|  Sujet: Christopher Duncan (Serdaigle)  Ven 26 Déc - 21:58:29 | |
| Nom : Duncan
Prénom: Christopher Roméo
Age en HJ : 19 ans
Age du personnage s'il est du livre ou d'une famille : Fils aîné de la famille Duncan et grand frère de Lucy à temps plein :sifle:
Né un 13 novembre 1983, il est âgé de 14 ans.
Comment avez vous connu le forum? Par la ténèbreuse Pénombre Craft D ans la vie, Il y avait des hauts et des bas, Soit tout était rose, soit tout était gris, Mais jamais les deux à la fois. Dans la vie, Rien n'arrivait jamais sans raison, Il fallait savoir provoquer sa chance, Seul le destin et l'avenir nous le diront. 
Dans la vie, de Christopher Roméo Duncan, malgré ses qualités et ses défauts, avait eu la chance un jour -le 1 septembre 1993, pour être plus précis-, de fréquenter le collège de Poudlard. Il allait confier au choixpeau magique le chemin de sa destinée. Le destin d’un garçon sans histoire. La décision de ce vieux chapeau de sorcier, héritage du collège laissé par l’un de ses fondateurs déciderait de la vie de cet enfant plus haut que trois pommes, et il déciderait d’une vie aventureuse avec des hauts et des bas pour lui.
Notre histoire, comme dans tous les récits de la vie commence par le plus gris, mais aussi le plus rose des sentiments, l’amour. C’est lors d’un voyage en France, que deux âmes sœurs allaient se croiser pour finir par se marier et fonder une famille.Avant même la chute du Seigneur noir, des siècles avant la naissance du dernier descendant, La famille Duncan était de sorciers dont l’ascendance dans leurs veines était un sang pur et la magie blanche était une tradition à la famille. Aujourd’hui, cette lignée avait été souillée par des moldus, mais cette tradition était toujours présente.
En 1955, une femme d’origine anglaise, Emily, donna naissance à un petit bambin du nom d' Henry Duncan, dernier héritier de cette famille. C’est dans la ville de Londres que le Senior de la famille Duncan avait vu le jour. Les Duncan était une famille sans histoire, pas très fortunés, dirons-nous de la petite bourgeoisie, « aisés mais pas trop », aucun ancêtre ne s'était particulièrement démarqué. Ils étaient une famille assez honnête, traînant derrière eux de petites magouilles de temps en temps peut-être, mais rien de très important.
Le temps passa et Henry grandit pour devenir un bel homme. Déjà enfant il était d’une beauté sublime, alors imaginez en homme ! Il était tellement brillant qu’il avait devant lui un avenir prometteur. Henry était devenu un sorcier talentueux, qui avait fait ses études au collège de Poudlard, dans la maison de Serdaigle. Après son diplôme, il avait eu la chance de travailler pour le ministère dans le département des créatures dangereuses. Il devait beaucoup voyager dans le monde pour son travail.
C’est en 1981, lors de son voyage en France dans une petite banlieue, qu’il allait rencontrer la femme de sa vie. Il s’était installé dans une auberge du coin pendant quelques jours avant d’aller résoudre, dans un majestueux manoir français, un problème d’épouvantard dans le placard de la chambre de celle qui fera palpiter son cœur. Dans son estomac, il sentit ces papillons. Aveuglé par son coup de foudre, Henry lui fit la cour pendant plusieurs jours et plusieurs nuits jusqu'à ce que celle qui possédait la clé de son être soit sienne.
Année 1983, deux ans après que le couple soit marié, - étant donné qu'à l'époque de la première guerre contre le prince des Ténèbres, les sorciers se mariaient très jeunes. C'est à Londres que la petite famille allait s'installer, car Isabelle était enceinte et allait bientôt accoucher d'un fils qui porterait le prénom de Christopher Victor. Isabelle enfanta le nourrisson un 13 novembre dans la chambre de la demeure. La noble dame adorait les traditions de famille et celle de donner la vie à l'intérieur de leur maison en faisait partie. Le bébé était aussi petit d'un gnome, mais aussi charmant qu'une Vélane. Il était fragile comme une poupée de porcelaine. Sa chevelure était d'un blond de blé et son regard, couleur noisette. Ses yeux étaient si chaleureux qu'ils pourraient faire fondre quiconque le prenait dans ses bras, surtout les tantes et oncles de la famille de sa maman, car sa famille maternelle était nombreuse. Puisque que du côté de la mère, ils étaient issus de la bourgeoisie également, mais eux étaient plus fortunés que les Duncan, du fait de leur ascendance à des seigneurs du temps du Moyen-âge etc. Ce sont de grandes fortunes d'il y a très longtemps qui leur permettaient un confort aujourd'hui.
Christopher était un petit garçon qui ne pleurait jamais. Toujours calme, sauf dans la période où il apprit à se tenir debout. Curieux, il commençait à toucher à tout ce qu’il ressemblait à des instruments de musique. Passionné par tout ce qui faisait du bruit. Il fouillait dans les armoires de la cuisine de sa mère, pour y trouver des chaudrons. Après son passage dans la salle à manger, il y avait de la vaisselle partout sur le plancher. C’est depuis ce jour que ses parents se doutaient qu’il serait plus tard un musicien.
En 1984, un 12 septembre, Isabelle eut une surprise pour Christopher. Une petite sœur avec qui il pourrait jouer pendant des heures. Lucy était son prénom, mais elle était encore trop jeune pour le prononcer correctement. Son surnom fût ‘’ Sissi’’. Cette année là, Henry offrit une guitare en jouet à l’ainé. Inséparables depuis ce jour, Lucy et Christopher grandirent ensemble. Tout ce qu’on voyait dans la demeure des Duncan était deux petites têtes blondes qui couraient dans tous les sens. Vers l’âge de cinq ans, Sissi dessinait aux cotés de son grand frère qui jouait de la guitare. Une guitare qui se nommait Patrick. Imaginatif, il donnait même des noms aux peluches de sa petite muse. Que de souvenirs avec sa petite blondinette. Tant de souvenirs, dans leur cœur et dans cette enfance heureuse.L’un des plus beaux souvenirs était quand il avait ensorcelé le nounours de peluche de Lucy pour la taquiner. Fier de lui, il était tout content de montrer à ses parents qu’il était un sorcier.
Deux ans plus tard, en 1986, deux petits démons allaient compléter cette grande famille. Deux faux jumeaux, une fille et un garçon, Abigail et Thomas. Depuis, Madame Duncan ne désirait plus d’enfants. Quatre, c’était bien assez non?
Les années passaient et cette famille restait sans histoire jusqu’au jour où le petit musicien de la famille reçut un parchemin de Poudlard. Il allait apprendre à manier une baguette. Une baguette avec du bois d’aconit, plante vermineuse qu’on utilisait comme ingrédient pour les potions pour assoupir la douleur des loups-garous lors de leur transformation en bête sanglante. Un cheveu d’Harpie, une créature qui avait toujours effrayé l’ainé des Duncan, car chaque soir avant de s’endormir sa mère racontait des histoires. Christopher avait toujours peur d’avoir une harpie sous son lit. Il allait parfois dormir contre sa petite sœur pour qu’elle le protège des vilaines créatures mangeuses d’enfant. En vieillissant, il faudra qu’il soit plus courageux et plus protecteur envers ses frère et sœurs. Mesurant 22,8 centimètres, cette baguette magique était souple et excellente pour les sortilèges. C’est dans la boutique d’Ollivander, sur le Chemin de traverse que cette baguette trouva son maître. Dans les autres boutiques, les parents de Christopher achetaient tout ce dont leur fils avait besoin pour devenir un de ces brillants étudiants du collège. À la fin de la journée, Duncan avait un rat comme animal de compagnie et une glace à la citrouille comme récompense pour avoir surveillé ses sœurs et son frère pendant que les parents achetaient les fournitures scolaires. C’est ainsi que le 1 septembre 1994 arriva à grands pas et que l’aventure du petit musicien allait commencer…1 septembre 1994,
C omme dans les contes pour enfants, une aventure attendait le héros de l’histoire. Une quête attendait Christopher. Une lettre pour lui dévoiler que sa vie serait chamboulée. Un parchemin pour le guider vers ce monde magique. Le monde de la sorcellerie. Un billet de la Gare de Londres, pour l’allée 9¾ .Ce billet était la destination vers le sentier de son destin. Ce destin n’était pas encore décidé, car le Choixpeau n’avait pas encore dit son verdict.
C’est dans la locomotive qu’il se retourna pour faire de grands signes de la main. Dire au revoir à sa famille, mais surtout à sa petite sœur Lucy qui pleurait à chaudes larmes. Il la voyait sangloter, ce qui lui déchirait le cœur, mais il devait l’abandonner malgré lui. Il lui avait promis de lui raconter dans les moindres détails toutes les surprises qui l’attendaient.
Dans le train, ses prunelles chocolatées cherchaient un Wagon vide où il pourrait s’installer sur une banquette et se noyer dans la lecture de bandes dessinées moldues. La lecture, une de ses passions, il en était tellement gourmand qu’il ne pouvait pas s’endormir avant d’avoir terminé ce qu’il lisait. En parlant de gourmandise, il marchait dans les couloirs du Poudlard Express. Il y avait cette dame qui vendait des friandises. Il y avait de tout, des réglisses, des chocogrenouilles, des sucettes à plusieurs saveurs. Incroyable, il se croyait dans l’histoire Hansel et Gretel ! Son ventre grognant de faim, il s’acheta des chocogrenouilles, car il collectionnait les cartes des sorciers célèbres qui se trouvaient à l’intérieur de la petite boîte. Il faisait aussi une collection des dessins de sa sœur Lucy. Il avait gardé tous ses gribouillis. C’est à ce moment là, alors que Chris dévorait la tête de ce petit amphibien, que soudainement son regard croisa celui d’une belle demoiselle. Elle portait déjà son uniforme, avec sa cravate verte rayée argenté et son insigne de serpent. Timides, ses petites joues se creusèrent, laissant paraître des fossettes quand il sourit à la sorcière. Puis il prit la parole dans un murmure paniqué. Ses mains tremblaient sous le stress. En toute ignorance, du chocolat tachait ses lèvres fines. Maladroit, il voulut sympathiser avec elle, mais il parla tellement vite qu’elle n’avait sans doute rien compris à sa question.
‘’L’insigne que tu portes représente bien Serpentard?’’
Curiosité, qualité ou défaut? Une qualité qui le mènera dans un avenir plein d’aventures et d’ennuis. Malheureusement, elle ne répondit même pas à sa question. La vipère le dévisageait de ses prunelles de jade, et elle se détourna de lui, l’abandonnant dans la solitude. Discrètement, il l’observa partir loin de lui d'une démarche hautaine avec sa chevelure d'ébène ondulée, tombant comme une cascade au milieu de son dos. Sa beauté ténébreuse était à couper le souffle. Elle ressemblait terriblement à son héroïne préférée d'une de ses bandes dessinées. Amoureux, il ne pouvait pas le dire. Il ne connaissait rien à ce sentiment. À onze ans, le coup de foudre existait-t-il ? Il avait seulement cette envie folle de devenir son ami. Une amitié qui pourrait un jour, en grandissant, se développer.Lunatique, il sortait de ce monde imaginaire où il croyait avoir vu l’héroïne de ses romans. Ce n’était pas la réalité, simplement une illusion. Il était trop tard, elle avait disparu de sa vue. Il poussa un soupir, mais il ne désespérait pas, car à Poudlard, il la retrouverait.
Dans sa petite robe de sorcier, enroulé dans sa cape, caressant son rat du bout des doigts. Son rat était d’un jaune canari. Il n’avait pas besoin d’un sort pour modifier sa couleur comme Ronald Weasley avait essayé deux ans plus tôt. Le voyage était long et ennuyant, car le petit Duncan était tout seul dans sa cabine. Il était plongé dans ses pensées et s’imaginait des histoires avec cette mystérieuse fillette.
Une voix rauque chatouilla son attention, elle provenait de dehors. Une barbe et une longue chevelure brune frisée comme un mouton. Comme il était vêtu de brun, Christopher l’avait confondu avec un tronc d’arbre. Il avait la carrure d’un arbre aussi. Un demi-géant accueillait les petits nouveaux. Christopher avait beaucoup lu sur les créatures, et sur les géants qui avaient autrefois participé à la guerre de celui-dont-il-ne-faut-pas-prononcer-le-nom. La deuxième guerre n’était pas encore commencée à cette époque de l’année. Intrigué par ce géant qui hurlait
Dernière édition par Christopher Duncan le Ven 23 Oct - 16:53:41, édité 4 fois |
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| | Sujet: Re: Christopher Duncan (Serdaigle) Ven 26 Déc - 22:02:33 | |
| ‘’ Première année par ici’’!,
Christopher se précipita en dehors du Poudlard Express pour se joindre au petit groupe. À côté, deux petites jumelles discutaient du Choixpeau. Chapeau magique? L’héritier des Duncan se demandait si un professeur allait leur faire sortir un lapin de ce vieux chapeau. Mais non, il allait dévoiler l’avenir du garçon.
L’aventure vers ce futur, dont chaque seconde de son existence serait une surprise. La vie était comme un jeu vidéo : on possédait une vie, on avait des quêtes et on mourait. Après la partie c’est game over.
Le Demi géant guidait les enfants dans des barques sur un lac noir de jais. Un lac qui n'inspirait pas confiance. Christopher était brillant, même pour un gamin de son âge, sans nul doute savait-il que dans les profondeurs se cachaient de gros monstres. Il aurait bien aimé un jour aller se faire une petite plongée sous-marine pour explorer les mystères du lac. Dans le livre de l'histoire de Poudlard, l’auteur avait écrit *Les recoins des cachots des serpents étaient situés sous le lac*. Donc si on regardait dans les fenêtres de la Salle commune des Serpentard, pourrait-t-on voir ce peuple de sirènes? Fasciné par la musique, il aurait tant aimé entendre le chant d’une sirène. Mythe ou réalité? Une question sans réponse. Une réponse à chercher dans les grands manuels de la Bibliothèque.
Le soleil était allé dormir pour laisser la lueur de la lune les éclairer. Christopher monta dans une des barques et serrait dans ses petites mains son rat. Conscient d’être maladroit, il ne désirait pas perdre son compagnon dans le lac. Les cheveux blond de sa coupe champignon, coiffure démodée, il ne fallait pas s’inquiéter, avec le temps ça pousse, il suffisait de mettre un peu de poudre magique s‘emmêlaient dans le souffle froid du vent. C’était bientôt l’automne, alors forcément, il faisait un froid de griffon.
Et l’aventure continue. Deuxième couplet de la mélodie qu’était sa vie. Une vieille sorcière accueillait et guidait les enfants dont Christopher, dans l’immense château. Dans cette forteresse majestueuse, brodée de pierres et d’immenses tours, un labyrinthe l’attendait. C’était dans la Grande Salle que la directrice adjointe conduisait les premières années. Le petit Duncan marchait dans le grand couloir du destin. Il ne regardait pas où il mettait les pieds et bouscula plusieurs élèves. Il était émerveillé par la beauté du plafond étoilé dont des chandelles illuminaient l’immense pièce. Des tables et des personnes partout qui le dévisageait. Parmi ces gens, il y avait la fille. Cette vipère qui avait mis son cœur en feu. Il n’avait qu’un mot pour décrire la grande salle, un ‘*Wow* suffisait.Nerveux, les mains humides, moites, Christopher tremblait comme une feuille d’automne. Minerva déroula le parchemin et l’excitation monta. Son cœur palpitait comme un tambour. Puis elle prononça son prénom...
‘’Christopher Victor Duncan’’
D’un pas hésitant, il prit place sur le tabouret et un chapeau fut posé sur sa petite tête blonde. Le verdict approchait. Que lui réservait ce mystérieux Choixpeau?
Dernière édition par Christopher Duncan le Lun 18 Mai - 15:17:08, édité 1 fois |
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