- Nom : Eden
- Prénom: Maria
- Age en HJ : 16
- Age du personnage: 11
- Comment avez vous connu le forum? Sigmund Bachelard

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"Quai n°9 3/4", la jeune fille regarda le billet qui l'enmènerai dans sa nouvelle école. Elle suivait sa mère à petits pas pressés, serrant contre elle son chat Quizz, le matou était assez lourd, obligeant la fillette à le remonter dans ses bras de temps à autres. Soudain, sa mère s'arrêta devant un mur, le chariot devant elle, elle prit sa fille par la main et se dirigea vers l'arcade. Maria ferma les yeux, s'attendant à ressentir un choc, bien qu'elle fasse confiance à sa mère, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir peur. Bizarrement, il ne se passa rien, Maria rouvrit les yeux, elle était de l'autre côté du mur, ses boucles blondes intactes, son chat toujours accroché à son pull, ses grands yeux s'ouvrirent émerveillés. Devant elle, des centaines de personnes se pressaient, se bousculaient, rigolaient, se serraient dans leurs bras, des centaines de personnes, certaines en robe de sorcier, d'autre en vêtements moldus mal accordés. Un sourire immense apparut sur les lèvres de Maria, depuis qu'elle avait reçu sa lettre, elle n'avait cessé de rêver de ce jour où elle irait à Pouldard. La mère reprit sa fille par la main et l'entraîna vers un wagon, cherchant une place libre. Une fois les affaires installées, Maria serra sa mère dans ses bras, elle l'embrassa sur la joue et sauta dans le compartiment. La jeune fille trottina vers sa place, elle se pencha par la fenêtre et de là regarda le va et vient. Lentement, comme une seule masse, les élèves rentrèrent dans le train, les parents embrassèrent leurs enfants, les animaux suivirent leurs jeunes maîtres dans le train. Soudain, un coup de sifflet retentit, le train se mit en route. Maria regarda une dernière fois sa mère, elles ne se reverraient pas avant le mois de Juin, Maria ayant décidé qu'elle ne rentrerait pas pour les vacances. Aussi la fillette fit un au revoir de la main et envoya un baiser à sa mère. La train prit un virage et le quai échappa à la vue de la jeune fille. Celle-ci se rassit sur son siège et caressa son chat qui s'installa sur ses genoux. Maria regardait le paysage qui défillait devant elle.

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Cela faisait maintenant quelques heures que le train roulait en direction de Poudlard. Trois jeunes gens avaient rejoint Maria dans son compartiment, ils ne faisaient pas attention à elle et elle ne faisait presque pas attention à eux. Les trois autres compères parlaient de la rentrée.

- Alors, tu vas revoir Roguy? Content?
- M'en parle pas, je vais encore passer ma vie en colle à cause de lui.
- Bah, c'est pas pire qu'avec la vieille chouette de Mcgo...
- Oui, et encore avec l'autre folle dans le donjon , " Tu vas mourir ce soir......Tu vas mourir ..... Tu devrais déjà être mort ! "

Les deux autres rigolèrent de toutes leurs dents. Maria les écoutait dans son coin, elle ne savait pas de quoi ils parlaient et celà l'intriguait. Au moment où elle allait leur demander de qui ils parlaient, une femme tapota à la fenêtre, elle poussait devant elle un chariot plein de sucreries. Maria sortit cinq grosses pièces de sa poche et les regarda, sa mère les lui avait donné en lui expliquant leurs valeurs. Maria regarda les pièces d'argent et de bronze, elle se dirigea vers le chariot. Au final, elle revint avec deux chocogrenouilles, une sucette en forme de coeur qui pétillait lorsqu'on la portait à la bouche et deux ou trois autres choses encore. Alors qu'elle ouvrit sa première grenouille en chocolat, celle-ci fit un bond, avant de se laisser attraper. Le chat de Maria sauta dessus avant que la jeune fille n'eut le temps de ramasser la grenouille. Maria prit Quizz par la peau du cou.

-Quizz !!! Donne moi ça !!!

Le chat regarda sa jeune maîtresse de ses deux yeux verts et lui rendit le chocolat. Puis il reprit sa place sur ses genoux. Maria sussota une patte de la grenouille, elle regarda la carte, lorsqu'un garçon du groupe qui était dans son compartiment lui adressa la parole.

- Tu as qui?

Maria releva la tête, ses boucles blondes sursautèrent et ses grands yeux regardèrent l'inconnu. Elle lui montra la carte.

- J'ai Nicolas Flamel.
- Oh, je l'ai déjà... ça ne fait rien.

Le garçon regarda la fillette, cherchant sans sa tête s'il ne l'avait pas déjà vu quelque part. Mais non, il ne s'en rappelait pas. Maria lui sourit avant de retourner son regard vers le paysage défilant. Elle se rappela sa jeunesse parmit les moldus. Elle était fille unique d'une mère sorcière, étudiante à Gryffondor dans sa jeunesse et d'un père moldu. Elle était leur petite fille chérie, le seule et unique, l'entretenant comme un poupée, une véritable petite princesse. Maria avait donc, dès sa plus jeune enfance profité de son avantage. Elle était une véritable petite peste, mais une petite peste mignonne, faisant risette, jolis sourires, petites robes à fanfreluches et souliers vernis, elle avait presque tout ce qu'elle désirait. Lorsqu'elle avait cinq ans, elle se permit un petit tour au dehors, toute seule, elle s'était approché d'un monsieur en cape qui lisait un journal avec des images qui bougeaient... La petite fille l'avait tiré par la cape et ses grands yeux bleus se posant sur le journal elle lui avait demandé.

-Dis monsieur, t'es qui toi?

L'homme avait rit en voyant cette petite poupée de porcelaine aussi effrontée, il la connaissait de loin, travaillant avec sa mère au ministère, il avait ramené la jeune Maria chez elle et lui avait offert une sucette. Depuis ce temps là, Maria n'a cessé d'être l'objet de toutes les attentions, de peur que l'oiseau rare ne s'envole encore une fois. Maria a donc grandit dans la connaissance de la magie, mais sans qu'elle soit utilisée devant elle, elle a grandit comme une princesse, accédant à tous ses caprices, elle finissait toujours par avoir ce qu'elle voulait. Excellant dans le vol des jouets de ses camarades de classe, elle était intelligente et aimait apprendre. C'était au demeurant une véritable amie, qui n'hésitait pas à affronter plus grands qu'elle pour protéger ses amis, elle était donc parfaite, du moins pour ses parents...

- Tu devrais te changer, on est arrivé !

La voix fit sortir Maria de ses pensées, elle regarda le garçon et acquiesca, en effet, le train commencer à ralentir et les lumières d'un quai apparaissait au loin.

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- Attendez ici, lorsque je vous appellerai, vous viendrez sur ce tabouret et je mettrai le choixpeau magique sur votre tête. C'est lui qui dira dans quelle maison vous irez. Allois Jasmine.

Maria écoutait d'une oreille distrète les noms de ceux qui étaient appelés. Son nom à elle commençait par un E, ce qui lui laissait un peu de temps. Elle leva ses grands yeux bleus vers le plafond, les chandelles éclairaient le plafond magique. Celui-ci était constellés de milliers d'étoiles dans un bleu marine. Il représentait la nuit, une nuit calme et douce pour ce grand soir. Maria avait eu un choc en voyant le demi-géant qui les attendait, eux, les premières années, qui les conduisit vers les barques, en route vers Poudlard. Maria avait beaucoup aimé cette balade, la nuit était douce, ni trop chaude, ni trop froide. La fillette avait laisser courir ses doigts sur la surface de l'eau. Sous les barques, elle avait vu une masse non descriptible, elle s'était penchée pour la regarder de plus près, le bout de ses boucles blondes touchant l'eau. Puis, son regard fut attiré par une masse imposante, le château se reflétaient sur le lac, Les lumières qui passaient à travers les fenêtres semblaient leur dire Bienvenue chez vous. Maria, les yeux pétillants n'avait pas cessé de regarder les lueurs ainsi que les tours qui s'élevaient dans le ciel de la nuit. La jeune fille regretta que son chat ne soit pas avec elle, elle aurait adoré le caresser dans ses bras en contemplant son chez elle. Malgrès tout, une chaleur ennivrante enroba son coeur. Elle allait pouvoir apprendre tout ce que sa mère avait appris, elle pourrait elle aussi ensorcellé son lit pour qu'il se fasse tout seul... En montant les marches qui menaient à la grande salle, Maria n'avait de cesse d'être émerveillée, les tableaux leurs souhaitaient le bonsoir, Marie pensa que les musées moldus seraient moins triste si les tableaux parlaient eux aussi. la directrice de Gryffondor les attendaient en haut des escaliers, elle les fit entrer dans la grande salle, les élèves plus âgés qu'eux étaient déjà installés, la poupée de porcelaine les regarda en train de les regarder. Maria regarda les couleurs des différentes maisons, le rouge et or de Gryffondor l'attira aussitôt, sa mère lui avait montré son ancienne robe avec ce blason, elle le connaissait et avait envie elle aussi de le porter. Enfin, les premières année s'étaient regroupés devant un vieux chapeau, une bouche découpa le tissus et chanta, une chanson belle et exitante, et pourtant aussi annonciatrice de malheur... Mais Maria ne s'en rendit pas compte. En arrivant elle avait entendue une autre première année dire:

- Moi je préfère étudier les potions, pour empoisonner le chat de ma voisine.

Maria eut envie de lui sauter dessus, elle détestait que l'on fasse du mal à plus faible que soit. Aussi elle détourna le tête, elle, désirait tout étudier,tout, sans exeption. Enfin, son nom fut appelé.

- Eden Maria

La jeune fille monta les marches qui menaient vers les choixpeau. Ses boucles blondes dansaient sur sa tête et ses grands yeux bleus fixaient l'espèce de chapeau marron. La jeune fille s'assit sur le tabouret et le choixpeau fut posé sur sa tête, lui cachant les yeux...

Huummm...




Je dirais...




GRYFFONDOR !!