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 Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]
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MessageSujet: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyDim 11 Jan - 17:12:37

Ce n’était pas nouveau pour le garçon de déambuler seul dans le dédalle de couloirs du château, de s’y perdre, même, dans certaine occasion, d’y noyer ses soucis pour se sentir moins cloitré, moins coincé au pied du mur, car, en effet, il était bien coincé avec toute cette histoire d’interrogatoire et tout ce qui s’en suivait. Ça lui apprendra aussi à faire la pire des bêtises qui soit… Soit celle de tuer quelqu’un… Seul avec sa solitude, cette situation lui paraissait tristement triste à constater. Le garçon n’avait jamais été très fort pour créer des liens d’amitié avec les autres. Résultat? Il se retrouvé seul et, pour bon nombre, détesté parce qu’il était différent d’eux sur bon nombre de points, entre autre parce qu’il aimait la divination et qu’il y était plutôt fort… Aussi pour ce physique qu’il avait qui agaçait beaucoup, sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, en fait.

Le jeune garçon ne savait plus s’il devait se soulager à l’idée qu’on ne l’avait pas encore déniché sur son histoire un peu sordide, où s’il devait avoir envie de se faire prendre juste pour se convaincre qu’au final, il pourrait avoir l’esprit plus tranquille. Sentant cette vague d’étourdissement si habituelle chez lui, il cru bon d’aller prendre l’air… Aussi se permit-il de sécher cours pour se rendre à l’extérieur, trainé dans le parc. Il fut fouetté par le vent hivernal qui s’engouffrait dans sa chevelure d’ébène. Il se serra un peu dans ses vêtements, remontant son écharpe jusqu’en dessus de son nez. Glissant se mains nues dans les poches de son pantalon, il s’avança dans l’air froid de l’hiver. Il ne neigeait pas, mais le vent soulevait celle reposant sur le sol en un petit tourbillon. En avançant, il laissait quelques traces de pas derrière lui. Ce n’était pas volontaire, mais si on le cherchait, il serait très facile à retrouver…

Très rapidement, les pas nonchalant du jeune garçon le guidèrent jusqu’à l’orée de la forêt interdite. Il n’y avait encore jamais mis les pieds. Il ignorait donc à quoi s’attendre s’il y pénétrait. Mais l’envie était plus forte que lui, et la tentation, n’en parlons même pas. Il jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Seul. Comme toujours. Aucune silhouette ne se découpait à l’horizon. Un silence silencieusement silencieux. Il n’y avait rien d’autre. Il se retourna vers les premiers arbres qu’il n’avait pas encore dépassés. Devant lui s’ouvrait un petit chemin qui, de toute évidence, n’avait pas beaucoup servit depuis un bon moment, déjà.

Il haussa les épaules… Tant pis pour les règlements… Mais des règlements, justement, c’était fait pour être brisés. Il avança donc lentement et pénétra dans la forêt interdite. Seul. Du moins le croyait-il… Il avançait entre les ronces, les branches des arbres recouverts d’un épais tapis de neige, le sol gelé craquant sous chacun de ses pas. Et ce calme… Ce calme qui l’apaisait, qui lui changer les idées, qui l’envoyait sur une autre planète dans l’espoir d’y trouver peut-être quelque chose de mieux qu’ici. Il entendait parfois le cri d’un oiseau, au lointain, ou la plainte du vent qui cherchait à s’engouffrait dans l’épaisseur des bois.

Lorsqu’il s’arrêta enfin, et se retourna, il ne reconnu plus l’endroit. Et bien bravo, il avait bien réussit son coup! Il n’était même plus sur le petit sentier. Il avait du le quitter quelques instants plutôt. Aussi cru-t-il préférable de faire demi-tour, revenir sur ses pas, pour ne pas se perdre davantage dans la forêt. Mais rien… Il ne trouvait plus le sentier…


**Bien joué! Tu t’es encore mis dans une situation pas possible!**

L’adolescent fit glisser sa baguette, cachée dans sa manche, jusqu’à sa main gauche. On ne sait jamais, même s’il doutait qu’elle ne lui fut d’un quelconque secoure, étant donné le peu de sortilèges qu’il connaissait. Et vu la noirceur des lieux, sans doute n’aurait-il même pas le temps de penser à lancé un sort s’il se faisait attaqué… Tant pis… Il s’avança, un peu méfiant, entre les arbres. Il avait cru entendre quelque chose, près de lui, une respiration, mais il se convainquit qu’il n’avait s’agit que d’un autre coup de vent qui cherchait à l’effrayé. Non, il ne l’était. Il était bien plus exaspéré que craintif de la situation dans laquelle il se trouvait en cet instant même.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyDim 11 Jan - 21:34:59

Qu’elle était cette ombre dans les feuilles de la forêt interdite ? Qui était le personnage qui se déplaçait comme un loup entre les arbres ? La cape volait derrière celle qui la portait, tourbillonnant et soulevant les feuilles mortes sur son passage. Feuilles mortes… Mortes comme les nombreuses victimes de cette personne, morte comme le cadavre qu’elle laissait plus loin dans la forêt, morte comme elle avait tué sa mère, morte comme tous ceux qui osaient se mettre en travers de son chemin. Le capuchon relevé sur la tête de la personne, seules quelques longues mèches bleues-grisées longues arrivaient à être découverte, la tête basse la silhouette se frayer un chemin à travers les ronces et les arbres noueux de cette forêt maléfique. Les quelques rares animaux la regardait passer sans s’approcher d’elle, comme s’ils avaient peur de ce qu’elle était, de ce qu’elle renfermait. Seul l’animal de gaie qui la suivait au dessus de sa tête n’avait pas la moindre once de frayeur. Le corbeau restait dans le sillage de sa maîtresse, posant son œil noir et vif sur elle. Les rares personnes pouvant s’approcher de cette personne connaissaient cet animal, aussi intelligent et noir que sa propriétaire. C’était lui qui avait emmené les lettres, les fameuses lettres écrites le soir à la lumière de la bougie pour permettre à sa maîtresse de rejoindre les rangs du seigneur des Ténèbres. L’animal regardait derrière lui pour voir si personne ne suivait, si personne n’avait vu la macabre séance à laquelle il venait d’assister…


***************
Flash Back



Mizore regardait par la fenêtre se sa chambre, dans son manoir de campagne. Depuis combien de temps vivait-elle ici, seule ? Depuis combien de temps martyrisait-elle les gamins qui osaient s’aventurer dans cette demeure, croyant y trouver quelques fantômes. A chaque fois ils n’en avaient trouvé aucun, mais étaient tombés sur quelque chose de bien pire. Le démon, le diable enfermé dans ce corps fin et léger. La jeune femme soupira, elle s’ennuyait tout de même, les querelles de familles ne l’intéressaient pas mais le manoir familial lui manquait. Cependant, elle savait qu’elle ne pouvait pas revenir. Si elle devait aller quelque part, c’était au repère, dans sa chambre mais pas chez son père. Celui-ci faisant maintenant partit de l’Ordre du Phénix, ou du moins elle s’en doutait, comme lui se doutait qu’elle faisait partie des mangemorts, elle ne pouvait certainement pas se présenter devant lui au risque qu’il la dénonce et l’enferme. Elle devait être sûre avant qu’il ne lui ferait rien s’il le savait. Mais comment en être sûre ? Mizore recula de la fenêtre, un violent mal de tête la prenant d’un seul coup, elle savait ce que cela signifiait. Sans paroles, comme de plus en plus souvent ces temps-ci, son autre elle prenait le contrôle de son corps. Cette dernière avait changé son mode d’utilisation depuis quelques semaines. Plus méchante, plus violente qu’avant. La jeune femme se dépêcha de sortir du manoir, se tenant la tête dans les mains. Elle devait prendre une potion pour ça cesse… Mais elle n’en eu pas le temps… Au bout de quelques mètres, elle s’affaissa sur le sol, hurlant comme une démente, arrachant presque ses cheveux avec ses mains crispées sur sa tête. La douleur était insupportable, elle prenait un malin plaisir à la torturer, à lui faire sentir sa présence. Quelques minutes plus tard, la jeune femme parut se détendre, elle se relever et défroissa doucement sa cape, elle regarda la lune un moment avant de tourner les talons, relevant son capuchon sur sa tête, sa cape pourpre volant dans son dos. Elle transplana en direction des quartiers mal famés de la ville la plus proche, un seul œil pouvant avoir été remarqué, bleu foncé avec une lueur démente. Elle partait en chasse, elle la démon, l’effroyable chose que la terre avait porté en son sein. Cette chose que personne ne pouvait vraiment contrôler.



Une ruelle sombre, dans la ville, le quartier le moins fréquentable, une silhouette se déplace légèrement, cherchant la trace de sa proie. Son œil bleu foncé luisant dans les ténèbres, l’horloge mécanique sonne 3 heures du matin, un groupe de charmant gaillard discute à la lumière d’un réverbère. Lorsque la jeune femme passe devant eux, ils la regardent en ricanant, l’un deux fait un signe indescriptible à ses amis avant de la suivre, à ses risques et périls. Alors que la charmante encapuchonnée s’éloigne, tourne à l’angle de plusieurs rues, l’homme la rattrape et la colle contre un mur de sa grosse main bourrue.


« -Voyons ma mignonne, pourquoi ne pas enlever ce masque pour que je vois le visage de celle avec qui je vais m’amuser ce soir.

-… »

N’ayant pas de réponse, la victime croyant son affaire faite, elle arracha le capuchon du prédateur sans se méfier du monstre qu’elle venait d’attraper. Son œil bleu foncé le fit frémir, surtout cette lueur démente et ce sourire sadique à vous glacer le sang. Il lâcha la jeune femme et commença à reculer, avant de diriger ses pas vers une autre direction.

« Oh… euh… excusez-moi, je vous ai prise pour quelqu’un d’autre…

-…… Vous… ne pouvez plus partir. Ici s’arrête votre chemin… le jeu n'a pas commencé »

L’homme regarda la démente, la prenant pour une malade mentale, il haussa les épaules et tourne le dos. La lame lui transperça le coup et lui trancha la gorge, éclaboussant la cape pourpre de son sang. Il y eut cette nuit là deux cadavres de moldus, connus de la police de découvert. Des meurtres entre gangs selon les journalistes…


Fin du Flash Back
***************




Pendant que la silhouette se dirigea vers la forêt interdite, Mizore ayant très légèrement repris le contrôle d’elle même, elle devait rentrer avant que quelqu’un ne la rencontre. Elle décida de rentrer à Poudlard par la forêt, elle enlèverait sa cape avant de passer dans le parc et irait se changer directement. Elle n’avait pas cours ce matin là. Elle marchait donc d’un pas décidé lorsqu’elle entendit du bruit. S’arrêtant d’un coup, écoutant les sons qui lui venaient, elle se dirigea ensuite vers l’endroit où elle avait entendu la dernière fois ce son. L’oiseau de gai alla devant elle et découvrit en premier, il se posa sur un branche au dessus de la tête de celui-ci. « CROA CROAA » Son cri aurait pu faire dresser les cheveux que la tête de n’importe qui pour peut que la personne soit en condition. La jeune femme s’arrêta un moment, pour se préparer, elle fit tourner sa baguette dans sa main, décrivant des petits cercles dans ses doigts. Elle sortit de derrière un arbre d’un coup, en tendant sa baguette vers l’étranger. Elle le reconnut, le garçon qui ne voulait pas manger la chocogrenouille, en première année, serpentard. Elle abaissa son arme. Elle n’enleva pas pour autant son capuchon, mais un sourire sadique apparut sur son visage, son œil bleu foncés luisant toujours, elle lui parle sur un ton moqueur sans s’occuper du sang qu’elle avait sur elle, sa main, ses doigts et sur sa baguette.

« Tu ne devrais pas te ballader ici petit. Tu vas te perdre et personne ne te retrouveras… non personne… De toute manière tu mourras avant, je ne pense pas que tu sois capable de te défendre, étant donné que tu n’es même pas capable d’avaler quelque chose. Crois-tu pouvoir rivaliser avec les bêtes de cette forêt… Tu es un imbécile… Maintenant bouge de là. Perds toi si tu veux, ce ne sont pas mes affaires ! Bouge ou je t’aplatis comme un vulgaire microbe. En même temps c’est ce que tu es… Tu ne crois pas ? Allez ciaooo !! »

Bien sûr, les paroles étaient encore celles de son autre elle, un soupçon de mizore la normale avait pour l’instant empêché un drame, mais les paroles ne pouvaient pas encore être contrôlées… Elle passa devant Damien en en profitant pour le cogner pour le faire bouger, sans se départir de son sourire narquois.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyLun 12 Jan - 13:17:46

Ce fut ce cri qui le réveilla, le forçant à retomber les deux pieds sur terre. Un corbeau? Il n’y avait rien de bien étrange là dedans, seulement celui-lui lui paru différent. On aurait dit qu’il avait s’agit d’un signal d’alerte, ou qu’il criait pour paralyser ses éventuelles proies. Une silhouette bondit près de lui, le faisant sursauter par la même occasion. Une silhouette avec une baguette, qui plus est. Et une baguette pointée sur lui! L’étrangeté de la situation lui fit penser que, peut-être que, au fond, c’était lui, la proie de l’oiseau…

La femme en question se mis à parler, ce qui provoqua en lui un étrange sentiment de familiarité. Ho, ce n’était pas la première fois qu’on employait ce ton de méprit, de sarcasme, à son égard. Il en avait l’habitude et ne s’en serait guère préoccupé, d’ordinaire. Sauf que, voyez-vous, elle n’avait pas exactement tord sur quelques points… Il allait se perdre et se faire bouffer… Mais l’orgueil en lui était bien trop présent pour qu’il ne veuille jamais avouer à quel point il était faible. Son regard de nuit fixait sans relâche la femme se trouvant devant lui, écoutant pleinement ce qu’elle avait à lui cracher dessus. Comment ça, un microbe? Elle n’avait vraiment rien de mieux à dire pour l’envoyer balader celle-là?

Elle s’approcha de lui, lui en décrochant une bonne par la même occasion, le prenant, une fois de plus, au dépourvu. Il se dégagea de son chemin, comme ce qu’elle espérait qu’il ne fasse, sans doute, pestant intérieurement. Il ne pouvait pas laisser passer ça, si? Si, il le pouvait très bien… Sa tête lui hurlait de ne rien faire, de laisser passer ça comme si de rien n’était, mais son cœur lui ordonnait de la remettre en place, tout de suite et maintenant, avant qu’elle ne soit trop lui de sa personne. Un déclique s’effectua brusquement dans son petit cerveau en ébullition : cette femme, il la connaissait. Il l’avait vu quelque part. Il lui avait même parlé, ça, il en était plus que convaincu. Seulement il n’arrivait pas à mettre le doigt sur sa véritable identité. Il pensa bien sûr à ses professeurs. Ce n’était certainement pas la folle de divination, et encore moins celle d’arithmancie… Il n’y avait pas trente-six prof femme, non plus, au collège. Il pensa à celle de Runes, qui avait d’ailleurs bien fait ce qu’elle voulait de lui, comme la pitoyable marionnette vivante qu’il était à ses yeux, sans doute. Et ce sourire qu’il pouvait déceler sous ce capuchon… Non, il ne rêvait pas… Il eu un froncement de sourcil et baissa sa propre baguette, convaincu qu’il taperait dans le mille.


« Hey, Bachelard! »

Damien avait toujours été un garçon brillant, plein de ressource, mais le fait qu’il ne disait que très peu ce qu’il pensait lui donnait un petit être d’ignorance complète. Il se dit qu’elle allait automatiquement réagir s’il l’appelait par son nom, pas vrai? Cela signifiait aussi qu’il venait de réaliser qu’un professeur du célèbre collège de sorcellerie l’insultait, se foutait de sa gueule et était même près à le laisser mourir dans la forêt. Ça ne le faisait pas trop tout ça, et il était bien décidé à lui faire comprendre son soudain agacement pour elle. Non seulement elle se permettait de le faire manger de force, et ce, sans son consentement personnel, mais en plus, elle l’insultait? Alors là, non, il ne supportait pas. Fallait dire aussi qu’il y avait très peu de chose qu’il supportait, mais ça, c’était une qu’il n’endurait vraiment pas.

« Nan, mais vous n’êtes pas un peu timbré? Y’a un truc qui tourne pas rond chez vous ou vous le faites carrément exprès pour paraitre folle? »

Oups? Non, pas vraiment, puisque ce qu’il disait, au fond, il le pensait vraiment, sauf que cette fois, il ne gardait rien pour lui. Il « explosait », bien que cette explosion à proprement parlé n’était pas très explosive, mais plutôt calme et ennuyée, même. L’adolescent était fou allié, voilà. Il ne savait pas ce qui l’attendait. Ça lui était bien égal. Non pas qu’il était suicidaire, loin de là, mais il ne savait pas du tout comment choisir ses batailles et, du coup, il se retrouvait quasiment toujours en infériorité face à son adversaire… Et cette fois-ci ne faisait pas exception à la règle. Sa professeure de Runes était de toute évidence bien plus forte que lui, et ce, sur tous les sens du terme. Malgré tout, il avait du cran, le petit mioche. Il était tenace et rien ne semblait jamais l’effrayer, bien que c’était tout faux. Il avait seulement ce côté très bagarreur qui le poussait bien souvent dans des situations pas possible. Comme en ce moment, il avait la forte impression que Bachelard n’allait pas en rester là, ni même qu’elle allait le laisser filer comme ça, surtout s’il continuait d’insister à lui adresser la parole comme il le faisait en cet instant même. Mais le garçon en avait dedans, trop, même, parfois, ce qui lui causait bon nombre de problème avec autrui. Ce n’était pas pour rien qu’il avait tout de suite correspondu au caractère du serpentard, lors de sa cérémonie de répartition, quelques mois plus tôt…

Un fort sourire étira ses lèvres. Un sourire qu’il voulu méprisant et sarcastique. Ce n’était pas exactement le même que celui que lui offrait la même, mais c’était tout comme.


« Si moi je suis un microbe, vous n’êtes qu’un parasite pour ce monde. »

Et baffe, en pleine gueule. C’était dit, clair, net, sec. Il lui disait carrément que le monde entier vivrait bien mieux si elle n’était pas là, c’était bien assez clair. On n’avait pas besoin de lire entre les lignes pour comprendre ce que le garçon disait, sur ce coup. Il lui disait, sans passé par mille et un détour, qu’elle l’agaçait profondément, qu’il en avait marre de ses petits caprices d’enfants trop gâté par la nature, qu’elle avait beau lui lancer des répliques toutes plus acides les unes des autres, qu’il ne se laisserait pas faire aussi facilement.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyLun 12 Jan - 21:00:37

Après le coup dans l'épaule du jeune homme celui-ci s'écarta du chemin de la jeune femme. Cette dernière passa devant lui non sans lui lancer un regard mauvais. Si un serpent avait pu sortir de sa langue de vipère, elle l'aurait fait. Elle tourna enfin le dos et commença à s'éloigner, l'oiseau reprenant son envol et la suivant dans le dos. Elle n'avait pas enlevé son capuchon, mais son oeil bleu foncé brillait de nouveau. C'étaut sûr, heureusement que le jeune serpentard n'avait pas ouvert lui non plus sa langue de serpent sinon, il se serait fait écrabouiller par la jeune femme. Son double était toujours trop présent dans son corps pour qu'elle puisse se contrôler. Cela serait impossible, pas après ce qui c'était passé cette nuit. Il devrait rester à carreaux sinon il allait gouter au goût amer du sang. Car personne ne serait là pour empêcher la jeune femme aux cheveux bleus gris de commettre l'irréparable. On ne retrouverait son cadavre que des jours après le meurtre, et bien sûr, personne ne pourrait dire qui à fait ça. Seul le maître le saurait... Il la blamerait sans doute... Mais après tout, damien était un gamin faible qui ne serait d'aucune utilité pour l'armée du Seigneur des ténèbres.

C'est pour cela qu'il devait se la boucler, qu'il devait la laisser s'en aller, sans relever, sans broncher, malgrè les paroles qu'elle avait dit. Bien sûr c'est ce qu'espèrait Mizore très très loin dans son esprit, la professeur bien sûr. Mais finallement, peut-être qu'en disant cela la Dark Mizore voulait le faire sortir de ses gonds, pas encore repue de sang pour la journée. Elle s'en allait mais pas aussi rapidement au goût de la fille du professeur bachelard, pas assez vite comme si elle attendait une réponse. Mais Damien devait se taire, était dans l'obligation de se taire, il aurait dû se taire...

« Hey, Bachelard! »

La jeune femme s'arrêta d'un coup, elle ne se retourna pas, gardant le dos tourné au jeune garçon. L'animal de gai lui se posa sur son épaule et se retourna vers le garçon, le fixant de ses deux petits yeux pétillants, en lançant un nouveau CROAAA transperçant le soir. Bien sûr, s'il avait pu en rester là peut-être que ça ne serait pas allé plus loin... peut-être... Mais la gamin n'en resta pas là. Ce qui était tout de même normal après les paroles que son professeur venait de lui asséner. Mais il aurait mieux valu qu'il garde cela pour lui. Les mains blanches aux doigts longs de Mizore se crispèrent sur sa baguette magique, elle serrait des dents et tout sourire, ne serait-ce que sadique disparut de son visage. Seule une colère prête à surgir apparaissait sur ses traits fins.

« Nan, mais vous n’êtes pas un peu timbré? Y’a un truc qui tourne pas rond chez vous ou vous le faites carrément exprès pour paraitre folle? »

La jeune femme partit dans un rire de démente, elle riait de toutes ses forces. Folle? Oui elle l'était ! Démente? Oui elle l'était! Cinglée? Oui elle l'était! Timbrée? Oui elle l'était ! Ah s'il savait ! Elle avait toujours été folle ! Qui aimait la glace plus que tout? Qui aimait faire fondre des glaçons dans sa bouche en plein hiver plutôt que de boire un bon thé ou un chocolat bien chaud? Qui tuait pour le plaisir de voir les traits de la victime au moment où la mort l'empoigne? Oui, elle était folle, mais pour bien des raisons. Le pouvoir, cette soif de pouvoir l'avait rendue folle. Cette impénétrable désir de voir les yeux de la victime lorsque la mort l'empoigne, désir qui ne s'éteind jamais. Car ce moment ne dure jamais , juste un dixième de seconde de plaisir pour la jeune femme. Alors oui elle était folle !!!

« Si moi je suis un microbe, vous n’êtes qu’un parasite pour ce monde. »

Cette fois, la jeune femme s'arrêta de lire, sa main se serra encore plus sur sa baguette. Le corbeau sentant le fin proche s'envola et se jeta presque sur le jeune garçon avant de se percher sur la branche la plus proche. c'était fini, elle avait complètement pété un câble, elle cracha vers la sol en criant.

" LA FERME ! MICROBE ! C'EST TOI LE PARASITE ! TU NE SERAS JAMAIS ASSEZ FORT POUR ETRE DIGNE D'ETRE SORCIER ! RESTE A TA PLACE ! POURRITURE!"

La jeune femme se retourna et se jeta sur lui, l'empoignant par sa cravate et le collant contre un arbre. Elle pointait sa baguette sur son front. Cette fois, il devait voir sa main pleine de sang, sang qui se trouvait aussi tout le long du morceau de bois qu'elle tenait entre sa main. Lorsqu'elle s'était jetée sur lui, sa cagoule s'était enlevée, découvrant ses traits mordus par la fureur. Une fureur démentielle, noire et immense. Son oeil bleu clair était encore plus pâle, quasiment blanc, alors que l'autre était encore plus foncé, bleu nuit, avec un éclair dans la pupille, un éclair de démon. Elle remonta sa main le long de la gorge du jeune garçon, posa ses doigts dessus et commença à serrer.

" TU VAS CONNAITRE TES VRAIS MAITRES !!"

Cependant, à ce moment là, la dark Mizore ne s'entendait pas à ce que l'autre intervienne. Elle s'écarta vivement de Damien, en se prenant la tête entre les mains, tombant les genoux par terre et hurlant comme une folle.

NON !!! NON !!! VAS T'EN !!! TU ES FAIBLE !!

La voix changea , plus douce mais aussi emprunte de colère.

LAISSE LE !!!!!!!!! CHERCHE TOI UNE AUTRE VICTIME !!!

Puis la voix rude repris le contrôle.

JE DOIS LUI APPRENDRE !! LAISSSSSE MOIII !!!

Elle placa sa baguette sur sa tempe, la voix douce eut juste le temps de hurler, sa voix pleine de détresse.

DAMIEN !!!! SAUVE TOI !!! VITE !! SAUVE T...

EXPECDIO ANSUZ

Un éclair bleu foncé avec des fils dorés s'échappa de la baguette et entra dans la tête de Mizore, la Dark Mizore venait de prendre le contrôle! Elle ne serait plus embêtée ! Même extrêmement fatiguée comme elle était, elle viendrait à bout de ce microbe facilement. Elle se releva et se tourna vers l'endroit où se trouvait Damien, son oeil gauche blanc et sans pupilles, l'autre noir et sans pupilles, avec seul un point brillant. Un sourire de démon sur les lèvres.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyMar 13 Jan - 1:03:07

Les éclats de rire le laissèrent stoïque un court moment, ne comprenant pas trop ce qu’il pouvait y avoir de si marrant dans ce qu’il avait dit. Il l’avait traité de folle et elle, et bien… Elle se marrait! Carrément. C’était plutôt déconcertant. Et bien entendu, le jeune garçon n’en était pas resté, ça avait été plus fort que lui. Il l’avait poussé à bout de nerfs. Il avait maintenant passé le point de non retour, sans vraiment l’avoir voulu. Brusquement, le corbeau au plumage plus noir que jais pris son envole de l’épaule de la femme pour venir presque l’agresser et se percher plus loin… Ou plus près de lui? On aurait dit qu’il voulait seulement avoir une place des plus enviables pour regarder ce spectacle entre professeure et élève sortant de l’ordinaire, il fallait l’avouer. La femme su mis alors à hurler, l’insultant au passage. Là n’était pas son problème. Des insultes, il en avait connu de toutes les sortes et de tous les genres. Ce n’était, pour lui, qu’une habitude à laquelle il ne portait plus grande importance. Mais il y avait quelque chose d’autre… Un parasite? Oui, bien sûr qu’il en était un. Il le savait, il l’avait toujours su. Il n’était pas un microbe comme elle l’insinuait, mais plutôt ce parasite qu’il avait osé dire d’elle. Un parasite parce qu’il était inutile et qu’il ne faisait jamais rien de bien. Un parasite parce qu’il existait, tout simplement, sans se demander s’il avait vraiment une raison d’être. Il était un parasite plutôt coriace qui ne voulait pas mourir, surtout.

Brusquement, son professeur de Runes fit volte-face, s’approchant dangereusement de lui, le saisissant sans qu’il ne puisse dire quoi que ce soit. Il fut bien rapidement en position de faiblesse, bien que son visage ne démontra jamais le moindre signe de frayeur, son cœur, lui, toutefois, battait à tout rompre dans sa poitrine. Et la baguette levée sur lui n’indiquait vraiment rien de bon. Elle allait le tuer et personne n’en saurait jamais rien. L’idée de mourir dans cette forêt, par la main d’une prof, qui plus est, était plutôt paniquant. Elle remonta sa mai à sa gorge, cherchant à l’étrangler. C’était pitoyable crever de cette façon! Vraiment pitoyable… Absurde! Au moins, s’il mourait, il n’aurait plus à se soucis des enquêtes du ministère sur l’étrange de sa belle-mère.

Contre toute attention, Bachelard le lâcha, à son plus grand étonnement, lui qui s’était convaincu qu’elle allait le tuer là, à cet instant précis. Elle n’en fit rien. Elle paru même plutôt perturbé, ce qui eu raison de confondre le garçon encore plus. Elle se parlait toute seule? Il la regarda s’écarter de lui d’un pas vif, tombant à genou, plus loin, se tenant la tête à deux mains. Non, décidément, tout ça le dépassait royalement, il n’y comprenait plus rien. Elle avait la migraine, ou quoi? Il eut bien rapidement droit à la réponse à sa question muette.

La voix de la jeune femme sembla changer, s’adoucir, bien qu’elle demeurait rude et furax. Toute cette histoire était totalement hors de sa portée. Il aurait bien aimé qu’on lui explique, il aurait compris. Après tout, il n’était pas aussi bête qu’il en avait l’air. Il n’avait peut-être ni la force ni l’énergie, mais il avait beaucoup de tête. Chacun ses forces, après tout.

Il entendit son nom crié au travers tout ce brouhaha de confusion qui régnait en cet instant même. Fuir? Partir? Quoi? Mais… Un instant plus tôt, elle était prête à lui faire la peau, et maintenant elle lui ordonnait, voir suppliait de disparaitre? De fuir? Non, vraiment, il ne suivait plus du tout ce qui se passait… Mais… Mais cette voix là, qui lui demandait de foutre le camp de là… Elle était différente, bien que identique, mais différente sur certain point, notamment le ton douloureux, suppliant qu’elle employait.

Et il couru… Il entendit bien un sort lancé, mais ce n’était pas pour lui, ça, au moins, c’était déjà quelque chose qu’il avait réussit à comprendre de toute cette histoire. Mais lorsque la femme se redressa, se tournant vers l’endroit où il aurait dû se trouvé, et bien lui, il avait déjà détalé comme un lapin. Il ne s’était pas tout de suite rendu compte que l’oiseau de malheur ait eu la bonne idée de lui suivre à la trace. Comme quoi le garçon n’avait vraiment pas de chance… Grommelant quelques jurons incompréhensibles, il accéléra le pas. L’avantage à être aussi petit et maigrichon que lui était qu’il n’avait pas beaucoup de poids à porter et qu’il arrivait à se glisser à peu près n’importe où. L’adolescent de onze ans de pencha pour ramasser quelque chose, au sol et se redressa pour reprendre sa course de plus belle, ne diminuant pas le moindrement sa vitesse; vitesse plutôt augmenté dû à son adrénaline. S’il avait peur? Évidemment! Il avait une folle aux trousses qui cherchait à le tué parce qu’il avait eu la brillante idée de la traiter de parasite!

Le garçon sauta sur une grosse pierre en hauteur sur laquelle il monta au plus haut. Apercevant l’oiseau qui le suivait toujours en croassant, le garçon visa et lança la roche qu’il avait récupérée au sol. Il fallait dire… Il n’était pas batteur pour rien dans l’équipe de quidditch. Il ne regarda même pas s’il avait réussi ou non à atteindre sa cible que déjà il repartait au pas de course, ne désirant pas perdre de temps plus qu’il n’en fallait. S’enfonçant donc de plus en plus dans les bois, il s’égara complètement et totalement. Le meilleur, en fait, aurait été qu’il parte dans la direction que sa prof semblait vouloir emprunter, avant que le garçon décide de répondre à l’altercation.

Sans crier gare, le pied du garçon glissa malencontreusement et il effectua une bien vilaine chute dans un fossé où passait un petit ruisseau. À bout de souffle, le jeune garçon tenta tant bien que mal de se redresser, son corps qui n’Avait pas l’habitude d’en faire autant protestant vivement à chacun de ses mouvements. Pou un être aussi frêle que lui, il était dangereux de courir autant! Il aurait pu en perdre connaissance! Mais de toute évidence, il n’en fit rien. Il était pris d’une nausée atroce, insupportables, et de ces éternel étourdissement qui lui rendait la vie impossible. Ses muscles, qui n’avaient pas l’habitude d’être utilisés de la sorte, protestait vivement, lui créant ces quelques douleurs normales… Il espérait au moins avoir réussit à échappé à Bachelard… Sauf que, même s’il avait réussit, lui restait encore le problème de savoir où il était, maintenant!
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyVen 16 Jan - 20:30:12

Ses yeux se posèrent sur le vide. Rien, il n'y avait plus personne. Il avait fui! Il lui avait filé entre les doigts. La jeune femme parut affolée mais elle ne faisait que chercher la trace de sa proie, savoir dans qu'elle direction elle était allée, vers le château? Non, dans sa précipitation il avait dû se diriger ailleurs car pour pouvoir rentrer il aurait dû passer devant elle. Mais pourquoi avait-il obéit à cette femme? Pourquoi?! De rage, elle retourna sa baguette contre un renard qui passait à dix mètres, celui-ci rendit rapidement son dernier souffle, sans avoir pu faire un pas de plus. NON! IL ne pouvait pas lui échapper! Il ne devait pas ! Comment pouvait-il, ce gamin aussi insignifiant pouvoir lui tenir tête ! Elle était mangemorte à la fin ! Alors pourquoi lui tenir tête ! Il aggravait son cas en se conduisant ainsi ! Maintenant, elle n'aurait plus aucun doute sur le fait qu'elle devait le tuer, l'achever, le rouer de coup jusqu'à ce qu'il ne sache plus qui il était. Elle devait le torturer, cela devenait son seul désir de la journée, elle devait entendre ses cris d'agonies, ses pleurs lui demandant de le pardonner. Mais elle ne pardonnerait pas... pourtant, vu sa carrure, il ferait un bon mangemort, un peu faible mais intrépide. Seulement, la jeune femme ne pouvait pas attendre de voir comment il allait évoluer, il fallait qu'il paye pour l'affront qu'il lui avait fait ! Mizore eut un sourire sadique, elle passa sa langue sur ses dents, comme une carnassière qui salive devant une chasse qui s'annonce excellente. Après tout, jusqu'ici, personne n'avait pu lui échapper. Elle chercha du regard son oiseau de gai, il n'était plus là lui non plus. Cette révélation fit s'étirer un sourire immense sur son visage. Ainsi Ansuz l'avait suivit, ainsi elle le ratraperait, il ne lui échapperait pas! La jeune femme murmure avant de diriger sa baguette vers les airs en liant ses mains d'un fil doré.

Une clairière au loin, en dessous des arbres et sous les arbres le jeune homme qui courait, autour le ciel, rien que le ciel. Damien courait comme un fou, s'éloignant de plus en plus dans les profondeurs de la forêt. Mizore sontinua de le suivre, le regardant de heut, il ne savait surement pas que cet oiseau lui dirait exactement où il allait, il ne savait peut-être pas que la partelle d'âme qu'elle aavit introduit dans cet animal lui permettait d'être liée à lui comme personne ne l'avait été avec aucun autre animal. Celui-ci fendait les airs comme Damien fendait les arbres et les ténèbres, mais il ne courait que vers sa perte, sa fin était proche. pourtant le jeune garçon continuait de courir. Celui-ci se baissa un moment, et ramassa quelque chose. Sa baguette? Quelques mètres plus loin, le jeune homme s'arrêta quelques secondes sur un promontoir. Regardait-il enfin où est-ce qu'il se trouvait? Cherchait-il son chemin? Mizore ne remarqua qu'au dernier moment le projectile qui fonçait vers elle. PLutôt pas mal pour un gamin aussi frêle ! Et en pleine fuite en plus! Elle sortit de l'esprit du corbeau pour lui permettre d'esquiver mais ainsi, celui-ci perdit la trace du jeune fuyant.

Mizore revint à elle et sourit de nouveau d'un sourire sadique, elle se mit à suivre la trace de Damien, se dirigeant seulement grâce aux images enregistrées par l'oiseau. un arbre, une fleur, une pierre. Elle acartait les branches et tout ce qui la gênait ou se mettait en travers de sa route avec sa baguette magique, produisant de grands fracas de bois cassé. Quelques secondes plus tard, elle se trouvait sur le promontoir à son tour. Elle siffla doucement et l'animal arriva dans un doux bruit de plumes noires glissant dans les airs. Il lâcha la pierre que le jeune garçon lui avait jeté dans la main de sa maîtresse avant de se poser sur son poignet. La jeune femme jeta la pierre de son autre main au loin en poussant un énorme cri.

" WAAAAAAAAAAAAAHHAA !! "

Puis elle caressa du bout des doigts les fibres soyeuses avant de sauter du rocher. L'excitation faisait battre son coeur à cent à l'heure, elle courait en faisant fonctionner ses sens. Elle mit sa baguette pointe vers le sol et murmura de nouveau. Avant de se redresser et d'éclater de rire.

"Je t'ai trouvé ! Mon petit lapin ! "

Tout c'était tue dans la forêt, il n'y avait plus aucun bruit, les bêtes même les plus férices se terraient dans leurs tannières, elles savaient que quelque chose se tramait. La chasse était lancée, rude, totale, sanguinaire et elle allait bientôt se terminer. La jeune femme se pencha par dessus un tronc qui se trouvait à côté du point de chute de Damien. Elle sentait sa présence, son souffle chaotique, ainsi que les traces qu'avait produit sa chute, les quelques herbes couchées. Elle savait qu'il se terrait dans un coin. Peut-être savait-il que c'était vain de vouloir fuir? Après tout, où qu'il aille, elle le ratraperait puisque l'autre gourdasse ne serait plus là pour l'embêter maintenant qu'elle était enfermée dans les méandres de son esprit, Dark Mizore pouvait faire ce qu'elle voulait de ce nouveau joujou. Absolument tout ! Et personne ne pourrait l'en empêcher ! Même pas ce vieux crouton de directeur de Poudlard, non personne pour l''embêter ce jour! Même la fatigue qui tirait ses muscles s'abaissait devant son désir de souffrance! Elle aiamit faire souffrir les autres plus que tout, voir leurs visages tordus par la souffrance et la douleur. Quel plaisir immense!! Un sourire fendit son visage, le petit animal n'était pas loin. Son oeil blanc totalement vide d'expression et son oeil noir pétillant d'une lueur mélafique fixait les brousailles. Elle murmura.

"sais-tu ce que l'on fait aux animaux qui fuient leur maître?"

La jeune femme tourna sa baguette vers les brousailles.

"Incendio !!!"
********
esprit de Mizore, dans les ténèbres

¤ Noir... Il fait noir... Est-ce... La fin? Ou suis-je? Qui suis-je? je ne sens plus mon corps... je ne sens plus mon coeur... pourtant j'entends ma voix, mais ce n'est pas la mienne... mes yeux voient mais ce n'est pas moi qui voit... alors qui? Cette main que je tends, est-ce la mienne? celle d'une étrangère? Ou suis-je? Je ne respire plus... je suffoque... ce monde est sans issus, je vais mourir dans ces ténèbres... que s'est-il passé? qu'a t'elle fait? mais qui c'est "elle"? est-ce moi? une autre? Je ne sais pas, je ne sais plus... Quelqu'un? Y a t-il quelqu'un ici? ou suis-je seule... mais qu'est-ce qu'être seule? est-ce que j'ia déjà était avec quelqu'un? qui sait "quelqu'un"? je ne sais pas, je ne sais plus... Je ne ressens plus rien... Je ne m'appartiens plus... Mais... me suis-je déjà appartenue un jour? ... ... ... ... Noir... c'est le contraire de jour? Mais qu'est-ce que le jour? ... ... Damien... sauve toi.. fui... sauve toi... ne la laisse pas te tuer... mais... qu'est-ce que la mort? moi même je ne sais pas, je ne sais plus si je suis morte... Ou suis-je? ¤

*********
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptySam 17 Jan - 16:46:30


Il retenait son souffle, bien que saccadé et franchement bruyant, il le retenait. Il ne pouvait pas se permettre d’être repérer si bêtement. Il ne bougeait pas. Il écoutait, chaque son, chaque souffle autour de lui. Il arrivait presque à percevoir chaque mouvement, aussi perceptible que possible. Et elle arriva, non loin de lui, fort malheureusement pour lui, en fait. Il était dans de beaux draps, il fallait l’avouer. Et franchement, il ne voyait pas spécialement comment il allait faire pour s’en sortir indemne, cette fois. Il entendit clairement la jeune femme l’appeler son petit lapin… Nan mais, elle le prenait pour qui, exactement? Une proie facile? Il n’allait pas se laisser faire comme ça par cette pauvre folle. Aussi s’apprêta-t-il à répliquer quelque chose d’acerbe mais elle fut plus rapide que lui. Elle enchaina et lança un sort dans sa direction. Rapidement, la lumière orangée que diffusaient les flammes teinta sa peau d’un couleur tout aussi flamboyante. De mieux en mieux… Il remonta son foulard aux couleurs de sa maison sur son nez et sa bouche, de manière à ne pas trop étouffer, quand même. Il n’allait pas la laisser gagner sur lui aussi facilement. La neige autour de lui fondait rapidement, dû à la chaleur que dégageait le brasier. S’il ne bougeait pas rapidement, il allait finir griller comme du poisson sur le barbecue. La surprendre. Il devait impérativement la surprendre. C’était sa seule chance de faire diversion sur elle. Elle était assez démente pour voir venir le coup, mais il devait tout de même essayer quelque chose, quitte à s’y bruler les doigts.

Le jeune garçon fit glisser sa baguette à sa main gauche, crispant ses doigts sur cette dernière. Qui ne risque rien n’a rien, dit-on? Et bien, c’était ce qu’il allait bientôt découvrir. Toussant un petit coup, il se positionna de manière accroupie, de façon à ne pas être remarqué à travers les broussailles en feu. Mais qu’est-ce qui lui prenait? Il avait vraiment envie de terminer sa si courte existence dans le fond de la forêt interdite? Il avait vraiment envie de finir là, mort dans un arbre, ou enterrer dans un fossé quelconque? Non, l’idée n’était pas particulièrement tente et encore moins alléchante.

Il se redressa rapidement, passant littéralement à travers les flammes du buisson. D’un côté, il se trouvait chanceux d’être tombé dans le ruisseau avant. Le feu avait donc beaucoup de difficulté à s’agripper à ses vêtements et du coup, il était sauf sans trop de problème de ce côté. Il leva son visage vers la femme qui lui servait de professeur de Runes, baguette solidement en main, il ne baisserait pas les bras si facilement, ça, elle pouvait en être sûre. Ça n’était pas son genre, après tout. Il ne pouvait pas non plus demeurer immobile, c’était beaucoup trop risquer pour sa propre vie. Non, le mieux était d’être constamment en mouvement, de manière à ce qu’elle ait un peu plus de mal à l’attraper ou à le toucher avec un de ses sortilège à la noix. Il partit vers la gauche, effectuant pour ainsi dire un brusque écart en cette direction, ne la perdant toutefois pas de vue. Si fuir ne fonctionnait pas, et bien il l’affronterait. Le garçon n’avait jamais vraiment démontré ses capacités avec les sortilèges. Pourtant, il n’était pas mauvais du tout, même s’il n’en faisait que très peu usage, préférant de loin frapper avec les poings, d’ordinaire, mais dans ce cas-ci, c’était un peu plus compliqué. Il devrait faire autrement s’il voulait survivre… Ce qu’il ne croyait pas franchement réussir à faire très longtemps, en réalité. Il devait se rapprocher d’elle… Même si la peur lui rongeait l’âme.

Aussi effectua-t-il un second écart, partant en biais dans le direction de la jeune femme, pointant baguette devant lui, il lâcha un « Flammes Bleues » clair, sans la moindre hésitation dans la voix. Aussitôt dit, aussitôt fait, le garçon pris possession de ce feu bleutés dansant, le dirigeant comme bon lui semblait. Que cherchait-il à faire très exactement? La déconcentrer? L’impressionné? Ça, il en doutait fort.

Il semblait plutôt vouloir effectuer un mur de protection en feu entre lui et la femme, de manière à ce qu’il ne soit plus difficile à atteindre. Étant donné qu’il ne connaissait pas les sorts de défenses, il se débrouillerait avec les moyens des bords. Leur altercation faisait décidément beaucoup d’étincelles. Et en fait, plus il ferait de flammèches, plus facile on pourrait le repérer à distance. C’était au final beaucoup plus un moyen pour attirer l’attention qu’une attaque. Il devra amener la folle à faire le plus de bruit et de lumière possible, étant donné que lui-même n’y arrivait pas. Se servir d’elle, voilà. C’était le seul moyen qu’il voyait pour s’en sortir. Se servir d’elle, elle qui voulait le tuer, pour sauver sa peau.

Fallait dire aussi qu’il n’était pas le plus doué, mais qu’il s’en sortait habituellement plutôt bien, malgré tout. Il se débrouillait comme il le pouvait. Sauf que, en cet instant, ils allaient bien finir par mettre le feu à toute la forêt.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyDim 18 Jan - 19:23:33

Dark mizore regarda avec ses yeux de folles les flammes grésiller devant elle. Elle detestait le feu... Elle détestait la chaleur en fait. Mais là dessus, elle devait bien avouer que c'était pratique. Le meilleure moyen pour faire sortir un lapin de son trou était d'enflammer ce terrier. Lorsque l'animal sort, il est à la merci du fusil qui l'attend, le canon bien diriger vers ses grandes oreilles. Et derrière le chasseur, se trouvait le meilleure des prédateur, le plus terrible. Le chasseur ne s'était pas pareçu que comme le lapin il s'était fait prendre au piège. Le lapin et le chasseur ne sont pas si opposés en fait. La jeune femme regarda les flammes lécher les brindilles, la neige fondait à une vitesse fulgurante, à croire que ce bois n'avait attendu qu'elle pour bruler. Il avait suffit d'un sort aussi simple pour qu'elles s'emflamment que s'en était presque effrayant. Mais rien ne pouvait effrayer dark mizore, rien. Elle donne un coup de pied dans de la neige en direction du brasier, celle-ci fondit instantanément. Un sourire sadique apparut sur le visage de la jeune femme. Il ne resterait pas longtemps dans ses buissons. Car même s'il avait voulu faire discret, aucune proie ne pouvait lui échapper. Pas du moment qu'elle avait décidé de chasser cette proie. Non, jamais... Plus que quelques secondes et tout serait fini. Soit il finirait griller comme un poulet rôti (tu passes par tout les noms... poulet.. lapin... XD) soit il finirait par sortir et là elle pourrait le saigner à blanc, s'amuser avec lui comme un chat avec une souris. Tout cele n'était qu'affaire de quelques secondes! Bientôt elle pourrait lui montrer tout ce dont elle était capable, il ne pourrait plus jamais faire comme si elle était une moins que rien. Elle servait le maître et elle le servirait jusqu'à sa mort et ce ne n'était pas un moustique qui allait l'en empêcher!!! Elle ferait reconnaître au monde entier sa valeur et ses pouvoirs . Elle ferait redorer le pouvoir des runes, plus personne ne pourrait se moquer d'elle, pas comme se vieille charogne de mère qui nourissait les vers dans le fond de son caveau.

Enfin le petit moineau sortit de son nid, il s'envola mais d'une façon assez asardeuse, se brulant un peu les ailes au passage du soleil. Cependant, il avait l'air déterminé à ne pas se laisser tirer dessus à bout portant par les braconiers en Afrique. Il serait courageux et même mort de trouille il faisait ce qu'il pouvait. Mizore le regarde fuir de son brasier grandiose , sa baguette enavant, en faisant des zigzags. Alors qu'elle s'apprêtait à lui envoyer un impero pour lui faire faire son ménage ensuite chez elle, car elle pensait qu'il se sauvait, celui-ci revint à la charge, à tire d'ailes. Cette nouvelle arrivée la surpris et elle ne reagit pas tout de suite. Que cherchait-il a faire? Il ne se savait pas? Pourquoi? Il était décidement bel et bien un idiot finit... Comment pouvait-il penser pouvoir rivaliser avec elle... Malheureusement, il ne connaîtrait pas le pouvoir des runes ce jour, la jeune femme était trop fatiguée pour les utiliser, du moins pour un moucheron pareil... Avec les sorts les plus basiques, elle s'en sortirait sans problème... De toute façon, il n'avait pas l'air de connaître beaucoup de sortilège, logique pour un première année... La jeune femme faillit exploser de rire. Rire qui s'effaça juste après être apparu... Celui-ci venait de lancer des flammes bleus vers elle. Mizore dû se reculer pour éviter que ces dernières ne la brûle. Elle ne se souciait plus du brasir qui continuait son chemin , celui qu'elle avait elle même déclaré... Seul le gamin l'intéressait. Ainsi il savait se défendre!! Quelle bonne surprise ! La chasse n'en devenait que plus intéressante ! Elle regarda les flammes se diriger vers elle, et encercler Damien, comme pour le protéger. La jeune femme se demanda ce qu'il cherchait à faire. Elle ne comprenait pas... Pourquoi ces flammes? Il ne l'attaquait pas? Que faisait-il? Elle compris bientôt... Vu son jeune âge, il ne devait que connaître certain sort d'attaque et très peu pour se défendre... Il utilisait donc ce sort d'attaque pour se protéger ! Une manoeuvre brillante certes mais fatiguante et qui plus est inutile face à une attaque plus forte ! La jeune femme continua de sourire.

Magnifique ! Brillant! Tu es très intelligent ! Mais ce n'est pas assez ! Allez! ! Montre moi ce que tu as dans le ventre ! Tu ne peux pas faire plus? Ah c'est vrai ! A Poudlard il ne forment que des moitiés de sorciers!! Mon pauvre ami ! Que faire face aux professeur qui sont aux pieds des sang-de-bourbes !!!

La jeune femme fit un mouvement avec sa baguette, elle la dirigea vers le feu bleu de l'adolescent et hurla presque.

Frigidior !!!

La glace fonça vers les flammes. Au début, ces dernières parurent faire fondre l'eau gelée, l'meportant sur le pouvoir de la mangemorte. Mais la glace en fondant ne disparut pas, au contraire, elle se liquéfia. L'eau passa sous les flammes et sur le côté, elle se dressa de l'autre côté de la barrière de feu. Mizore refit un mouvement en liant ses deux mains sur la baguette. L'eau se projetta contre damien. Pendant ce temps, Mizore apparut derrière le jeune garçon.

Le transplanage est interdit à Poudlard... Mais pas dans la forêt interdite...

Elle tendit une main vers damien, prit son visage entre ses doigts longs et fins et fit tourner ses yeux vers elle. Elle leva sa baguette.



CRACCCC


Le bruit résonne dans toute la forêt. L'eau venait de se geler en formant une cascade immense dépaçant les arbres en hauteur. Sa surface lisse refletait le regard dément de Mizore. En fait, sans s'en rendre compte, elle venait de jouer le jeu de Damien. Peut-être quelqu'un entendrait le bruit, verrait les flammes et la colonne de glace? Peut-être quelqu'un viendrait au secour du vert et argent? Car le prédateur venait de se faire avoir par le lapin? Ou peut-être pas...
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyMar 20 Jan - 3:34:38

[Pas terrible comme post, navré... Neutral ]

Ça avait bien été sa veine quelques secondes, lorsqu’il vit que son sort fit l’effet escompter chez la jeune femme, son petit manège la prenant momentanément par surprise. C’était un coup de chance… Rien de plus. Seulement la chance qui avait voulu épargner sa si fragile vie jusqu’à présent. Il la vit lever sa baguette dans sa direction. Quoi de plus normal? Il l’avait attaqué, elle allait donc automatiquement en faire de même. Elle lança un sort de glace. Un sort beaucoup plus puissant que le sien, il fallait bien l’avouer. Sauf qu’il s’en doutait. C’était même exactement pourquoi il avait lancé ce sort là plutôt qu’un autre. Parce qu’il avait cherché à gagner du temps, à faire le plus de bruit possible, à faire le plus d’étincelle possible, aussi. Tout ça pour qu’on les remarque à distance. Sauf qu’elle était venue tout gâcher en éteignant son feu avec sa maudite glace qui fondait!

Brusquement, elle transplana dans son dos, le prenant au dépourvu. Alors ça, non, il n’y avait pas pensé! Et même s’il y aurait pensé, il n’aurait pu le contrer puisque lui-même ne pouvait faire de transplanage. Elle avait donc un très fort avantage sur lui. Mais il le savait depuis le début, ça non? C’était pourquoi il ne disait pus mot, c’était pourquoi il cherchait tant bien que mal à faire diversion à et la confondre. Jusqu’à présent, elle ne lui avait rien fait de très particulier et c’était sans doute une bonne chose… Juste… Il fallait juste tenir encore un peu, c’est tout.

Merde! Ça ne fonctionnait pas! Elle avait beaucoup trop le dessus sur lui! S’il ne faisait pas quelque chose très vite, elle allait finir par lui arracher la tête à main nue, carrément! Le garçon empoigna le bras de la femme, de moins celui dont elle se servait pour le maintenir en place, y enfonçant ses petits ongles. Il grognait, pestait intérieurement, en silence, contre elle et sa manie de s’en prendre à lui. D’abord en cours, et maintenant ça? Mais qu’est-ce qui lui avait fait, bon sang, pour qu’elle lui en veuille à ce point! Ho certes, il l’avait traité de folle et il lui résistait, mais… quand même. Elle y allait un peu fort, la prof, non?

Il se souvint de la différence entre la voix de la miss qu’il avait sous les yeux et de celle qui l’avait supplié de partir. Elle était détraquée? Elle avait un problème de personnalité? Oui, enfin, du moins était-ce ce qu’il s’imaginait à son sujet. Ça ne pouvait que difficilement être autre chose, sinon jamais elle n’aurait réagit de la sorte. Et il y avait ces yeux. Yeux qu’il se refusait de lâcher, qu’il contemplait avec une certaine curiosité qu’il ne cherchait même pas à cacher. L’adolescent eut un froncement de sourcil et gueula, bien décidé à lui faire comprendre qu’il ne fonctionnerait jamais sous la pression ni le menace. Que ça ne faisait aucun effet sur lui… Parce qu’il y était bien trop habitué.


« Vous parlez trop et vous ne la fermez pas assez! »

Il avait lâché ça en espérant la provoquer davantage, qu’elle ne le repousse, qu’elle ne l’envoi se fracasser le crâne plus lui, sur les rochers, ainsi cela lui éviterait de savoir ce qui se passerait si elle ne décidait de l’achever. Ce serait beaucoup plus supportable de mourir alors qu’on était inconscient que de mourir éveillé.

D’un geste rapide, il leva sa baguette, qu’il tenait toujours en main, il la pointa su le visage de la jeune femme, très près d’elle. Si elle avait été intelligente, elle aurait pensé à le désarmer avant de s’attaquer à lui comme elle le faisait en cet instant même!


« Lumos! »

Le garçon ne connaissait certes que très peu de sort. Mais ceux qu’il connaissait, il les maîtrisait pour les avoir longuement pratiquer, encore et encore, jusqu’à son propre épuisement complet. Il lança le sort de lumière, en particulier, parce qu’il ne voulait que l’aveugler avec cette lueur blanche trop intense lorsqu’elle arrivait directement dans les yeux de la personne. Du même fait il en profita pour se dégager de son emprise et se reculer, quelques mètres plus loin. Il avait les pieds trempé, gelé par la froide température de la glace qui l’avait entouré. Lui détestait ce genre de climat frigorifiant. Il était mieux à la chaleur… Bien qu’il ne fallait pas non plus qu’il ne fasse trop chaud…
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptySam 24 Jan - 15:13:18

[bah moij'aime bien ^^ désolée pour ma réponse tardive, mais c'était la semaine de BAC blanc, et j'ai pas eu le temps de venir :s ]

La jeune femme resserra ses doigts lorsque Damien ouvrit la bouche. Elle ne tenait pas sa baguette le long de son front, mais ses doigts étaient crispés dessus. Elle voulait le voir souffrir, l'étouffer serait une bonne idée, lui tordant le cou, un peu de médicomagie, le torturer à nouveau, médicomagie, le torturer... Qu'elle idée alléchante !!! Elle était tellement absorbée dans ses idées noires, qu'elle ne réagit même pas lorsque sa jeune victime leva sa baguette magique vers elle et qu'il prononca le sort. Celui-ci fusa vers la folle, une lumière blanche, puissante, la puissance d'un condamné à mort peut-être... La jeune femma lâcha sa proie et porta une main à ses yeux en criant. Que lui avait-il fait le morveux ?!! Comment avait-elle pu se faire avoir par un gamin?! Il le lui payerait ! Cette lumière l'avait totalement déboussolée, elle avait perdu ses repères pour quelques secondes. Mais bientôt, à force de concentration, elle recouvra la vue petit à petit, regardant autour d'elle. S'il ne lui avait pas fait ce coup tordu, elle serait seulement partie dans un fou rire immense. Car il ne s'était pas sauvé, il n'avait pas profité de sa cécité pour prendre ses jambes à son coup. Non, il la regardait à quelques mètres... Le rire ne sortit pas, il se tranforma en rictus effrayant.

La jeune femme se redressa et elle pointa sa baguette sur le jeune serpentard. Les cheveux battut par le vent, elle était totalement furieuse, elle s'apprêtait à lui faire regretter d'être sortit du ventre de sa mère. Puisqu'il voulait qu'elle se taise, elle allait se taire. Ou presque, car les seules paroles qu'elle prononcerait serait celles de sa torture. Si seulement elle avait été ligimens, elle se serait simplement projeté dans son esprit pour lui faire vivre des horreurs psychiques, il ne s'en serait jamais remit et serait resté un véritable légume, interné à ste mangouste pour le reste de sa vie. Mais au moins, il ne serait pas mort... Le pauvre enfant, mourir si jeune... Mais il devait être heureux, mourir de la main d'un partisan du maître, d'un mangemort était un trop grand cadeau encore pour toute cette vermine qui pullulait sur cette planète. Alors il avait intérêt à mourir avec un cri qui pourrait réchauffer le coeur de la jeune femme! Mizore brandit sa baguette et fit un mouvement de poignet en hurlant presque.

Expelliarmus !!!

Elle ne visa pas spécialement la baguette du jeune garçon, non, elle le visait lui. Un grand désir de le voir voler à travers les airs et s'écraser le long d'un arbre dans un effroyable craquement de côtes brisées. seulement, elle n'avait pas le temps d'attendre pour voir si son sortilège avait fonctionné, il fallait qu'elle continue, elle devait continuer. de toute manière maintenant, elle ne pouvait plus s'arrêter, cela lui était impossible. Elle devait l'écraser, sentir ses os se briser sous ses sortilèges, elle voulait, le voir cracher ses poumons, elle voulait entandre la folle course de son coeur qui sent sa fin arriver. Cette vive douleur que vivait les autres lorsqu'elle leur faisait subir ces supplices était pour elle la plus grand des récompenses...La maître serait content d'elle, elle deviendrait la plus forte et la meilleure, le servant jusqu'à sa mort. Elle leva le bras et fit des moulinets vers le haut, l'air semblait se rassembler autour de sa baguette.

Diffindo...

ce sortilège, permettant de tout découper, avec de la concentration pouvait découper l'air. la jeune femme se servit de son autre main, elle en fit une sorte de balle d'air, elle prononça à nouveau.

Sectumsempra...

Le sortilège d'entailles s'ajouta à la boule d'air, faisant un sortilège puissant et dangereux. Mizore le lança dans la direction de Damien, sans se soucier s'il était à terre suite à son sortilège de désarmement ou s'il avait simplement perdu sa baguette. la balle d'air se dirigea vers lui à grand vitesse, détruisant et brulant toutes les plantes sur son passage, produisant un bruit de tonnerre dans toute la forêt. la jeune femma regardait sa création avec un sourire diabolique. Elle y avait ajouté une rune qui permettait à se boule de rester uniforme et intacte jusqu'à ce qu'elle touche sa cible.

raido... le voyage dans les ténèvres... Tu vas goûter à sa puissance...

Son oeil noire de plus en plus brillants, elle était complètement en extase devant la puissance déployée. Il ne pourrait pas lui échapper!!!
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyLun 26 Jan - 1:11:41

Oui, en effet, il aurait fortement du prendre ses jambes à son coup lorsqu’il en eut la chance. Mais il ne le fit pas. Il resta sur place, plus étonné et surpris qu’autre chose. Cette prof là avait une dent contre lui, c’était presque trop évident! Il l’entendit clairement, trop peut-être, lâcher un sortilège de désarmement. Aussi c’était donc il attendu à perdre sa baguette, mais ce ne fût pas le cas. Il le sentit sur lui, carrément. Ses deux pieds lâchèrent le sol en même temps alors que tout son fêle corps s’envolait du sol pour lourdement aller s’écraser contre la rocaille. Dans son vol plané, il avait lâché prise sur le bout de bois qui lui serait de baguette, la perdant ainsi de vue. Il resta immobile au sol, quelques instants, comme s’il cherchait à réaliser ce qui venait de se passer. Ouais, et bien… Il venait de se faire attaquer par une professeure… Pas très encourageant, tout ça.

Il se redressa péniblement, tant bien que mal, sentant la migraine fuser dans son crâne, l’assommer un peu plus que ce qu’il n’était déjà. Il fallait dire aussi qu’il n’était pas très difficile à « briser » avec un sort, surtout lorsqu’on ne regardait que son petit gabarit. Il releva son visage pale vers la jeune femme, au même moment où elle effectuait un second mouvement du poignet. Il allait encore s’en prendre plein la gueule s’il ne réagissait pas, et tout de suite! Il chercha bien des yeux sa baguette, mais en vain, elle avait vraiment disparue… Du coup, il releva ses yeux de cendre vers Elle, la voyant lancé il ne savait trop quoi dans sa direction. Ça n’annonçait franchement rien de bon pour lui, en tous les cas. Cette masse s’approcha bien trop rapidement de sa personne. Il se dégagea rapidement sur le côté de manière à la laisser filer, sans qu’il ne soit atteint, et fut assourdit par le son que ça produisit en passant près de lui.

Il effectua une rapide volte-face sur lui-même et constata que ça ne servait plus à rien de fuir cette espèce de boule d’air, il allait se la prendre en pleine gueule, puisqu’elle semblait bien décidé à revenir à la charge pour l’atteindre. Trop rapide pour lui… Bien trop. Il n’eut que tout juste le temps de place un bras devant son visage que le sort lancé l’atteignit, comme prévu par la miss en question.

Tout ce qu’il ressentit, à cet instant précis, fut la douleur. Pure et simple. Une douleur oppressante sur sa personne. On aurait dit des lames de rasoirs qui essayaient de l’écorcher vivant. C’était presque ça, en réalité. Ses vêtements ses déchirèrent, mettant ainsi sa peau blanche à vive. Une blancheur qui se teinte bien rapidement du rouge du sang qui coulait dans ses veines. Ça ne semblait pas vouloir s’arrêter, et lui ne semblait pas vouloir retirer son bras meurtri de son visage. Au moins, il y aurait ça qui n’en souffrirait pas trop. Il en tomba même le sol, dans l’attente incessante que tout s’arrête. Il n’écoutait plus ce qu’elle marmonnait, plus loin. Son esprit s’engourdissait, cherchait à s’éloigner de lui-même, à fuir dans les ténèbres pour éviter la douleur.

Il retira enfin son bras, fixant son regard de cendre sur ce dernier, sur sa main tremblant dangereusement. Intérieurement, il paniquait. Il fallait dire qu’il n’avait jamais été très doué pour extérioriser ses peurs, ses sentiments, sauf lorsqu’il s’agissait de colère. Sa tête reposait à même le sol, sa chevelure d’ébène complètement en bataille retombant elle-même sur son visage plus pâle encore qu’à son habitude. Il ne tiendrait pas, il n’y arriverait pas… Il le sentait… Il fixant de ce regard soudainement si vide, sans intérêt, cette main qui lui appartenait, recouverte de marques, de coupures sanguinolentes. Et il sentait tout son corps comme cette main qui lui appartenait; douloureux. C’était un sortilège interdit dont elle avait fait usage sur sa personne…


« Les mangemorts se croient… tellement plus puissant que les autres… »

Il n’espérait pas avoir mis le doigt dans le mille, mais les doutes qu’elle n’était pas une adepte étaient désormais très minces. Il avait dit ça sur un ton plutôt faible, comme s’il avait encore une fois cherché à ce qu’elle fasse un maximum de bouquant, étant donné que lui-même ne pouvait plus le faire. Juste attirer l’attention sur eux, rien de plus… Avec un peu de chance, il s’en sortirait… Enfin… Si la chance était avec lui, ce qui n’arrivai que plutôt rarement, en réalité.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyLun 26 Jan - 18:43:58

Mizore regarda avec délectation sa boule d'air passer à côté de Damien sans le toucher... S'il pensait pouvoir lui échapper comme ça, il se trompait le môme. La rune se mit en route, elle s'éclaira d'une lueure violette avant de changer de direction, la boule repartit dans le sens inverse. Qu'importe s'il trouvait un balais dans le coin, qu'importe s'il courrait, sa boule le suivrait partout, où qu'il aille, elle le suivrait et le toucherait. Car contrairement aux sorts normaux, les runes avaient la seule possibilité d'être éternelles, mais les humains ne l'étaient pas... Non, ils ne l'étaient pas et Damien allait bientôt goûter à ce désir de mort. Mizore le vit se retourner, un rire sournoix monta de sa gorge, elle éclata lorsque la boule frappa le jeune garçon de plein fouet. Le seprentard n'eut que le temps de recouvrir son visage, que déjà la boule d'air déchirait ses vêtements avant de s'attaquer à sa peau qui se recouvrit de sang. A cette vue la jeune femme trépigna sur place comme une gamine qui reçoit un bonbon. Elle vit son visage se tordre de couleur lorsqu'il enleva son bras, il tomba sur le sol, les quelques feuilles et la seule neige restante le récuppérant et amortissant un peu sa chute. De toute façon il souffrait bien assez comme ça. Mizore s'approcha de lui et observa. Les coupures sanguinolants s'étalaient sur toute sa poitrine, si blanche avant et rouge maintenant, elle remontaient jusqu'aux épaules et recouvraient ses bras. Ses jambes étaient aussi touchées, et son pantalon en lambeaux se gorgeais de son sang comme une serviette.

La jeune femme adorait ce sentiment d'impuissance qui se lisait sur le visage de ses victimes. Leur esprit essayait de se noyer dans le noir de la mort pour ne plus souffrir, mais le coeur n'étant pas atteind, ils ne pouvaient pas mourir... Alors ils étaient de souffrir, de subir cette vague de souffrance autant qu'ils le pouvaient. Justement dans le cas du jeune vert, elle n'était pas encore assez forte pour qu'il puisse même s'évanouir. Non, il ne fallait pas qu'il s'évanouisse, il devait rester conscient pour savoir et connaître ce qu'il coutait de la mettre en colère. La jeune femme lui laissa reprendre ses esprits, elle avait tout son temps. Personne ne s'apercevrait de son absence avant des heures... Elle pouvait attendre qu'il se remette doucement pour lui remettre une dose de souffrance encore plus puissante que la précedante. C'est justement cette lente reprise de conscience qui lui fit dire ses mots. Il était intelligent, ça oui, mais en même temps à part si elle avait été sous l'emprise de l'impero, comment une professeure se serait mise à attaquer son élève... Cela était invraissemblable...

Tu es observateur... Mais si nous croyon cela... C'est que nous le sommes! Car qui d'autres que nous pouvons utilisez ses sortilèges interdits? Qui a part ceux qui sont les plus puissants!!

Impero !

Le sort fusa sur le corps de Damien, Mizore susurra entre ses dents, d'une voix enjouée, sadique, elle le fit se lever malgrè les blessures qui le couvraient. Comme cela il devait souffrir, être obliger de se tenir sur ses jambes, alors que celles-ci ne pouvaient manifestement pas soutenir son corps... La jeune femme sourit, elle traca un cercle autour de lui.

Gebo...Isaz...Thurisaz...Hagalaz... Venez à moi...

Les lettres tracées sur le cercle se mirent à miroiter, le G devint vert, le I bleu, le T jaune, le H orange. Les lettres devinrent troubles et semblèrent se matérialiser.

Bien bien... je vous donne ceci...

Mizore dirigea sa baguette vers le haut, un jet de lumière rouge éclata dans les airs lorsqu'elle prononca le sort.

ENDOLORIS !!!

Les quatres runes suivirent la trace du jet et très haut dans le ciel, elle se refermèrent sur le sort, un craquement effroyable retentit dans toute la forêt. Les quatres ne formèrent plus qu'une seule rune, une équation noire de niveau 3 qui retomba vers le sol, vers Damien, immobilisé. Enfermant le sort de douleur au coeur de l'enemble qui se métarialisa en sorte d'oiseau juste avant l'impact. Mizore partit dans un rire effroyable. Ce n'était pas le coup de grâce mais il verrait la puissance des mangemorts !!
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyMar 27 Jan - 17:05:46

[À Papy Bachelard, donc]

Il n’était même plus ce qu’elle disait. Ça n’avait plus la moindre importance. Il avait cette bien étrange envie de dormir, soudainement, juste pour la faire chier, la frustrer d’avoir raté son coup. Toujours étendu dans la fine couche de neige, le froid mordant de cette dernière commençait déjà à engourdir ses membres et ses blessures. Il sentait sa présence oppressante, toujours près de lui. Elle ne semblait toujours pas vouloir le lâcher, de toute évidence… Il fallait dire qu’il n’avait jamais été un garçon très chanceux, mais aujourd’hui, la poisse lui courrait vraiment après.

Insatisfaite, la jeune femme en voulu plus de lui. Plus que ce qu’il n’était capable de supporter. C’était d’ailleurs très étonnant de le voir encore conscient. La malchance qui le suivait, où qu’il aille, quoi qu’il ne fasse, elle ne le lâchait pas. Miss Bachelard lança sur lui un Impero… Il n’en fut même plus surprit. Elle était bien décidée à faire de lui son « enfant martyre » et elle le réussissait plutôt bien, en fait. Et lui? Lui, et bien, il était trop épuiser pour se débattre, pour répondre quelque chose. Autant dire qu’il se laissait faire, comme il l’avait si souvent fait dans le passé lorsqu’il sentait qu’il n’arriverait pas à reprendre le dessus et qu’il devait, du coup, se laisser abattre. Il avait toujours été plus faible que les autres, sauf qu’il avait été trop orgueilleux pour le dire à vive voix ainsi que pour se l’avouer à lui-même. Elle l’obligea à se redresser, à se mettre debout et à se tenir sur ses deux jambes plutôt flageolantes et peu solides. La douleur, si elle avait été insupportable au début, semblait bien plus endurable, étant donné qu’elle était engourdit. C’était déjà ça de gagné, bien que ce n’était pas très bon signe.

Elle le laissa ainsi, l’obligeant à resté planté en un piquet glacé sur place alors qu’elle s’amusait à dessiner quelque chose autour de lui. Mais qu’est-ce qu’elle fabriquait encore? Ne pouvait-elle pas seulement le laisser crever comme un chien dans la froidure de l’hiver? Décidément, non! Elle en voulait plus, comme l’enfant trop gâté qu’elle était. Elle prononça quelques mots, incompréhensible pour lui. Tout ça ne sentait vraiment pas bon… Enfin, pour lui, disons. Ça n’annonçait rien de très positif, et lorsque ses yeux de cendre se posèrent sur les lettres qui se mettaient à briller, il ne pu que réprimer une moue encore plus exténué, sentant venir le coup d’avance. Elle allait l’achever avec cette attaque, c’était assuré d’avance, et personne, finalement, ne sera venu pour lui. Personne ne venait jamais pour lui de toute façon. Un être aussi insignifiant que lui n’avait aucun valeur aux yeux de quiconque. Une vie futile. Rien de plus, rien de moins.

Il l’entendit prononcer un Endoloris… Évidemment, il allait se le prendre en pleine gueule, puisqu’elle l’empêchait toujours de bouger et que, de toute manière, il n’aurait pu que s’écrouler si elle n’avait pas fait usage de l’impero. Il était trop épuisé pour seulement tenter de faire un moindre mouvement. Il posa ses yeux sur elle, au moment où le sort s’éleva au dessus de sa tête, en compagnie des runes en question, lui lançant ce regard remplit de défi. « Tus-moi! Vas-y! » Du moins était-ce ce qu’il semblait dire à cette manière de la regarder. Il n’eu guère besoin d’attendre longtemps, en fait, que déjà, l’étau se refermait sur lui, le sort le happant de plein fouet alors qu’il retombait du ciel vers la terre, dans sa direction.

Comment expliquer la douleur que l’on vit lorsqu’elle est si intense que le corps lui-même semble vouloir se déconnecter de la réalité. Pourtant, c’est impossible. On subit, sans pouvoir bouger, sans pouvoir hurler parce qu’on se sent paralyser par le mal qui s’empare de soi. On voudrait dire quelque chose, on voudrait se défendre… Mais les forces manquent cruellement. Il gémissait, mais c’était tout. Il hurlait, mais uniquement dans sa tête, étant incapable d’extérioriser son mal. Il craquait… Il y avait des limites à ce qu’un gamin de onze ans pouvait supporter…

Sa vision se troubla alors qu’il avait l’impression que ses tempes allaient exploser sous la pression qui se faisait dans sa tête, alors qu’il avait l’impression que son cœur allait défoncer sa cage thoracique tant il lui faisait mal, alors qu’il avait l’impression que tous ses os étaient broyés. Et son esprit se déconnecta… Il tourna de l’œil. Le sort de l’Impero perdant donc de son emprise sur l’esprit du garçon, ce dernier flancha, son corps si fragile et si frêle basculant vers l’arrière, il s’écrasa une seconde fois au sol, pour, cette fois, ne plus se relever, emprisonné dans une inertie des plus complète.
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyJeu 29 Jan - 10:00:12

Le Professeur Bachelard se baladait dans la forêt. Celui ci cherchait patiemment une plante très rare qui ne fleurissait que la nuit, le seul problème c'est que cet hellébore ne poussait que dans quelques zones bien précises de la forêt interdite. Ces zones ne sont pas fréquentées par des bêtes sauvages qui la rendrait dangereuse mais elles sont plutôt difficiles d'accés. Cependant pour le professeur rien n'était trop beau pour une plante, il avait donc passait la soirée à la chercher, mais il ne trouva rien bien entendu il avait ramassé quelques champignons et plantes pour ses tisanes. Il ne faut jamais faire de voyage à vide disait sa grand mére. En fin de journée quand il n'avait plus d'espoirs pour trouver sa plante, il tomba sur une magnifique petite clairière au clair de lune, et se souvint qu'il avait lu sur celle ci qu'elle apparaissait uniquement les soirs de pleine lune dans des forêts claires, il alla donc dans cette clairière en cueillir une ou deux, histoire de profiter de leurs bienfaits. Suivant tranquillement un petit sentier, pour revenir aux serres de Poudlard qui n'étaient pas toutes proches, celui ci entendit un déchirement dans la forêt. Il regarda derrière lui mais ne vit rien, cependant en écoutant bien il entendit des paroles humaines. Celui ci se dépêcha de se diriger vers l'origine des sons. En arrivant sur les lieux des sons, cachés derrière un buisson, il essaya d'observer ce qui se passer ici, et il distinga deux silhouettes, des silhouettes qu'il n'arrivait pas à reconnaitre.

Il écouta attentivement les voix qui émergèrent des deux sorciers, Bachelard sembla reconnaitre à sa taille, un élève, en tous cas un sorcier de la taille d'un élève, réajustant ses lunettes, il aperçu un autre sorcier de plus grande taille, celle ci sembla être une fille. En y regardant de plus prés c'était... sa fille. Mais qu'est ce qu Mizore faisait dans les parages et pourquoi en avait elle aprés le petit sorcier. Bachelard analysa de plus prés celle ci, et vit qu'elle ne semblait pas être dans son état normal. Une question trottait dans la tête de Bachelard qui était celui qui se trouver en face de celle ci, un sorcier de petite taille ce ne pouvait être un magemort seul, pas non plus un professeur, alors c'était certainement un.... élève. Regardant de plus prés dans la pénombre, il reconnu clairement l'uniforme de la maison Serpentard,et en se raprochant il distinga clairment le jeune Damien. Bachelard réfléchit deux secondes et vit que sa fille lança un endoloris sur le malheureux élève, celui ci semblait perdre connaissance si elle continuait comme cela celui ci finirait dans le cimetière de Poudlard. Mizore semblait avoir un dent sévère contre lui, qu'est ce que l'élève avait bien pu lui faire. En y reflechissant bien, cette Mizore n'était pas celle que Bachelard cotoyait d'habitude, celle ci était obscure. Ses yeux étaient emplis de haine. Bachelard posa son panier, mangea une petite fraise des bois, pour faire le plein de vitamines et sortit sa baguette, il la pointa discrètement derrière lui, et lança un accio afin d'amener à lui un pendentif en aigue marine ayant la forme d'un phénix. Il le mit dans sa poche et se dirigea à petits pas vers Mizore, celle ci trop concentrée sur Damien, ne pouvait bien sur pas l'entendre et encore moins le voir. Celle-ci commença à lever sa baguette, levant les yeux au ciel perdu dans les étoiles, puis un sourire s’afficha sur son visage, et elle baissa sa baguette sur Damien, et commença à prononcer le sortilège le plus effroyable, celui de la mort. Bachelard ni une ni deux, arriva derrière Mizore et pointa sa baguette sur elle lança dans un premier temps un sortilège de croche pied, celle-ci trébucha donc parmi les arbres, son esprit perdu dans l’adversité, déconcentrée, Bachelard revint sur elle, et pointa rapidement sa baguette sur son front, et lança le sortilège de DESILLUSION.

Une brume sortie de la baguette de Bachelard et entra dans l’esprit de Mizore, puis Bachelard assurant que Mizore ne reviendrait pas si tôt lui lança un INCARCEREM. Mizore était donc confuse et attachée laissant le temps à Bachelard de s’occuper du jeune Serpentard, en plutôt mauvaise état, il couru vers lui celui-ci était couvert de blessures, Bachelard pointa sa baguette à son tour sur lui et lança le sortilège CURO, qui guérit les plaies superficielles. Ensuite Bachelard pointa sa baguette dans le noir de la forêt, et lança un ACCIO, un défit du souci arriva tout droit des serres de botanique, Cette plante assez rare avait la vertu de faire oublier les douleurs pour quelques minutes permettant à celui qui la goût de retrouver peu à peu ses esprits, les plaies profondes se refermèrent, pour les autres plaies, Bachelard n'avait pour le moment pas le temps de les soigner. L’élève à présent en partie rétablit. Bachelard décida de le ramener dans les serres pour finir de guérir ses nombreuses blessures et revenir s’occuper de Mizore juste après cependant celle ci étant une mangemort au niveau redoutable, le vieux Bachelard préféra s’assurer que même si celle ci ne retrouve pas ses esprits, pourqu'elle en finisse avec le pauvre Serpentard. Bachelard cacha le petite derriere des arbres une des meileures protections. Puis il s’approcha donc du lieu où Mizore se débattait d’elle-même, Puis il pointa sa baguette lançant le sort d’ANIMA PLANTAE vers les arbres autour d’elle, ceux-ci se levèrent et se regroupèrent autour d’elle pour former une prison végétale. Bachelard approcha des arbres et les fit se fusionner au sommet et au tronc. Puis il pointa sa baguette vers le sol, pour transformer les racines en bois. Bachelard prononça ensuite un enchantement qui durerait le temps de son retour afin de protéger les arbres des recours aux quatre éléments. La prison était ainsi impossible à detruire avec des sortilèges de base, les élèments n'avaient aucuns effets, et il était impossible d'en sortie ou d'y faire entrer quelque chose. Celle ci devrait donc resister à Mizore. Bachelard retourna rapidement vers Damien, celui-ci avait malheureusement perdu sa conscience il ne pouvait pas se rendre compte de ce qui se passer. Il était trop faible pour retourner à Poudlard, Bachelard decida de le soigner sur place, la plante commençait à faire effet, et Damien ne semblait plus souffrir, Bachemard avait heureusement pour lui bon nombre de bases en Médicomagie, et commença à soigner ses plaies. Il prit dans son panier une plante et un champignon. Il entoura des feuilles de la plante autour de sa baguette, et commença à retracer les blessures trop profondes pour être soignées par des magicomédicaments, la bonne vieille méthode serait certainement plus efficace. Une fois chaque blessure rendu magique, Bachelard fit sortir les blessures réelles du corps de Dam', en les echangeant avec celles virtuelles, Ceci evita à Damien de trop soufrir sachant qu'il était déjà sous l'effet du défit du souci. Puis les blessures du corps disparurent dans les feuilles de la baguette. Pour les traumatismes dû au sortilège d'endoloris, Bachelard prit le champignon et le secoua au dessus de Damien, une poussière blanche en emergea et se deposa sur Damien. S'en suivi une multitude de petits mycélliums se mirent à pousser sur le corps de Damien, et surtout des spores enterent dans les poumons et la bouche du jeune élève. Qui par suite sembla faire une pseudo crise d'epilepsie, les champignons firent leur effet et disparurent. Damien était en partie retablit, Bachelard decida d'enfin l'emmener dans les serres pour lui faire oublier le plus de chose possible et ainsi le renvoyer à Poudlard. Seulement Mizore avait disparu de sa prison, Bachelard avec un coup de baguette expulsa Damien derrière les arbres et se tena prés.


Dernière édition par Sigmund Bachelard le Dim 1 Fév - 23:19:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyDim 1 Fév - 20:30:34

Mizore regarda Damien touché par le sortilège. Le cri de douleur qui se lisait sur son visage permettait à la jeune femme de toucher le septième ciel... Le gamin s'écroula sur le sol, la douleur était telle qu'il ne pouvait plus rien faire, il était totalement anhéantie, son esprit s'échappa hors de sa conscience et s'évapora, le jeune serpentard sombra aux pieds de son tortionnaire. Ainsi, il avait faillit, et encore une fois, le démon avait gagné, il avait vaincu sur l'adversité, de toute manière il ne pouvait qu'en être ainsi. Elle était la puissance, il n'y avait aucun doute la dessus. Le sourire immensément sadique qui s'étira le long du visage de Mizore aurait fait peur à n'importe qu'elle personne se trouvant dans les parages. La jeune mangemorte s'approcha de sa victime, elle le roula du pied, le retournant, elle se pencha et lui fit tourner la tête vers elle, le rire grondant dans sa poitrine. Elle lui fit une griffure à la joue empregnant son doigts de sang avant de se redresser. Sa langue se perdit le long de son doigt goûtant au sang chaud... La jeune femme leva sa baguette et un nouveau sourire s'étira sur ses lèvres.

AVADA KED...

Elle n'eut pas le temps de finir le sortilège, tout ce passa trop vite... Elle n'avait sentit la présence de personne, trop absorbée par sa séance de torture. Elle se sentit hâpée en arrière, comme si elle s'était prise les pieds dans quelque chose. Le sort la fit trébucher et elle tomba à genou sur le sol. Le temps qu'elle revienne à elle ne dura qu'un dixième de seconde, déjà, elle avait reserré sa main sur sa baguette et s'apprêtait à faire face au nouveau venu. Encore une fois, il la prit de cours, le sortilège de désillusion la faucha sur place, empoignant son esprit, il s'insinuait dans les interstices de son cerveau. La jeune femme se tint la tête entre les mains, essayant de se contrôler, les chaînes vinrent serrer ses poignets et ses chevilles... Mizore vit les arbres se rapprocher d'elle, ils formèrent une cage parfaite autour d'elle, une forteresse imprenable. Au moins, elle ne pourrait pas être attaquée par des animaux sauvages, cela était impossible puisque rien ne pourrait l'atteindre. Avant que les dernières branches ne se referment, la jeune femme vit son attaquant... Son père... Le vieux Bachelard en personne... Cette révélation fit sourire la prisonnière, avant que sa cage ne soit complètement fermée, le combat s'annonçait intéressant...

Elle se doutait que son père allait sauver le môme avant de s'occuper d'elle. Ainsi, elle aurait tout le loisir de l'écraser comme elle le pouvait. Elle avait le temps... Juste le temps qu'il soigne ses blessures les plus pronfondes. D'ici là, elle se serait libérée, il n'en faisait aucun doute, de toute manière, personne ne résitait à un mangemort. Car son brave paternel avait oublié une chose... Il l'avait peut être enfermé, mais elle avait toujours sa baguette à la main. Toujours, elle pouvait donc jeter le sort qu'elle voulait et embraser cette forêt si elle le voulait. Déjà, il fallait qu'elle se enlève ces cordes. D'un sortilège d'annullement, les cordes se changèrent en serpents, comme le fait chaque mangemort, digne serviteur de la marque incrustée dans leur bras. Ceci fait, la jeune femme se redressa, elle regarda autour d'elle les arbres serrés et enlacés. Si elle les cramait, elle risquait de brûlait avec eux, ce qui n'arrangerait pas le suite de ses plans... L'eau ou le givre ne servirait à rien... Les arbres de son père était trop fort pour qu'elle les détruise... Mizore rit fort, les éléments étaient inutilisable... Son père s'était bien foutue de sa tronche, il avait reussi à la rendre impuissante dans sa prison végatale. Toutefois, elle essaya tout de même...

confringo feu deymon.

Les flammes hurlèrent embrasant les arbres, ceux-ci paraissaient se tordre et se plainre sous les flammes mais les flammes furent comme avalées par le bois. La jeune femme jeta un cri rajeux, il lui était impossible pour elle de sortir d'ici, du moins pas par des moyens trop basiques... Elle devait utiliser son énergie vitale... Elle se pencha et traca autour d'elle même un cercle, elle s'assit au milieu, le bout de sa baguette dans le sillon...

Tiwaz... Je t'invoque... viens à moi...

La rune brilla et s'infiltra dans les sillons... Elle les suivit jusqu'au centre jusqu'à Mizore et s'infiltra dans son corps. Le pouvoir de la rune se conjugea à la magie de la sorcière, celle-ci se releva les yeux dorés et posa ses mains contre sa prison. Elle n'avait pas beaucoup de temps... Il fallait que son corbeau soit là... sinon ça ne marcherait pas... heureusement, elle repéra l'animal à quelques mètres, la jeune femme prononça alors rapidement.

UrAnKai.... Sowilo...

Elle rejeta la tête en arrière, son visage exprimant une douleur psychique incroyable. Son corps disparut à travers le bois... En effet, le corbeau possédait un morecau de son esprit, puisque rien ne pouvait entrer la partie de l'âme se trouvant dans l'animal ne pouvait pas rejoindre le reste. Mais Mizore au pris d'un gros effort pourvait rejoindre l'animal. Ce qu'elle fit même si cela signifiait la perte de la moitié de sa vitalité... Elle se retrouva hors de la prison et s'éloigna de la prison pour reprendre des forces... Elle repéra une plante de vie et la mangea pour reprendre des forces... Elle s'était déjà éloignée d'une vingtaine de mètres et regarda où elle se trouvait... Elle allait préparer son attaque, elle ne pouvait pas laisser son père s'en sortir comme ça après ce qu'il lui avait fait... A t'on déjà vu le combat entre une fille et son père qui se battent jusqu'à la mort de l'un ou de l'autre. Car pour le double maléfique de la fille Bachelard c'était une bataille à mort qui s'engageait. Elle regarda autour d'elle s'imprégnant du paysage, de ses avantages et de ses inconvénients. Elle avait l'avantage de la jeunesse et de la force des runes, lui de celui de l'expérience et il n'avait pas passé des mois à assassiner des gens, la fatigue prenait les muscles de la jeune femme comme une vague hape le nageur qui tente de remonter à la surface. Elle se dirigea vers quatres points autour du lieu où elle se trouvait, se penchant sur chaque lieu, tracant dans la terre des signes, elle posa sa main à plat dessus et sa baguette sur sa main. Ainsi quatre fois, elle posa des pièges.

Kaunan, la torche, embrase sa chair... Sowila brûle son esprit... Raido le chemin de l'obscurité montre lui le noir... gebo l'offrande prend pocession de lui...

A chaque fois, les dessins s'illuminèrent, avant de s'éteindre, les runes n'agiraient que quand Mizore le leur demanderait. Bien sûr, elle n'allait pas utiliser la combinaison la plus forte, celle qu'elle seule pouvait contrôler, du moins en dehors de son maître... Celle qui apportait la souffrance ultime et la mort... Elle ne l'utiliserait pas car elle n'était pas en état de la créer... Cela lui demanderait trop d'énergie... Car ce qu'elle n'avait pas encore appris à ses charmantes têtes blondes d'élèves, c'est que pour donner forme à une rune, le sorcier doit lui inssuffler un peu de son énergie vitale... Sinon, elle ne pourra pas s'élever et montrer son pouvoir. Mizore avait déjà utiliser de son énergie vitale contre Damien, ce gamin imbécile, et la moitiié de sa vitalité pour sortir de sa prison... Elle ne pouvait donc pas risquer de perdre sa vie en créant une équation trop forte... Car non seulement, elle prendrait la vie de son adversaire mais la sienne aussi, ce qui n'était pas le but... Son visage s'étira dans un rictus éffroyable alors qu'elle levait sa baguette, son autre main jointe le long du morceau de bois, elle ferma les yeux, poussa son énergie vitale le long du bois et réouvrant ses pupilles elle lança les runes sur son père qu'elle venait de repérer après qu'il ait eu caché Damien.

Confringo !!

Trois seulement se ruèrent sur le vieux Bachelard, la dernière attendant son heure. Elle partirent vers le vétérand à une vitesse effroyable en tourbillonant, tracant leur sillon dans l'air, les plantes mourant sur leur passage et l'air se rétractant...
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MessageSujet: Re: Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV]   Si ce n'est pas drôle... he bien pleure [PV] EmptyDim 1 Mar - 15:35:57

Sa fille était devenue folle. Possédée par le diable. Elle qui d'habitude était si attentionnée, le Mal avait prit le dessus. Bachelard regarda si le petit était bien en securité et soudain il entendit la voie de sa fille derrière lui. Sa fille se tenait debout elle commença à appeller des noms, Bachelard jugea que sa fille faissait appel aux runes un domaine qu'elle maitrisait parfaitement. A peine eut il le temps de penser à une solution que les runes se dirigèrent sur lui, brulant les plantes sur leurs passages. Bachelard se depecha de pointer sa baguette sur lui et utilisa le sortilège d'apparition, pour se dédoubler. Cependant son clone à peine multiplié et sortit de lui même que les runes étaient là. Dans une déflagration assourdissante, Bachelard sentit son bras s'arracher, dans un cri de douleur, il tomba à genoux. Heureusement pour lui seulement une des trois Runes l'avait touché, Bachelard malgré sa douleur se souvit des mots prononçait par sa fille:

- Kaunan, la torche embrase sa chair

Par chance son leurre avait dû tromper les autres runes, mais son bras gauche était trop nécrosé pour être encore utilisable. Bachelard devait trouver une parade pour occuper sa fille. Un subterfuge assez gênant pour l'empecher de revenir à la charge directement, permettant à Bachelard de soigner sa douleur et d'aller proteger un maximum Damien. Bachelard eu soudain une idée. Endormir sa fille serait un sortilège qui durerait suffisament longtemps pour que Bachealrd est le temps de faire ses affaires. Cependant sa fille resisterait certainement à un sommeil artificiel, il fallait donc lui trouver une fois de plus un "joujou" sur lequel elle utiliserait sa force. Bachelard, les yeux rubescents, distingua la silhouette de sa fille s'approchait. Il essaya de contenir sa douleur pour ne pas manquer sa cible. Celle ci s'approcha [Excuse moi de te faire jouer mais c'est pour le scénario] Bachelard sentit qu'elle commençait à repréparer un mauvais coup, il souleva la tête et pointa sa baguette sur celle de Mizore et lança désesperement le sortilège du Sommeil Enchanté. Celui ci plondeant sa fille dans un sommeil artificiel mais qui en même temps l'empecher de respirer, Bachelard se hata donc de relancer un autre sortilège car il ne voulait pas perdre sa fille chérie :

- ANAPNEO

Les voies respiratoires de sa fille se liberèrent, et son souffle revint avant même d'avoir disparu, malgré cela ce sortilège ne suffirait à contenir sa fille qui se rendrait bien vite compte de la chose. Bachelard dans un denier élan d'éfficacité pointa succinctement sa baguette sur le front de Mizore et lança:

- PESADILLA

Celle ci dans un sommeil profond verrait le songe dépasser la fiction. Bachelard espérait qu'elle s'epuiserait à se battre contre elle même. Il esperait que celle ci ne trouve pas immédiatement dans quoi elle était. Bachelard s'occupa à présent de lui, son bras était brulé par une entité magique qu'il ne connaissait même pas, il pointa sa baguette sur sa plaie. Et utilisa les sortilèges du bon médicomage, d'abord il utilisa TERGEO pour nettoyer sa plaie, puis le sortilège d'ASEO et termina par le sortilège de CURO, son bras était guérit cependant Bachelard le sentait encore bruler, sans comprendre pourquoi. Il n'avait pas le temps d'y réflechir, il devait proteger Damien. Il se dirigea à nouveau vers lui. En entendant Mizore criait de frayeur ou de douleur, il s'approcha de Dam' et essaya de lui parler:

- Ca va mon petit ?

Bachelard n'attenda pas sa réponse. Mizore ne tardrait pas à reprendre conscience aprés avoir trouver un moyen de lutter contre ses cauchemars. Bachelard lança un sortilège d'Impassibilité autour du jeune homme afin de le proteger des futures attaques de Mizore. Bachelard le secoua un peu pour le rammener à la raison...
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