La mort à la porte ( suite des escaliers de la mort)

Décidément, la jeune professeur attrait les ennui. Dans son cours, deux jeunes hommes c'était retrouvés ici suite à une bagarre et maintenant, ça. Vraiment, c'était à croire qu'Aurora attirait les malheurs...

Et puis l'infirmerie ne lui avait pas manqué, long de là...

Elle arriva quelques secondes après Malia avec l'élève dans les pommes (ou proche du verger…)

En la faisant flotter grâce à un sort, elle l'avait amené jusqu'à l'infirmerie sans trop de tracas. Les escaliers avaient cessé d'être capricieux et l'avaient laissé se rendre jusqu'ici sans anicroche.

Elle déposa sa jeune charge sur un lit et s’empressa de donner des ordres à la jeune Gryffondor en panique.

Miss Racine, il faut vous calmer, asseyez-vous sur un lit car en panique, vous ne m’êtes pas utile. Vous allez boire un bon verre d’eau et ensuite, vous irez me chercher des compresses d’eau froide, je ne sais pas trop ou elles sont et je ne veux pas la quitter, dit-elle en pointant la jeune Brooke.

Elle prit sa cape rouge dont elle ne se séparait que rarement (lorsqu’elle n’avait pas de cours). Elle prit aussi sa baguette et entreprit de couper un bout de sa cape pour faire une compresse ( de base). Elle le fit.

Elle prit son bout de cape déchiré et l’apposa sur la tête de l’élève.

Elle dit à Malia qui cherchait les compresses de plutôt lui trouver de quoi fermer la plaie…(potions, point de suture, plantes, etc.…). Bien que ce ne soit pas son domaine, Aurora avait tout de même des bases de premiers soins sorciers.

Étrangement, Aurora remarqua que la pièce était baignée par le soleil qui dehors régnait. Il régnait d'ailleurs une chaleur douce dans la pièce malgré l'ambiance de la pièce.

**Après avoir soigner la jeune, il faudrait que je demande au deux
élèves ce qui c'était passé...**

Brooke était encore sur le trone rose du monde des Bisounours, aimée, et chérie par tous les habitants de Bisouville ... Mais, il fallait que le monde réel vienne encore la déranger .... Brooke se sentit alors soulevée du sol froid des escaliers qui ne bronchaient plus, seuls quelques grésillements arrivaient à l'oreille de la pompette. Comment aurait pu croire que ce soit encore Sinistra, la prof d'astronomie, qui soit menée à emmenée une blessée à l'infirmerie ?? Mais cette fois c'était plus grave, c'était BROOKE !! Le petite ange aux yeux verts avaient ses deux billes toujours fermés, elle les faisait cligner quelques fois, prouvant qu'elle était en vie.

Malgré ses yeux toujours fermés, elle devina le soleil qui rougit la noireté de sa vue (bah les yeux fermés on peut pas voir autre chose). Elle sentit alors l'infame odeure de la javel sorcière, et des médicaments douteux. Malgré son innactivité, elle devina où elle était vraiment. Elle devina alors la voix chaude d'une prof, car dans ses moments là, on est plutôt content d'être près d'un adulte. Brooke avait mal, mais c'était supportable par apport au début. Une grande fraicheur abondante se psa délicatement sur son front, ce qui lui fit le meilleur bien du monde ... Elle voulait se réveiller, ouvrir ses fichus yeux qui dédaignaient répondre aux ordres du cervaux.

*Ouvre-toi !! S'il-te-plait !! Allez, après, la nuit je les fermerais pendant 12 heures !! On est quel jour au fait ?? Euh ... Quelle heure ?? Nan, je sais qui je suis .... Oui je sais NON JE SAIS PAS !! *

Paniquant intérieurement, elle n'arrêta pas de jesticuler de droite à gauche. Pourquoi ne voulaient-ils pas s'ouvrir ?? Pourquoi elle ne se souvenaitde rien ?? Si, mais non !!!

Malia était arrivé en trompe dans l’infirmerie peu avant l’Enseignante, elle avait eu le temps de prendre une mini pause et était allé prendre un verre d’eau pour faire descendre le goût amer des événements. Peu de temps après, Brooke entra, lévitant et à son tribord Madame Aurora; cette dernière semblait bien s’en tirer avec le sort de lévitation et la grande blonde était presque qu’étonné de la voir faire ce tour de main. Après tout, c’était une prof et elle devait sûrement être doué, sinon elle ne serait pas là. Lorsqu’elle lui dit de prendre un verre d’eau, celle-ci hocha la tête car elle avait encore besoin de prendre une pause avant que les opérations commencent sur Brooke. Elle la voyait, maintenant étendue sur le lit et ne savait plus trop quoi penser de cette histoire. Mode survie était maintenant dans sa phase critique autant que l’était l’autre Gryfondor.

-Uhm, ça vas aller maintenant.

Malia observait ses bandages de fortune s’écarter pendant que la prof nettoyant le peu qui restait des saletés de la plaie. Comme, elle l’avait remarqué plus tôt, c’était une vilain plaie mais elle était nette, et le sang tarit par son bandage imperméable avait tenu bon et contrait les flots de sangs à s’arrêter. Elle se gratta la tête, avant de fouiller un peu partout pour des bandage. Il n’y avait jamais d’infirmière ici? Du moins, c’était l’impression frappante qu’elle avait à chaque fois que des malheurs lui arrivaient. On aurait dit que quelqu’un avait déserté pour laissé tous les médicaments et les lits à l’abandon. Une chance qu’il n’y avait que rarement des blessés graves : en fait des blessés très grave!!! Dans un tiroir en dénicha des long morceau de tissu propre et net qu’elle apporta au professeur en un tour de main. Puis comme elle cherchait quelque chose qui pouvait l’aider, elle apporta le livres des sortilèges et des médicaments qui trônait sur le comptoir central de la salle.

-Je crois que ça pourrait servir.

Puis comme dernière geste rapide, elle trouva un petit saut qui était également net avant de la remplir d’eau et de l’apporter jusqu’au chevet de son amie. Malia maintenant le visage calme et sans émotions regardait la scène comme si elle n’en faisait plus partie. Assise de l’autre coté du lit, elle prit la main de son amie, la serrant juste un peu pour essayer de lui donné de la force.

*Allez Brooke, je ne désire pas que ce soit notre dernière mésaventure! *

Hum, vilaine plaie. Pendant que la prof nettoyait la plaie, la jeune Malia avait trouvé un livre de sort qui ma foi serait bien utilie. elle feuilletta les pages à la recherche d'une réponse à leur problème. elle trouva bien un sort pour ce genre de cas, mais elle ne se risquerait pas à un novueau sort maintenant. donc, elle se tournerait vers les méthodes moldues. elles étaient moins rapides mais plus sûr pour le moment. Elle prit les bandages de fortunes les rinca et entreprit de faire des bandages serrés. Elle regarda les bandages qu'elle avait fait et fut bien contente de voir que ses bandages avaient bien été faits. Elle entreprti ensuite de réveillé la jeune élève. Encore la, elle utlisa les méthodes moldues. Elle mouilla la figure de la jeune et pressa sur ses trapèze (c'est sensé faire mal après tout et la douleur réveille (supposéement)).

Elle observa les réactions de l'élève en espérant qu'elel se réveillerait.

Malia releva la tête vers l’enseignante.

-J’ai déjà nettoyer la plaie comme vous pouvez l’avoir remarqué et j’ai fait en sorte qu’il y ait une pression constante sur la plaie et que le sang ne puisse s’en échapper. Mais pour le reste, je ne m’y connaît pas vraiment.

La jeune fille bien que très inexpérimenté avait utilisé sa jugeote et avait fait en sorte que la plaie ne se vide pas, du moins, pas entièrement. Elle regardait la scène comme si elle avait été à l’extérieur et sans un mot, elle glissa ses mains glacés derrière la nuque de sa comparse de Gryfondor. Cela avait toujours marché avec elle, sa mère le faisait lorsqu’elle était encore une gamine. Profond souvenir qu’elle chérissait comme une perle qu’elle eut cueillie elle-même.

-Brooke, ouvres-les yeux.

Un ton calme et doux se glissait sinueux entre ses lèvres et que de paroles suaves et rassurantes. Si elle avait peur maintenant qu’elle ne voyait que ce que lui offrait à loisir ses yeux, elle serait décuplé lorsqu’elle verrait la plaie qu’elle avait sur la tête. Malia rit doucement, en soulevant la tête de son amie, comme elle l’aurait fait d’un bébé qu’on veut replacer correctement dans son landau.

-Regarde-moi.