l'occasion de voir la dame de ses pensées... en d'autres termes sa chère infirmière ! ^^
Il se réjouit tellement à cette idée qu'il ne put se résoudre à attendre qu'elle convoie l'élève de cette manière, trop lente à son goût !
Il arracha Erylis au sort en se jettant sur elle pour la prendre dans ses bras, marmonant une explication au professeur d'un air peu préoccupé par l'état de la fillette, en fait.

Vous allez mettre une éternité en vous y prenant de cette manière ! Laissez-moi faire !

Sans attendre, il commença à courir vers l'infirmerie, le plus vite qu'il le pût avec cette charge pesante. Il semblait extasié, comme s'il était déjà face à Chelsy. A vrai dire, il semblait comme dans une sorte de transe. Cela contrastait étrangement avec son air d'habitude renfrogné et malveillant. Il était heureux, d'une certaine manière.

A l'infirmerie ! A l'infirmerie ! Viiite !