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 Dialogue avec les morts [Mégane Decircée]
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MessageSujet: Dialogue avec les morts [Mégane Decircée]   Dialogue avec les morts [Mégane Decircée] EmptySam 21 Juil - 12:54:46

« Quand vous prendrez le deuil d'une prompte jeunesse,
Et que vous sentirez les doigts de la vieillesse
De jours d'or et de soie, hélas ! Brouiller le fil ! »


Lena observait le crépuscule montant. C'était beau un crépuscule. Elle avait été émerveillée par la vue de celui qu'elle avait découvert dans sa marche solitaire. Elle venait parfois, fatiguée, se posant un moment au pied d’un arbre, s'endormant parfois avec, se recroquevillant similairement aux bourgeons et attendant le lendemain paisiblement pour à nouveau s'étirer et faire clore toutes ses fleurs.

Puis s'arrêtant là et contemplant l'étrange tableau qui s'effaçait derrière elle, elle se demandait encore comment tout cela avait pût arriver. La nuit était presque venue, tombant comme une cendre fine. Elle voyait la forêt, les bois d'arbres verts dont les troncs minces et droits semblaient sortir de la nappe dormante et qui prenaient, à cette heure, des apparences de colonnades. Les grands feuillages confus formaient de larges tâches noires à l'horizon. Il y avait là, derrière ces taches, une lueur de braise, un coucher de soleil à demi éteint qui n'enflammait qu'un bout de l'immensité grise. Ce grand morceau de ciel, sur ce petit coin de nature, dégageait un frisson, une tristesse vague. Un linceul d'ombre commençait à envelopper le Domaine, tandis qu'elle ne s'en trouvait guère loin. Lena éprouva une singulière sensation de désirs inavouables, à voir ce paysage qu'elle ne reconnaissait plus, cette nature si artistiquement sauvage, et dont la grande nuit frissonnante faisait un bois sacré, une de ces clairières idéales au fond desquelles les anciens dieux cachaient leurs amours géantes, leurs adultères et leurs incestes divins.

Et de là, elle marcha, sans s'arrêter, inépuisable et solide jusqu'à l'endroit de toutes les peines. Une brise étrange s’élevait au dessus du cimetière, un vent poignant, qui saisissait de frisson la jeune verte et argent. Les yeux baissés sur les pans de son écharpe qui flottait vaguement à travers ce souffle, elle réfléchissait. Pensive, le cimetière était certainement le meilleur endroit pour se recueillir. Des sentiments refoulés apparurent vaguement sur le visage de porcelaine de la jeune vipère.

Les mains dans les poches, le nez enfouit dans son châle aux couleurs de sa maison, ses cheveux ébènes ondoyait, s’emmêlant en un ballet aérien. Seuls ses grands yeux émeraudes restaient découverts, bien que cachés de temps à autres par sa chevelure agitée. Un long manteau la couvrait, tandis qu’elle admirait le paysage singulier du cimetière. Son échine se redressa quand une rafale la poussa vers celui-ci, ramenant ses cheveux sur son visage pâle.

La lune, tout en haut, se découpait dans un ciel sombre. Et, tout autour, les étoiles scintillaient en une cadence parfaite. Chaste auréolée de ses divines compagnes, la Dame d’Argent reflétait ses nuances ivoirienne sur la peau de la Serpentarde. Lena préférait amplement la nuit au jour, et pour cause, c’était le moment le plus beau de la journée. Souvent insomniaque, elle se promenait, à l’insu du couvre feu, dans les endroits déserts et calmes environnant le château. Et c’était exactement ce qui s’était passé ce soir là.

Empreinte d’une mélancolie saisissante, elle s’était dirigée, sans trop le vouloir, vers ce lieu de dernier repos. Le grillage de ce dernier s’ouvrit sous la pression de la main de la vert et argent dans un bruit fracassant. Un tumulte désagréable à l’oreille, proférant une impression de malaise à la jeune fille. Que faisait elle donc ici ? Ah oui, elle se recueillait…

Une fois la porte de fer forgée passée, elle s’approcha des nombreux caveaux familiaux. Puis, posant la main sur un de ceux-ci, elle sourit. Celui de ses ancêtres n’était pas ici, puisque, un coin du parc du domaine était consacré ainsi. Comme lui avait toujours répété son père « Tu naîtras dans ces Terres et tu y mourras… ». Pas très gai comme pensée, mais c’était un honneur que d’être enterrée là bas, juxtaposée à des Sang Purs illustres.

Lena secoua légèrement la tête pour chasser ses pensées morbides. Efleurant une dernière fois du bout de l’émail de ses ongles le caveau couvert de marbre sombre, un flash back de sa mère s’afficha soudain dans sa tête, images incontrôlables et accablantes à son goût. S'avançant parmis les tombes, caveaux familiaux et pierrettes décorées de fleurs, Lena finit par tomber sur la tombe de sa famille. Stephanie FIELD, Morte de la Fièvre des Trolls, 1954 - 1988. Lena n'y croyait que peu à cette excuse. En tous cas, elle s'efforçait de ne pas y croire. Alors elle admira, silencieuse, le tombeau de sa mère.


* * * * * * *


L’air était chaud. Il remuait doucement les fines herbes des champs entourant le domaine familial. C’était en plein été et la Nature semblait festoyer, affichant ses divines couleurs à travers les tiges blondes. Lena tenait la robe de sa mère par un pan tandis que Kim elle, courrait, une coccinelle au bout du doigt. Puis, s’arrêtant, sa mère s’assit entre les herbes granuleuses. Les racines de blés étaient à leur apogée et la cueillette aurait bientôt lieu. Mais du temps, leur mère leur avait proposé un petit pique nique ici, avant de voir arriver l'automne, qui précédait la saison préférée de Lena, l'hiver. Doux manteau de soie blanche, épais confort, amatis de flocons et poudre glacée.

Lena se rappelait encore de cet instant, ce moment où, contemplant sa mère, elle se rendit compte qu’elle ne lui ressemblerait sans doute jamais. Aussi, jetant un œil à sa sœur, âgée d’à peine un an de moins qu’elle, elle s’empourpra passagèrement. C’était sa copie conforme, blonde aux yeux bleus, chaleureuse, belle… Quand, tout à coup, elle sentit quelque chose sur le bout de son nez. C’était le doigt de celle que quelques minutes plutôt, elle observait. Souriante, une douceur particulière se dégageait de sa personne.


« Et bien Lena, tu ne dis rien ? »

Que dire en cet instant. Le rouge de ses joues jalouses se transforma en quelques instants en un vermillon de gêne. Relevant la tête vers sa mère souriante, rayonnante de vie. Comment pouvait elle se douter que trois jours plus tard elle disparaîtrait dans les flots de l’oubli. A ce moment, même si la raison lui en était toujours inconnue, elle se jeta dans ses bras et se laissa faire sous les caresses de sa mère qui emmêlait ses cheveux, les replaçait dans un mouvement délicat.

* * * * * * *


Lena revint à elle-même. Maintenant, cette femme était partie. Depuis bien longtemps. Et elle ne pensait plus à elle. Du moins elle essayait de s’en persuader. A sa mort, elle s’était renfermée tandis que sa sœur s’était épanouie dans son souvenir. Lena s’était rapprochée de son père, s’adossant au travail et s’intéressant plus particulièrement aux formes sombres de la Magie, se doutant que son père en était un fervent adepte. Mais jamais elle ne se serait douté, qu’il faisait lui aussi, partit des admirateurs secrets de Voldemort. C’était bien un de ses serviteurs, mais elle ne se l’était jamais avouée avant cette lettre…

« Quand tout vous fera mal, et le bonheur des autres,
Ces plaisirs enivrants qui ne sont plus les vôtres,
Tout, jusqu'au souvenir ? - Que vous restera-t-il ? »
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MessageSujet: Re: Dialogue avec les morts [Mégane Decircée]   Dialogue avec les morts [Mégane Decircée] EmptyJeu 26 Juil - 23:09:50

Les derniers rayons mielleux du soleil couchant ondulaient au loin, ondes dansantes de la fin du jour sur l’horizon de braises. Et tant dis que l’Etoile Maîtresse se retirait, digne, telle une reine des temps jadis, la Lune Altesse prenait place sur le trône, sursis de l’ombre, domaine de la nuit. Souveraine immaculée, son visage opalin veille sur le monde endormit, et berce les enfants au creux de son croissant lunaire…

Un vent séducteur venait chatouiller les branches des arbres, réveillant en sursaut les feuilles somnolentes et, en grand Casanova, invitait les plus téméraires d’entres elles à danser une douce valse, avant de les laisser choire sur le sol et s’en aller quérir de nouvelles cavalières.

Nombre d’entre elles s’étaient laissées mourir sur le marbre grisâtre des tombes du cimetière, non loin du collège Poudlard, formant un épais manteau mordoré, sinistre linceul.

Hormis le gloussement des conquêtes de l’Alizé magicien, aucun bruit ne venait troubler leur chorégraphie nocturne. L’une des danseuses, fort ambitieuse, voulu sans doute prouver qu’elle était la plus fine ballerine. Mais à trop se vanter, le vent jalousa sa compagne et l’envoya valser ailleurs. Sur le nez de Mégane, entre autre.

Ses longs cheveux blancs s’accordaient à merveille avec les rayons argentés de la Lune. D’un pas léger, le petit lutin vagabondait, les pans de sa cape caressant vicieusement les volutes vaporeuses d’une brume épaisse qui donnait aux lieux une ravissante touche d’épouvante.

Il allait de soit qu’il n’était plus l’heure de sortir. Et encore moins dans un endroit pareil, cela étant… Mégane s’en contre-fichait. Quelqu’un pour en douter ?

A vrai dire, tout ceci était planifié. Cette excursion nocturne avait été prévue à l’avance, travaillée, et ce dans les moindres détails durant plusieurs semaines. Chaque soirs, elle avait coché une case de son calendrier, se rapprochant de jour en jour de cette fameuse nuit de Mars, qu’elle avait soigneusement entouré d’une encre qui clignotait d’un vert flashy à souhait. Oui, car c’était là une nuit très spéciale.

Non, ça n’était pas son anniversaire. Non, ça n’était pas l’anniversaire d’un défunt quelconque qu’elle aurait connu et qui aurait été enterré ici bas. Ca n’était pas non plus un rendez-vous galant, ni les funérailles clandestines d’une tierce personne. Mais elle devait y être, cette nuit là, et pas une autre nuit. Pourquoi ? Et bien…


Citation :
Potion Hémora

Potion de type Magie Noire classée dans la catégorie E des substances illicites. Provoque chez celui qui en bois une soudaine et violente transpiration composée de sang. La victime saigne du nez, de la bouche, des oreilles, des yeux, ainsi que de tous les orifices du corps humain, y comprit les pores de la peau. Et ce, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Affreux à souhait, n’est-ce pas ? Non, bien entendu qu’elle n’avait pas déniché cette petite merveille dans un manuel scolaire, ni même dans un des livres de la bibliothèque de Poudlard… pensez-vous ! Elle avait toujours son précieux grimoire, cadeau de Lucius Morden, son fidèle ami Mangemort, bien qu’elle ignorait toujours sa fonction et merci pour elle car à supposer qu’elle l’apprenne un jour –bien qu’elle ait de lourds doutes à ce sujet…- y’en a un qui ne serait pas content. Et elle finirait très certainement à l’autre bout d’un éclair tout vert. Oui car, évidemment qu’elle refuserait de se ranger à ses ordres.

Ah, ça vous en bouche un coin hein ? Une Serpentard qui n’a pas l’ambition secrète de devenir un jour un puissant Mangemort, être le larbin de service d’un homme serpent qui fait sa loi en se prétendant le mage le plus puissant du tout les temps…

C’était surtout avec ce point là qu’elle n’était pas d’accord. Personne ne peut prétendre être le meilleur du monde, car viendra un jour où quelqu’un sera encore plus fort. Et Mégane avait l’intime conviction qu’il existait bien des sorciers qui, un jour, seraient capables de rivaliser avec le Seigneur des Ténèbres. Et puis, même si sa cause était justifiée, ses méthodes restaient barbares. Oui, les Moldus ne servaient à rien, ils passaient leur temps à s’entre-tuer et à détruire. Ils sont bêtes, méchants, primitifs et mesquins. Mégane le savait bien… Pour des raisons qui lui étaient inconnues, elle avait vécu comme l’une d’entre eux pendant plusieurs années, ignorant qu’elle était sorcière, plongée dans un sommeil magique lui faisant croire qu’elle n’était qu’une simple moldue qui lisait dans des livres les aventures d’un petit sorcier du nom de Harry Potter, avant de se réveiller quelques jours avant sa rentrée scolaire, pour s’apercevoir que ce monde décrit dans les livres était bel et bien réel… Et qu’il s’agissait en fait d’un compte rendu de ce qui se passait chez elle, afin qu’elle ne soit pas trop dépaysé lors de son Réveil.

Toutefois, agire comme le Lord le faisait, c’était s’abaisser à leur niveau. Faire preuve de tant de cruauté, ça n’était pas digne de la sorcellerie… Mais bref, passons. Nous nous écartons du sujet.

Dans ce grimoire, donc, se trouvait nombre de recettes de potions classées dans le registre de la magie noire. Elle demandaient, pour la plupart, un niveau assez élevé en potions… La réalisation de ces philtres n’était pas à la portée de n’importe quel alchimiste en herbe. Toutefois, Mégane était parvenu à en préparer quelques unes, notament une potion défensive qui l’avait sortie d’affaire plus d’une fois. Une potion qui, lorsque l’on brise le flacon, libère des vapeurs acides…

Mais la magie noire laisse des traces. Sur ses bras blancs et le dos de ses mains l’on pouvait apercevoir des taches laiteuses, cicatrises des brûlures occasionnées suite à l’évaporation de cette potion, un soir où elle avait eut à se défendre dans l’Allée des Embrumes. Elle y serait d’ailleurs passée si elle n’y avait pas croisé, par hasard, ce jeune Mangemort ma fois bel homme qui d’ailleurs lui avait soigné les bras. Elle ne connaissait même pas son nom…

Cela ne l’avait pas arrêté pour autant. Avide d’en savoir plus, elle s’était mise en tête de concocter cette potion d’Hémora, avec toutefois quelques modifications personnelles. Il s’agissait ici d’un poison… Mégane voulait en faire une potion Défensive, dans le même style que l’Acidite.

Entrait comme ingrédient pour cette préparation 8 grammes et un tiers de chaire nécrosée, recueillie sur le corps d’une femme morte à exactement 52 ans de la date de préparation de la potion, un soir où la lune atteindrait son dernier croissant.

Et c’était précisément cette nuit. Et maintenant, après avoir passé deux pages word à vous expliquer pourquoi elle s’était retrouvée ici, peut-être que je pourrais entrer dans le vif du sujet, qu’en dites vous ?

Nous en étions donc au moment où la ballerine verte était entrée en collision avec le nez de Mégane. Et nous ne parlons pas d’un petit rat de l’opéra hein, non, non, ici nous avons carrément la valse des Eléphant, oui, celle la même orchestrée par Camille Saint Saëns dans le Carnaval des Animaux… Mais version verdure cette fois. Oui, car mine de, la feuille ne lui recouvrait pas seulement le nez mais aussi tout le visage, de telle façon à ce que la jeune vert et argent ne puisse plus voir où elle mettait les pieds…


« Greu…nom de greu de chez greu, tu vas partir, saleté ? »

La tige lui rentrant dans le nez, la troisième année ne pu refouler une espèce de gloussement nerveux. Ca gratte, et ça chatouille…Le nez, c’est très sensible.

Raide, un peu comme un piquet, elle attrapa le légume agresseur et le décolla du bout des doigts. La mine revêche, elle renifla avec dédain avant de faire un pas en avant et de…

… s’étaler lamentablement comme une pauvre mer… crotte, sur le sol, ce qui projeta sa baguette magique au loin…


« Oh non… pas ça… »

Et si… Un petit éclair bleu lui indiqua que la baguette avait atterrit au sommet d’un grand arbre, un peu plus loin. Arbre dont les feuilles, d’ailleurs, ressemblaient méchamment à celle qui lui avait fait du free hugs quelques instants auparavant.

Les sourcils ne formant plus qu’une barre horizontale au dessus de ses grands yeux verts, la Serpentard marcha jusqu’à l’arbre et entreprit de récupérer sa baguette… Elle essaya toues les méthodes. L’Accio à mains libres, mais sans résultat… Ordonner à sa baguette en toutes les langues (ou presque) de revenir sinon elle comptait jusqu’à 3 et ça barderait… en vain. Sauter sur place, le bras tendu vers la branche sur laquelle son amie de bois était posée, essayant de l’attraper au vol sachant que Mégane mesure un peu moins d’un mètre 52… Ridicule. Il ne lui restait donc plus qu’une solution…


« Si tu ne viens pas à Mégane, c’est Mégane qui viendra à toi ! En garde, bout d’bois ! Je m’en vais escalader cet arbre et t’y arracher, de gré ou de force ! »

La langue pincée, la jeune fille prit appuis sur le tronc dont l’écorce était passablement abîmée, de telle façon à ce qu’elle puisse se hisser assez facilement à hauteur de la première branche.

« Rhaaaa j’vous jure, c’qu’il faut pas tout faire pour inventer une satanée potion… j’ai intérêt à la réussire, celle la ! Huuu, ce que j’aime pas grimper comme ça là haut… rhaaa et pi avec ce vent, les branches bouuuugent… Purée, y’a un seul arbre dans tou le cimetière, y’a fallut que ça tombe dessus, la prochaine fois j’irais dans la forêt interdite et j’trouverais ma baguette enfermée dans un caveau… Ah… ah la voilà ! Je te vois, baguetteuh… viens voir maman…oui, voilà, c’est ça…. J4TE TIEN ! Haha !! Bon, maintenant bah…. Faut redescendre, hein… bon, alors, je pose mon pied là et… zut, j’y arrive pas, c’ »tait plus simple pour monter dites donc… et… et si je mettais ce pied ci ici ?… ah…aaaaaah nooon, c’était pas une bonne idée ça, non, gentille branche, gentille, ne craque pas… si tu craques, je serais pas contente….AH !!T’AS CRAQUE !! Vilaine branche, vilaine ! Tu vas avoir la fesséAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRGGGG !!!!»

BOUM !

« Aïe…»

[HRP : vraiment désolée du retard, et aussi de la médiocrité de ce RP qui fait pâle figure comparé au tien.... en espérant que ça te plaise tout de même...]
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