Bachelard avait à son actif un bon nombre de passion. Parmi lesquelles on lui connaissait l’histoire de la magie, la botanique et les vertus des plantes ainsi que la matière moldue portant le nom de philosophie. Cependant depuis un certain temps le vieux professeur Bachelard avait fait la connaissance d’une matière, dont ses connaissances étaient des plus restreintes, la divination dont une doctrine particulière l’intéressée fortement. Cette matière peu connue des élèves de Poudlard faisant bien souvent l’objet d’une inhibition, dû certainement au refus de la connaissance lors du choix en troisième année. Cependant et malgré le peu de retour qu’avait le professeur Bachelard sur cette matière, il savait qui l’enseignait.
Bachelard avait rencontré dans un hasard total, une femme d’un certain âge, plutôt bien conservé, la cause certaine était l’excès de thé vert, semblant avoir une connaissance des mystères du monde magique. En effet, lors d’une grande journée d’exposition d’objets insolites, les deux Individus avaient eu un coup de foudre pour une théière très ancienne et un instrument divinatoire caché sous un voile dont se dégager de l’intérieur une fine fumée brumeuse, d’une couleur rose fuchsia, ayant apparemment appartenu à une illustre sorcière de la famille des Serdaigle. Ces objets étant en vente, le professeur dans sa grande bonté et galanterie avait laissé, l’honneur plaisante sorcière, d’une première offre, le professeur Bachelard par la suite s’empressant de faire une offre plus importante pour emporter l’enchère.
Sa malignité lui avait valu la théière, cet instrument divinatoire et une forte et intéressante discussion avec cette jeunette. Il avait découvert qu’elle donnait beaucoup plus de devoirs à ses élèves que Sigmund. Cependant elle lui avait avoué, durant la journée, après avoir mainte et mainte essayer de racheter par l’argent et par les sentiments l’instrument divinatoire de Bachelard, que la jeune et brillante Hermione Granger l’avait choisit comme professeur préféré. Après une journée passée ensemble, ils avaient décidé de sortir un peu et de se retrouver aux trois balais, pour parler comme la plupart des sorciers connaissant Poudlard et les matières enseignées là bas, d’ élèves, de l’enseignement, de l’éducation et plus général de la magie et de son monde. Ce rendez vous amical était fixer aux trois balais, où Sigmund et cette mystérieuse inconnus avait une passion commune, une tendance à l’hédonisme, dont les buts de vie les plus communs, comme l’amitié, la conversation, les plaisirs de la table, un corps en bonne santé ou encore l’ataraxie, une vie sans trouble étaient mis en avant.
Bachelard arriva donc dans le bar, attendant passivement et patiemment, arrivait de sa nouvelle collègue, dont bon nombre de mystères planaient encore…