[Tu es tombé dans mes cordes avec ce topic-là. Par contre, pour moi, ce sera en majorité des films américains et québécois.]

Cyanur était dans son dortoir, les yeux rivé sur les derniers rayons du soleil qui s'éternisaient dans un ciel couleur vanille. Elle ne pouvait penser à autre chose que son ex-copain, la vengeance dans la peau. Elle ne s'éternisait pas dans ses souvenirs brulés, mais elle comptait bienlui faire payer dans un pari cruel. Elle avait parlé à Shaar-Lun de ce qui s'était passé car, entre soeur, on se comprend. Les yeux toujours perdu dans la voute céleste, tentant de perçer le mystère de l'étoile, dans une galaxie près de chez vous. Elle décida finalement d'aller dormir car elle allait à Pré-au-Lard le lendemain. Elle savait que cette nuit-là serait la nuit la plus longue.

Le lendemain matin, la Serpentard se leva avec du soleil plein la tête. Elle s'habilla en vitesse après avoir pris une douche. Depuis que son varan faisait partie d'elle, elle était devenu la dame de l'eau. Elle se rappela à l'ordre, ne voulant pas dévoiler son identité à quelconque garçons sans honneur ou autres racolleuses. Depuis sa première transformation, elle sentait des changements en elle. Si bien que, 28 jours plus tard, son physique avait déjà changé. Elle avait pris plus de 8mm, et encore un peu le jour d'après. Néanmoins, elle voulait sortir à Pré-au-Lard alors elle revetit ses plus beaux vêtements et disparut dans la brume.

Voila donc la jeune fille arrivaé dans le village. Tout de suite, elle se rendit à la boutique de bonbon. Elle se sentait dans cette foule, comme Charlie et la chocolaterie. Au milieu des élèves de différentes maisons, dont aucun Vert n'était visible, elle se sentait étrange. Au milieu des Pouffy et des Gryffy, elle était la Reine des damnées. Éternelle devant cette horde de faible, elle regardait les Gryffondors présent. Eux, plein d'honneur et de grandes valeurs. Elle ne songeait qu'a rougir ses main avec le sang des templiers. Sang et chocolat, quel mélange...

Un peu plus loin, se trouvait le Roi Lion, monsieur le préfet des Rouge. La jeune fille s'approcha.

"Will... On prend un peu de soleil?"

Elle s'approcha encore, fixant dans la main du garçon, l'arme fatale. D'un geste rapide et dangereux, elle attrappa un morceau de chocolat. La blonde n'en fit qu'une bouché. La batteuse, n'était pas vriament folle du cash, n'en n'avait jamais beaucoup sur elle. En volant ce bout de chocolat, qui aurait été meilleur avec du caramel, elle s'évitait d'avoir à en payer un.

[29, je t'ai battu...]

Il était tôt ce lundi matin et tandis qu’on s’éveillait doucement dans le dortoir des jaunes, le bruit des gens autour se faisait de plus en plus oppressant. Un peu groggy après sa nuit de profond sommeil, Guillermine s’étira et frotta ses yeux clairs avant de se redresser et de repousser ses couvertures. Brrr, il lui faudrait affronter le froid glacial si elle voulait aller au village, et bien qu’elle ne se sente pas d’humeur a danser la Rumba, elle avait assez envie de quelques chocogrenouilles pour s’activer ! Pour cela et pour une poignée de dollars, il lui faudrait d’abord atteindre sa valise pour préparer son sac et s’habiller chaudement.
Pendant ce temps, une des ses voisines de dortoirs, Matilda McKenzie, se levait comme une fleur, ben oui parce que si certains l’aiment chaud, d’autres adorent l’hiver glacial ! D’ailleurs quel temps faisait il exactement ? Elle s’approcha du rideau qui cachait la fenêtre, en défit la corde et put ainsi se rendre compte qu’il faisait un temps splendide : il y avait mêmes les oiseaux (overdose d'Hitchcock sorry^^') qui chantaient ! Ceci lui redonna courage et après avoir enfilé ses habits « normaux », elle rejoignit la salle commune pour prendre des forces avant la traversée du parc.
Une heure plus tard, elle se tenait devant le château, emmitouflée dans sa parka, aussi pressée que les autres de pouvoir vaquer librement à ses occupations. Mais il fallait avant tout mener le dernier combat, passer la ligne rouge, la « douane » de poudlard : Mc Gonagall relevait tous les noms des Evadés.
Il lui fallut encore un bon quart d’heure avant de pouvoir s’elancer vers le village, d’un pas léger, le nez en l’air et l’air réjoui.
Une fois la destination finale atteinte, elle se prit a des jeux d’enfants tel que sauter dans la neige toute fraîche ou même s’y vautrer pour y laisser l’empreinte de l’ange.
Elle se mit alors à flâner le long des vitrines, le nez collé aux carreaux des grands magasins (trop d’la balle ce film^^). C’est là qu’elle le vit : Honeydukes ou le jardin secret, là, mieux encore qu’Alice au pays des merveilles, c’était son Univers. Elle s’approcha, et contempla l’air ravi l’étal florissant à travers la vitre givrée : c’était géant.
Soudain, son regard fut attiré par une scène impromptue, à sa gauche : elle et lui, lui le Gryffondor qu’elle avait déjà repéré (préfet oblige) et elle, la folle ingénue qui s’apprêtait à voler le butin sacré, un crime au paradis, somme toute.
Incapable de ne pas s’intéresser, voilà la jeune pouffsoufle intriguée observant la scène. D’une indiscrétion(s) folle ? Sans aucun doute ( ah non mince, c’est une émission celui là!! Allez on passera hein ?). Quel courage cette Serpentard, on ne saurait être trop prudent quand il s’agit de chocolats… Mais quelle sera la réaction du jeune gryffondor à l’air étonné ? Entre orgueil et préjugés, seul l’avenir nous le révèlera.
En attendant, tel l’homme qui en savait trop, Guillermine aux aguets, attends un quelconque dénouement, rien que pour vos ses yeux !!

[HJ super cette idée^^
Alors ca fait 28 si on compte pas l'emission douteuse de France Télévisions (petit craquage :) )... Bonne lecture et désolée de la tournure un peu follichonne des choses ]

[30 !! mais j'ai eu du mal... du coup, il y en a de tordus^^]

Du chocolat plein la bouche, il n'était pas facile pour William de rappeler à l'ordre la passante du Sans-souci qui venait de lui piquer un morceau de son précieux bien. Il ne put que la laisser se servir tandis qu'il avalait sa bouchée, songeant en silence : pas folle, la guêpe ! L'effrontée n'avait même pas dit merci pour le chocolat et William trouvait qu'il était un peu le pigeon... mais de toute façon, il n'aurait peut-être pas osé faire une remaque à la petite voleuse. Bien sûr, ce qu'elle venait de faire n'était pas poli. Mais que pouvait-il faire ? Jouer l'avare, et se mettre à crier « moi y en a vouloir des sous » ?Tout en mâchant, il rangea précautionneusement la tablette dans sa poche, avec la montre incassable qu'il promenait partout- un souvenir de sa mère que le bon fils gardait sur lui. Si elle en voulait encore, bien sûr qu'il lui en donnerait, à condition qu'elle le demande poliment, et pas en se comportant comme au temps de la guerre du feu... C'est vrai quoi, on n'est pas des sauvages !
Je suis timide, mais je me soigne. Telle était la nouvelle devise du rouquin qui déglutit et lança d'une voix narquoise :

-Vas-y, sers-toi, mange, je t'en prie... de toute façon les hommes préfèrent les grosses !

Il n'avait pas voulu être méchant, mais juste prouver qu'il était vivant et capable de réaction. En aucun cas il n'avait voulu faire de peine à la demoiselle sauvage (désolé^^) ; mais Cyanur avait l'air de croire qu'il n'allait pas moufter, il fallait juste la détromper. Le préfet en avait marre qu'on le prenne pour le guignolo de service, et il ne voulait plus se laisser marcher sur les pieds. Tant pis si la Serpentard se vexait, tant pis si tout cela se terminait par la gifle ou par un coup de tête ; trop, c'est trop, et le préfet des Lions ne voulait pas être le dindon de la farce.
À quelques mètres d'eux- si loin, si proche !- une petite fille observait la scène. Vu sa tête, elle ne devait être qu'en première année, et William eut un instant de surprise en la voyant à Pré-au-Lard ; il croyait la cité interdite aux petites écolières de son âge. Comment se trouvait-elle là ? Le concierge avait peut-être eu un raté en vérifiant les laissez-passer des élèves... Ce ne serait pas la première fois que l'emmerdeur commettrait une bévue. William pensa qu'il entrait dans ses attributions de préfet de se renseigner sur les raisons de sa présence (et en plus, ça lui permettait de s'éloigner de la poison dont la contre-attaque n'allait pas tarder) et il s'approcha pour lui demander :

- Comment se fait-il que tu sois là ? Normalement, on n'a le droit de venir qu'à partir de la troisième année. Tu as sans doute une autorisation spéciale ?

Il espérait que c'était le cas, et qu'il n'était pas le témoin de la grande évasion d'une première année...

Le dîner de cons. Non, le topix n'aurait pas pu s'appeler comme ça vu que tous les protagonistes ne peuvent prétendre à ce titre, et puis, nous ne sommes pas non plus au dîner... Merci, je sais où est le placard. Quoique je pourrais y envoyer la doublure que j'utilise de temps en temps (ou pas) pour aller voir ailleurs, mais c'est hors de prix... Par cette chaleur (en Anglais, on dit Heat), notre ami Kael avait décidé d'aller faire un tour à Pré-au-Lard. Mais à peine arrivé dans le parc, il vit, non pas la chèvre, mais une guêpe ! Celle-ci sembla vouloir l'attaquer, mais rien ne peut contenir le Celte, hormis peut-être un piège de cristal. Il se mit cependant à courir, comme s'il avait la mort aux trousses, et échappa ainsi à l'insecte, évitant une journée en enfer... Triomphant, tel le Seigneur des Anneaux, il reprit sa route sur le grand chemin.

"Alala... J'ai les valseuses qui me grattent !" s'exclama-t-il soudain.

Immédiatement, notre ami Poufsouffle, après s'être assuré que personne ne regardait, plongea sa main dans son boxer pour se soulager. Du coup, il ne vit pas une pierre. Ou presque, et il perdit une chaussure ! Et vous pouvez l'imaginer, là, le grand blond avec une chaussure noire, pestant contre on se sait qui... Après avoir remis sa pompe, il se mit à siffloter un air, s'imaginant sur la mer, tel le petit baigneur, en compagnie de Jo et Oscar. En arrivant à Pré-au-Lard, il croisa un gros type avec un tatouage sur le visage. Il se demanda si le tatoué était méchant, du genre Dracula, ou plutôt gentil, du genre à voguer sur le grand bleu... La traversée de Paris, que dis-je, du village, s'avéra en fait tranquille. Le Jaune et Noir remarqua des gens, puis ceux-ci disparurent... Mais où est donc passée la septième compagnie ?

"Hé vous barrez pas ! J'veux pas jouer à mission impossible ! L'armée des douze singes fout quoi ?"

La nuit, tous les chats sont gris. Lentement, le Préfet-en-Chef décida d'aller voir ce qui se tramait dans l'auberge rouge, non... la ruelle. Et... c'était la planète des singes ! Non, le serpent ! Mais que se passait-il là ? Le Celte décida de demeurer dans l'ombre. Si le père noël est une ordure, Papy fait de la résistance ! La môme qui était avec les deux autres étaient à Poufsouffle !

*RRRrrrr... J'vais tenter la grande vadrouille. Enfin... Pas tout de suite, j'vais attendre de voir ce qui se passe...*


[c'est vraiment n'importe quoi xD 33 ]