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 Jezabel Wilford
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MessageSujet: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyMer 11 Juil - 19:19:05

[HJ: suite à pas mal de changements, j'ai entièrement refait ma fiche pour permettre aux courageux de suivre à peu près. Razz]

Anna, Dinah, Alma, Joséphine, Mary, Julie, Circée, Médée, Coraline, Cynthia.

Eurk. Des prénoms de mijaurées aux mèches blondes, de femmes au foyer frigides ou de grosses bonbonnes stupides. La française releva son regard mordoré de son petit carnet et fixa sans vraiment en prendre conscience le ballet des branches du grand chêne. Secouées par la brise légère, les feuilles bruissantes jetaient de faibles ombres sur la peau blanche de la miss qui se mit aussitôt à chercher des augures dans ces formes mouvantes.

Autour d’elle s’affairaient des caméristes bavardes, de vraies toupies parfumées à la rose et au lilas, égaillées par leur pauvre tâche ingrate : les dernières retouches de sa robe de mariée. Comme quoi, il en fallait vraiment peu aux esprits simples, toujours prêts à afficher un air béat et ahuri à la première des occasions. Et plutôt deux fois qu’une, resongea la presque épousée en considérant du coin de l’œil une de ces dindes glousser en piquant une goutte cristalline à sa manche courte. Les doigts fins de l’ex miss Morden tripotèrent une des perles d’ivoirine ficher à son bustier au décolleté pigeonnant, tellement resserré que la poitrine de la jeune femme semblait sur le point de passer par-dessus le rebord soigneusement brodé à chaque inspiration. D’un index négligeant elle tira sur les fils de satin lacés dans son dos et une camériste à l’affût se chargea aussitôt de desserrer les liens étouffants.


-Pas trop quand même, hein ! ,gronda Absynthe en voyant sa poitrine redescendre. Ses seins étaient adorables, il suffisait simplement de savoir les mettre en valeur. Quitte à se sentir étouffer comme un poisson hors de l’eau, elle préférait ça à ne pas paraître séduisante aux yeux de son futur mari. Il fallait encore le mystifier jusqu’à ce qu’ils aient échangé ces foutus anneaux, les deux aux frais de l’époux, bien entendu.

Absynthe. Tout le petit visage rond de la demoiselle se ferma, sa mâchoire se contracta et ses yeux se plissèrent jusqu’à se réduire à une simple fente, laissant filtrer entre les cils noirs une lueur d’ambre pâle verdâtre. Elle ne voulait plus de ce nom, elle ne voulait plus de cette naissance, de son passé fait de ruines et de misère. Née dans une opulence factice cachant des dettes innombrables, la française avait toujours chéri le nom de son père qui la désignait comme appartenant à une des plus anciennes et respectables familles de Sang Pur. Selon les légendes, les siens trouvaient leurs origines parmi les Vénètes, les anciens marchands maritimes qui sillonnèrent les eaux de Bretagne il y avait de cela plus de deux milles années. Et des poussières.

Une des perles tomba sur le parquet poli et se retrouva callée sous l'escarpin de la sorcière pensive. Elle l’écrasa mollement jusqu’à entendre crisser la fragile breloque, jusqu’à ce que le bout de son pied heurte les lattes vernies d’un coup sec. Les femmes autour d’elle s’entreregardèrent et sur le lot d'empotées, une plus dégourdie s’avança vers un meuble alourdi de bibelots, de tissus et de fleurs en tout genre où elle piocha une autre perle dans un petit pot garnit de dizaines de répliques fidèles.

La brune les avadakadavérisa du regard. La croyaient-elles nerveuse comme une jeune vierge appréhendant sa nuit de noce ? Elle doutait que le cher monsieur Wilford du haut de ses quarante-six ans ait pu lui donner des leçons sur ce sujet. A moins qu’il n’ait gardé quelques cartes dans sa manche pour cet évènement précis, sans être un incapable, il n’était pas réellement un dieu. Mais il était riche, et si le rayonnement de son nom n’égalait pas celui des Morden en leur temps, il lui suffisait pour l’instant. Il faisait même une belle auréole au dessus de ses cheveux.

Pour ce qui était des Morden, tout était fini. Cassé. Détruit. Tous ses efforts anéantis, la honte de la misère sur leur nom, la honte de la folie de sa mère sur leur tête et la honte personnelle d’être la fille d’un lâche. La petite jeune femme pâlit autant que son teint de porcelaine le lui permettait. Son père, elle l’avait cru si fort, intraitable et invincible. Il n’était en fait qu’un pauvre type rongé par le remord. Le venin sucrée de sa sœur l’avait-il infecté ? Callista et ses paroles creuses d’amour écoeurant, ses pleurnicheries sur les cadavres des oiseaux inutiles, toujours à les bassiner avec les malheurs d’autrui quand les leurs étaient pourtant si déshonorants et inavouables. Mais maintenant tout le monde le savait, tout le monde pouvait se moquer et les mépriser. Un sourire étrange s’étira lentement sur les lèvres boudeuses de la cadette des Morden. Qu'avait-elle à voir avec "eux" désormais ? Elle était partie sans un mot, sans emporter quoi que ce soit de ses maigres possessions d'autrefois. Et à vrai dire, elle se trouvait bien sotte d'avoir longtemps attaché ses projets à une cause qu'elle avait "vu" perdue. Dans les cartes et les chiffres, les mornilles de la petite monnaie. Quelle imbécile. Fort heureusement la vie l'avait guérie de ce fléau. Ils pouvaient bien tous disparaître, elle s’en sortirait une fois de plus. Comme elle s’en était sortie de ces nuits de labeur exténuantes, à courir partout pour untel, à s’user la santé sur des maléfices et des sortilèges oubliés jusqu‘à ce que ses yeux ne puisent plus voir, aveuglés par un voile de fatigue. Comme elle s’en était tiré face à Rod Jugson.

Ce simple nom la faisait trembler. Pas de peur, mais de colère. Une haine si farouche qu’elle lui remuait l’estomac et lui donnait envie de vomir toute la rancœur et l’indignation que ce nom lui causait. Elle grelottait de fièvre, sa respiration s’accéléra et son front la brûla. Elle ressentait encore l’élancement douloureux dans la paume de sa main déchirée, l’humiliation cuisante de son propre comportement et de l‘attitude de cet homme, elle entendait le son de sa voix sarcastique et revoyait la beauté de son visage.


-SORTEZ TOUTES, BANDE D’IDIOTES !!!

Sans attendre que les larbines se soient dispersées comme de la volaille, la jeune femme balaya d’un bras rageur le contenu d’un guéridon, surchargé de boîtes en carton et de chapeaux. Tous ses beaux efforts pour sauver son nom, son rang, pour que jamais le monde ne sache la vérité de leur condition infamante, tout avait été réduit à néant. Par cet homme ? Ce Mangemort ? Ou son père ? Ce salaud doublé d’un capitulard ! Ou sa sœur ? Cette pauvre petite cruche aberrante de stupidité ! Sans Rod Jugson et son maléfice jamais elle n’aurait arrêté son commerce. Jamais son père n’aurait prêté l’oreille à cette dinde qui lui servait de soeur, jamais il n’aurait cru tout perdu ! Jamais elle n’aurait souffert des heures durant, sans sommeil, sans rien d’autre à faire qu’à écouter ses pensées tumultueuses s’entrechoquer à l’intérieur de son crâne, à lui donner la migraine en plus de la pourriture infectieuse de sa main. D’un geste convulsif, presque désespéré elle arracha le gant de tissu blanc qui recouvrait son avant-bras droit, dévoilant une peau sans défaut jusqu’au bout des ongles. Emportée par une vague d’agitation, elle posa son autre main gantée sur celle découverte, chercha les anciennes plissures sur sa peau sèche de cadavre momifié, les crevures de sa chair racornie sur les os de sa main, ce membre de squelette qu’elle avait enduré pendant des mois au bout de son bras fin. Parce qu’ils n’avaient pas d’argent pour payer les soins adéquats, que son père se refusait à d’autres actes hors du sentier étriqué de la morale ! Lui ! Parler de morale ? Quand il avait tellement de sang sur les mains ? Quand il s’agissait de sa favorite, sa chance de repousser la pauvreté, son atout ?

"-Non Absynthe, ça suffit."

Comme ces mots avaient pu l’anéantir et comme il la faisaient encore souffrir. Non, ce n’était pas fini, ça ne le serait jamais ! A ses yeux, la peau à nouveau saine de sa main était encore marquée de cette ignoble flétrissure. S’il n’y avait pas eu Geoffrey, son futur mari, son ex-client…S’il n’avait pas payé pour sa guérison…

Ses pensées s’agitèrent, un véritable typhon entre les parois de sa boîte crânienne, un ouragan qui chamboulait tout et lui fit porter les mains à ses tempes dans l‘espoir de se soulager. Mais le calme ne revenait pas, pas plus que la voix de son père qui répétait encore et toujours un million de phrases disparates, opposées, sans logiques. Des phrases de haine, de mépris, de sympathie, chargées d’ironie, de malveillance, de soucis, disant tout et son contraire jusqu’à la perdre totalement.

Syn déchira le fragile voile de mariée, tombé elle n’aurait su dire comment entre ses doigts furieux, puis s’effondra pitoyablement à genoux, les épaules secouées de sanglots irrépressibles, les bras croisés sur le sofa damassé de rouge, la joue pressée contre son velours irritant. Des pas se firent entendre derrière elle sans qu’elle en prit conscience, c’est à peine si elle sentit la main qui écarta la masse de ses cheveux et la retourna doucement pour qu’elle fit face à un visage attristé.


-Mon petit chat, qu’est-ce qui ne va pas ?

Les yeux doux et aimants de Geoffrey Wilford scrutait son visage avec une attention soutenue. Absy lui retourna un regard implorant, cherchant une réponse, ou n’importe quoi d’autre dans les iris sombres de l’homme agenouillé devant elle. Il n’y avait que la compassion et l’inquiétude qu’elle avait souvent vu dans les yeux tout aussi sombres de Callista avant..avant qu’elle ne gâche tout ? D’un certain point de vue. Avant qu’elle ne décille les yeux de cette abrutie de naissance. Elle s’était seulement privée d’une pigeonne avide d‘être plumée.

Son futur mari examina rapidement son bras nu et celui encore ganté, alors un éclair de compréhension traversa et son visage et ses yeux. Du moins, croyait-il avoir découvert la cause de ces larmes bruyantes. Et qu’en savait-elle, elle-même ? Bien trop de choses s’agitait en elle, tellement de chose qu‘elle n’arrivait pas à saisir, qu‘elle n‘était jamais parvenue à comprendre. C’était comme si la ou les raisons de ses états d’âme s’étaient mises à danser devant ses yeux. Elle les voyait, mais elle ne pouvait percevoir clairement de quoi chacune d’entre elles était faite. Elles se brouillaient et se mélangeaient dans un tourbillon incessant qui jamais ne s’arrêtait afin qu‘elle puisse mieux l‘observer et comprendre, enfin comprendre. L’entêtante ronde se dissipa aussitôt que Geoffrey l’attira à lui et referma ses bras autour de sa taille encore affinée par le corset. Les prunelles pâles de la jeune femme sillonnèrent le plafond à la recherche d’un petit tourbillon de couleur avant de prendre conscience de quel symptôme sa recherche était la marque. Etait-elle folle, réellement et définitivement grillée ?


*Le corset est trop serré, ouais ! Ça m‘asphyxie le cerveau cette connerie !*

Bientôt, elle croirait à la paix dans le monde sur le simple vol des colombes.

-Ne t’en fais pas, ma chérie, le Ministère travaille d’arrache-pied pour offrir à ces mangemorts le châtiment qu’ils méritent !

*Cause toujours.*

Absynthe ne prit pas la peine de le détromper. Pour dire quoi ? N’était-ce pas en partie vrai ?

-Tout ça, ça ne sera bientôt plus qu’un mauvais rêve.

Un mauvais rêve. Dès qu’elle se mettait à penser, elle rentrait de plein fouet dans un delirium total. Pas toujours, mais souvent quand même…Sans rien dire, elle nicha son visage au creux du cou de son homme, sa main gantée remontant jusqu’à caresser ses cheveux châtains, la fine texture des gants rendant étrangement appréciable le contact des mèches lisses sous ses doigts.

-Je vais devoir choisir une autre robe de mariée. Tu l’as vu celle-ci, ça porte-malheur.

Ce ne serait que la troisième fois. Pas la peine d’attirer encore plus de guigne sur elle.

-Oui, mon amour.

Les yeux d’Absynthe retrouvèrent leur éclat grâce au sourire triomphant apparu sur son visage. Dire que cet homme avait rejeté sa femme pour elle, remisé au placard à souvenir des vieilleries sans usage la mère de ses quatre fils, quatre beaux garçons, et de la petite chiarde encore dans ses langes. Accepterait-il de se débarrasser de sa sweet Melody pour ses beaux yeux ? Cette gosse inutile, babillait à longueur de temps, racontait des âneries sans nom, l’épuisait par son chahut, ses cries de petite truie et sa façon idiote de la regarder: la bouche grande ouverte et des billes rondes à la place des yeux. Ne serait-elle pas mieux en pensionnat avec les autres pisseuses de son âge ?

Les lèvres de la jeune femme se refermèrent sur la chaîne dorée ornant le cou de son futur époux, frôlant sa nuque au passage. Doucement, elle glissa sa langue entre la peau et le métal, à l’écoute d’un son appréciateur, la saveur âcre de la mince chaîne et le goût savonneux de la peau chaude sur ses papilles. Apparemment surpris, Geoffrey n’en prit pas moins son parti et sa main s’aventura sur le dos de la jeune femme, jusqu’à ce que ses doigts s’entortillent entre les lacets fermant son corsage. Mais rien d’autre. Il hésitait de peur de "profiter" de la situation ? Voyons…La demoiselle se recula pour trouver un appui contre le sofa et l’attira contre elle en l’attrapant par les pans de son habit. Sur sa frimousse, le plus beau sourire du monde. Dans sa tête, la scène délectable d’une pile de petites valises blanches au nom de Melody Wilford.


*Hansburry c’est bien ça, c’est assez loin et c’est près de l’eau.*

Elle était bien placée pour savoir qu’un accident était si vite arrivé.

Toute hésitation envolée, Geoffrey glissa ses mains sous les fesses de sa future tendre et chère pour la vie afin de la soulever et de l’allonger sur l’étroit sofa. Ah, ça ! Ce n’était pas avec sa grosse Rosaly qu’il aurait pu s’amuser à jouer au monte-charge ! En tout modestie, Absynthe était sûre et certaine que tout le monde qui aurait vent de l’affaire le féliciterait de s’être détourné de sa rombière pour adorer une jeunette.

Non, pas Absynthe.

Son regard retomba sur son carnet oublié dans un coin d’ombre, entre les mouvances or et noires des branches du grand chêne. Elle avait trouvé.

Jezabel.


Dernière édition par Jezabel Wilford le Mar 21 Juil - 21:52:32, édité 33 fois
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyVen 13 Juil - 15:35:40

Bienvenue !

Je voulais juste te signaler que nous venons d'ouvrir une Université de Magie Avancée. Ce sera une sorte de "Poudlard pour adulte" avec au final un diplome d'Auror, de Médicomage etc.. Bref, si tu es interessée, tu peux t'y inscrire (vu que ton personnage à 18 ans).
Il te suffirait juste de modifier légèrement ta fiche pour l'adapter (mais je te rassure pas de la changer complètement, ne t'inquiètes pas^^)

Voilà, bien sur je te laisse le choix.

Sinon je peux aussi te valider ta fiche pour que tu joues un adulte, comme tu l'as demandé.

Dis moi ta réponse!
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyJeu 9 Aoû - 14:26:25

Bien le bonjour et désolée pour le retard de ma réponse mais j‘ai été très prise par mes vacances ( paradoxe ^^ )

J'arrive toujours au bon moment....

*Intense Réflexion*

Alors étant donné que les joies de la vie estudiantine ne me sont pas inconnues en irl je vais épargner ce lourd fardeau à mon perso ( du moins pour le moment :p ) et la lâcher directement dans le cruel et prédateur monde adulte Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyJeu 9 Aoû - 15:03:05

Bienvenue Absy :sifle:
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyJeu 9 Aoû - 23:12:03

Arg ! Les aurors ne savent-ils donc pas lire ou c’est une volonté affichée d’irriter les nerfs tendus à se rompre d’une pauvre demoiselle ? Mad

Je crois qu’il devient urgent de rectifier cette vue défaillante, reste à savoir comment... Twisted Evil

Merci by the way ^^
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyDim 12 Aoû - 19:17:10

Bonjour,
Alors, ton rang d'occultiste a été ajouté. (J'avais lu Occuliste la première fois... Je comprends mieux avec OcculTiste... Boulet repéré! )

Bref... Je voudrais savoir si tu souhaitais que l'on te fasse un forum pour toi avec ta boutique, ou si le fait de créer ton topic sur le chemin de traverse te suffirait. En effet, je ne sais pas exactement ce que tu recherches et comment tu veux jouer ton personnage.

Tiens moi au courant. Merci. Very Happy
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyDim 12 Aoû - 21:15:10

Occuliste pourquoi pas, c'était pile dans le ton des précédents mess postés en plus... niarkhéhé

Alors alors...je pense plutôt me faire un topic en fonction des besoins rp ( il m'en faut peu ^^ ) sinon j'ai peur de virer essentiellement en marchande et la pauvre ne tiendrait pas longtemps si la clientèle joue les raz de marée. na

Merchi d'avoir proposé, c'était plus que ce que j'espérais Very Happy
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford EmptyLun 13 Aoû - 6:41:27

Oki, tu peux donc commencer à jouer. Wink Je pense que tu as déjà tous les accès nécessaires.

Bon jeu. Wink
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MessageSujet: Re: Jezabel Wilford   Jezabel Wilford Empty

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