Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez
 
 Le club des trois
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
  • Clarisse McBrien
    • Nombre de messages : 632
    • Age : 32
    • Date d'inscription : 29/12/2006

    • Pensine
      Statut sanguin: Sang mêlé
      Baguette magique: 28.3 cm Ronce d'acajou nervurée, Plume d'Occamy
    Clarisse McBrien
  • Apothicaire Apothicaire
MessageSujet: Le club des trois   Le club des trois EmptyMar 30 Oct - 9:07:17

Titre de la nouvelle: Le club des trois
Présentation de l'histoire: euh... vous verrez bien!
Protagonistes: Ombeline, Hermione, Harry, Ron, Albus, Pompom, Drago, en bref tout ceus figurants dans les livre à peu prêt... Very Happy
Catégorie: Et si?
Genre: Action/romance... et on verra pour la suite
Nombre de chapitres:indéterminé
Complet:non pas pour le moment!

Avant propos:

Bon alors tout d'abord un pitit commentaire de moi. C'est la première, ou plutôt la deuxième fanfiction que j'écris, sauf que la première avait achevé sa carrière au feu, tellement je la trouvait mal écrite! J'ai fais un peu de chemin depuis, et j'ai voulu la réécrire. En fait, je me suis basée sur le même fond d'histoire, et pour le reste, c'est déjà mieux. Voilà le premier chapitre, j'espère qu'il vous plaira, n'hésitez pas à poser des commentaire et sur ce, bonne lecture!


Chapitre 1: Elles étaient deux...


_Comment va-t-elle? interrogea une voix masculine emprunte de gravité.
_Son état est stationnaire. Depuis son arrivée ici, elle semble... morte. Pas une seule fois elle n'a repris conscience. Lui répondit-on d'une vois triste. J'ai peur, Albus, peur de ne rien pouvoir faire pour elle. Ajouta la femme, hésitante.
_Il ne faut pas dire ça, nous devons garder confiance Pompom...

L'homme posa brièvement sa main sur l'épaulende l'infirmière, en un geste réconfortant. Oui, ça irait mieux, son état allait s'arranger. Il fallait continuer à espérer. Dans un mouvement fluide, que son âge n'aurait laissé supposer, l'homme tourna les talons et disparut derrière la porte, le regard triste. Il savait déjà que Minerva l'attendait dans son bureau. Il savait aussi qu'il aurait du mal à la calmer après lui avoir rapporté les paroles peu encourageantes de Pomfresh. Voilà déjà une semaine que la jeune fille était étendue sur ce lit, inanimée. Une semaine qu'on l'avait trouvée. Elle n'était pas très jolie à voir, et souffrait de multiples fractures. Son état était si grave, que même lui, Albus Dumbledore doutait quant à ses chances de survie.

#


Deux éclairs aveuglants. Une chute. Un cri. Plus rien. Elle ne se souvenait de rien. Un nuage épais obstruait son esprit et l'empêchait de réfléchir correctement. Peu à peu, Ombeline revint à elle. Dès qu'elle eut conscience de ce qui se passait, elle tenta d'ouvrir les yeux. Ses paupières refusèrent d'obéir. Lentement, la douleur monta. Son corps entier lui faisait mal, du bout des orteils à l'extrémitée de ses cheveux. Elle avait la désagréable impression que quelqu'un broyait ses os, tandis qu'une autre personne l'achevait à coups d'épée plantée dans sa chair. Insoutenable. Elle avait envie de hurler sa douleur. De sa gorge sèche ne sortit qu'un long râle; sa voix rauque retentit péniblement dans la pièce.
C'était trop dur, elle n'allait pas pouvoir supporter cette souffrance. Mieux valait mourir, en finir une bonne fois pour toutes... mais ... non! Elle ne voulait pas mourir, pas maintenant, pas si jeune!
Elle sentit un contact chaud contre son visage glacé. Quelqu'un forçait la barrière de ses lèvres, la personne parlait, prodiguant certainement des paroles rassurantes, mais Ombeline n'entendait pas. Elle avait trop mal. Un liquide brûlant coula le long de sa gorge, puis décrivit chaque méandre de son oeusophage. Cette substance épaissela lança terriblement, à tel point qu'elle en oublia ses autres maux. Elle aurait voulu empêcher qu'on lui verse la potion, elle n'en eut pas la force.
Une nouvelle vague de douleur l'assaillit. Elle ne voulait pas mourir, elle devait lutter encore! Les membres raides et crispés, elle se battait mentalement contre cette force dévorante qui la rongeait de l'intérieur. Combat perdu d'avance. Puis, lentement, ses muscles se relachèrent: le somnifère faisait effet.
Ombeline bascula dans un ailleurs brumeux. Elle marchait à présent pieds-nus sur une dalle de marbre, sans but précis. Au bout d'un temps qui lui parut interminable, elle aperçaut au loin des formes colorées. Intriguée, elle s'approcha, curieuse de savoir ce que c'était. Arrivée à hauteur, elle tendit la main et effleura une poignée de porte.


Il y eut alors un flash de lumière blanche.


Et de nouveu, elle était cette petite fille de onze ans, qui traînait derrière elle et avec peine une lourde valise. Elle avait reçu sa lettre d'admission à Poudlard un mois auparavant, ce qui avait déclenché dans sa famille une agitation peu commune. Ses parents avaient cru, au début, à une farce de très mauvais goût: habitant Londres depuis plus de vongt ans, Lisbeth et Thomas Willson n'avaient jamais entendu parler d'un "Chemin de Traverse", pas plus que d'un quai "9 3/4" et encore moins d'un collège de sorcèlerie. Pourtant, sous l'insistance de leur unique enfant, ils avaientconsentit à "aller voir". C'est ainsi que la jeune Ombeline Willson se retrouvait en ce premier jour de septembre dans le couloir du Poudlard-express, cherchant tant bien que mal un compartiement libre pour s'installer.
Elle fit encore un pas et s'arrêta pour souffler. Ses parents lui avaient dit aurevoir quelques minutes plus tôt, en lui souhaitant bonne chance dans ce nouveau monde. Son coeur se serra en pensant à eux. C'était la première fois qu'elle était séparée d'eux, et ce n'était pas facile, même si l'idée de rejoindre une école de sorciers l'enchantait.
D'ailleurs, ne restait-il pas une place dans le compartiment de droite? Un coup d'oeil vers la vitre lui apprit que si: il n'y avait à l'intérieur que deux jeunes enfants, probablement de son âge. Le garçon, brun aux yeux marrons semblait chercher frénétiquement quelque chose, allant jusqu'à soulever les coussins de son siège. La fille, elle, possédait de longs cheveux épais et bouclés dont la teinte oscillait entre le doré et le marron. Un instant, leurs regards se croisèrent. Les joues de l'autre petite fille prirent alors une teinte rouge-vif, tandis qu'elle se détournait, essayant vainement de se concentrer sur les paroles de son camarade.
Ombeline resta un instant interdite. Elle avait eu la curieuse impression, une fraction de secondes, de voir son propre reflet de l'autre côté de la vitre. Non, c'était impossible.
Une vois mécontente la tira de sa strupeur. Elle gênait le passage dans l'allée. Rougissante, et confuse, elle s'excusa poliment et continua son chemin, traouvant finalement un endroit ou s'asseoir.


La scène se brouilla et devint floue.


Puis, de nouveau elle avait onze ans. Cette fois, elle était dans la grande salle, au milieu du groupe d'élèves que formaient les premières années. La cérémonie des répartitions venait de commencer. Le professeur McGonagall appela alors:
_ Brown Lavande!
Une petite fille brune se détacha de la masse des élèves et s'avança vers le professeur qui la fit asseoir sur un vieux tabouret et posa sur sa tête un vieux chapeau. Ce dernier ne tard pas pas à annoncer:
_ Gryffondor!
_...
Granger Hermione!

La petite aux yeux noisettes qu'elle avait croisée dans le train s'avança à son tour et le choispeau tomba sur sa tête bouclée. Il parut hésiter un instant avant de déclamer:
_Gryffondor!
_...
_ Londubat Neuville!

Cette fois, ce fut le garçon qui cherchait en fait son crapeau qui se détacha du groupe. Hésitant, il ne manqua pas de tomber et s'étaler contre la pierre froide, sous les rires de toute la salle.
_ Gryffondor!
_...
_Malfoy Drago!

Le blondinet qui était passé dans tous els compartiments pour se présenter s'avança, la tête haute. Lui ne semblait pas avoir peur de "l'épreuve du choixpeau". D'ailleurs à peine celui-ci effleura-t-il le haut de son crâne que déjà:
_ Serpentard!
_...
_ Potter Harry!

Un murmure parcourut la foule. Ombeline se demanda bien pourquoi mais n'osa pas interroger ses voisins.
_ Gryffondor!
_...
_ Weasley Ronald!

Ils n'était plus que quatre à présent, et la pression commençait à se faire ressentir. Le rouquin qui se tortillait à côté d'elle s'avança.
_ Gryffondor!
_ Willson Ombeline!
Cette fois, c'était son tour! Le coeur battant la chamade, la petite fille prit son courage à deux mains et avança, essayant de ne pas montrer à quel point elle avait le trac. Elle détestait être le point d'attention générale. C'était raté. Lorsqu'elle s'assit, le vieux bout de tissu lui tomba sur les yeux, et alors, elle entendit comme une voix dans sa tête.
_ Hum... Willson, ça ne me dit rien... mais peut être... ouije vois. Tu es intelligente, travailleuse, tu as envie de décrouvrir le monde... hum... Serpentard ne te conviendra certes pas... Poufsouffle?.. non... tu n'y serais pas à l'aise... Serdaigle alors! Oui, serdaigle t'apportera tout ce dont tu as besoin... mais... hum.... ah..tu as aussi un coeur d'or à ce que je vois... hum... et....ce sera... Gryffondor!
Ombeline se leva, encore sous le choc. Comment était-ce possible qu'un morceau de tissu lui parle dans sa tête? Elle se dirigea ensuitevers la table d'ou provenaient les plus forts applaudissements. Hermione était déjà installée, de nouveau, leurs regards se croisèrent, une seconde.

La scène devint floue, et le décors changea.


C'était la fin du premier trimiestre, Granger et elle avaient été convoquée par le directeur. Leurs parents étaient déjà dans le bureau, souriants. Ombeline se demanda ce qu'ils faisaient là, et surtout pourquoi elles avaient été convoquées. Granger était une fille sérieuse et sans histoire, et de surcroît travailleuse, mais solitaire. Elle même s'était fait quelques amis, dont Londubat, Potter et Weasley, et obtenait d'assez bonnes notes. La seule chose qui venait obscurcir le tableau, c'était que Miss Hermione ne l'aimait pas, tout simplement parce que Willson était la seule à la battre au niveau des notes, obtenant toujours un point de plus qu'elle. Et elle ne le supportait pas! Ombeline trouvait ça très domage, mais on ne peut pas forcer les gens à vous aimer.
Elle allèrent s'asseoir chacune à côté de ses parents, sans un mot ni même un regard l'une pour l'autre. Souriant, Albus Dumbledore invita du geste ses "invités" à parler. Il était très rare de voir des moldus dans son bureau, et ce n'était peut être même jamais arrivé, alors ce qu'ils avaient à dire devait être...d'une importance capitale!
Ce furent les parents d'Ombeline qui commencèrent.

_ Ma chérie...si nous sommes là ce soir, ainsi que les parents de ton...amie, c'est parce que nous avons quelque chose d'important à te dire... commença Lisbeth
_ Voilà, nous ne t'avons pas dit la vérité, et aujourd'hui que tu as été admise dans cette école, nous avons pensé qu'il valait mieux que tu saches... nous... enfin...ton père et moi, ne pouvions pas avoir d'enfants, et nous t'avons... adoptée...c'est ce qui explique que tu sois une sorcière.... mais...celà ne veut pas dire que nous t'aimons moins, au contraire, tu es un cadeau pour nous et nous remercions chaque jour un peu plus le ciel de t'avoir eu pres de nous....
Emue, elle se pencha vers sa fille et la serra fort dans ses bras. Ombeline dégluttit avec peine. Elle avait toujours sentit qu'elle n'était pas exactement comme ses parents, mais de là à penser qu'ils l'avaient adoptée... c'était un peu fort quand même! Les Granger avouèrent à leur tour à Hermione qu'elle n'était pas leure enfant biologique. Mais à quoi celà rimait-il? Pourquoi leur dire ça maintenant? Pourquoi les avoir fait venir exprès à Poudlard? Ca ne pouvait donc pas attendre le lendemain, et son retour à la maison? Perdue, elle écouta ce que le directeur avait à dire.
_ Bien, mesdemoiselles, ce sont vos parents qui ont souhaité vous révéler ceci ce soir. Mais à présent, celà entraîne une autre confidence, et très certainement la réponse à nombre de vos interrogations. Toutes deux de brillantes élèves, vous aurez certainement remarqué que vous possédiez un physique assez semblable... je me dois de vous expliquer ce petit "détail". Vous êtes en réalité soeurs, soeur jumelles...


Sa soeur! Ombeline devait savoir ce qui lui était arrivé. Réveillée par un sentiment de peur plus fort que ce qu'elle n'avait jamais ressentit auparavant, la jeune fille ouvrit brutalement les yeux et fut aveuglée par la lumière ambiante. Sa tête la lança douloureusement, et pourtant, elle devait savoir. Péniblement, elle parvintà articuler
_ Hermione?!
Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Miroir du Riséd :: Hors-Jeu :: Vos créations :: Fanfictions-