Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

Partagez
 
 Les années du Mal partie 2 (depuis la 3ème année jusqu'à...)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
  • Akiko Velon
    • Nombre de messages : 715
    • Age : 32
    • Date d'inscription : 08/10/2010

    • Pensine
      Statut sanguin: Sang- Mêlée
      Baguette magique: Bois d'olivier, crin de licorne, très souple, 17 cm
    Akiko Velon
  • Préfète de Serdaigle
MessageSujet: Les années du Mal partie 2 (depuis la 3ème année jusqu'à...)   Les années du Mal partie 2 (depuis la 3ème année jusqu'à...) EmptyLun 11 Oct - 18:13:35

Titre de ta nouvelle : Les années du Mal, Partie 2

* Présentation de l'histoire : Akiko Velon, une jeune élève de Griffondor des années avant l'intrigue d'Harry Potter, continue ses études malgré tous les ennuis qui se trament autour d'elle, entre sa baguette un peu particulière et un chat encore plus étrange, alors que de terribles drames s'enchainent...

Puis les années passent, mais le passé n'est jamais bien loin... et la jeune adulte devenue Auror doit protéger son ancienne école d'un danger obscur, à la demande de son ancienne professeur de Métamorphoses,et encore inconnu, tout en assurant sa couverture comme professeur remplaçant de métamorphose, second de Mac Gonnagal. Parviendra-t'elle à élucider ce qu'il se trame avant qu'il ne soit trop tard

* Protagonistes : Dans la partie élève, peu de monde si ce n'est l'équipe professorale (Dumbledore, Mac Gonnagal, les élèves, ect.), et dans l'autre partie, Harry & co dans un alternate universe où ils refont leur septième année.

* Catégorie : Xème année de un ou plusieurs élèves à Poudlard (à partir de la sixième année) puis Post-Poudlard (pour Akiko)

* Genre : Action/Aventure, Dramatique, Tragique.

* Nombre de chapitres : indéterminé encore (en cours)

* Complet : non

ps : Partie en 1 en totale réécriture.

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Résumé Partie Un : Fille de parents de sang-pur qui toutefois ne vivent pas avec des préjugés, Akiko Velon a intégré Poudlard à ses onze ans, s'y fait une excellente meilleure ami, Tymothy Jyler, Griffondor elle aussi. Les deux jeunes filles mènent ensemble des études honorables en dépit de quelques mauvais coups de certains rivaux, mais lors de sa troisième année, Akiko apprend l'assassinant de ses parents par les mangemorts récidiviste. Bouleversée par ce drame, elle redouble ses efforts pour accroitre ses pouvoirs et ses connaissances de la magie et des dons de sa baguette ancienne pourvue d'un poil de licorne ailée et dorée aux mystérieux pouvoirs, avec l'aide de sa meilleure amie, entre heures de cours, devoirs et bons temps avec les camarades de classe. Mais alors que la jeune adolescente atteint ses dix-sept ans, la situation va encore plus sombrer pour elle, et un allié imprévu va se dévoiler...
Partie 2 Chapitre 1 :

Tout se passait pour le mieux cette année là : je retrouve ma chère Tymothy Jylee, mon amie depuis le début de ma scolarité à Poudlard. Mais tout bascule en l'espace de quelques semaines d'avant la Toussaint. Avec mon amie, et aussi le soutien constant de mes camarades de maison, j'avais pu dépasser la peine de la perte de mes parents l'année dernière, et je n'étais honnêtement pas prête à une deuxième perte. Bref. Depuis un certain temps, Tym et moi, comme nous nous ennuyons de certains cours, avions décidé envers et contre tout d'apprendre à devenir des animagi, sans prévenir les autorités magiques. Et pour cela, nous nous réunissons en fin de journée au seuil de la forêt interdite, dans un endroit déserté par tous. Ce soir là, nous allons vers la dernière phase de l'initiation du sort des animagi, et sommes bien déterminées à conclure nos trois années d'efforts impitoyables. Alors que je m'apprête à quitter en douce ma chambre, mon chat, Salem, réagit de manière étrange. Lui, d'habitude si solitaire et fuyant ma compagnie dès qu'il le pouvait (bien qu'il ait un peu changé depuis le décès de mes parents) cette fois-ci me retient par la manche de ma robe de sorcière, une lueur inquiète dans son regard d'or pur. Souriante et touchée, je lui flatte la tête, entre les deux oreilles, et me dégage en douceur de sa prise :

- Allons Salem... je serais vite de retour... tu sais très bien que je suis la prudence incarnée !

Oui, j'ai la curieuse habitude de parler à mon chat comme un être humain, mais c'est parce que j'ai le curieux sentiment qu'il n'est pas un chat normal, ce que certaines de ses réactions me poussent à confirmer. Mais il a ses mystères, et moi les miens. Par exemple, je ne lui ait jamais parlé de ce projet. D'un air calme et détaché, je ne prends que ma baguette magique, et erre dans les couloirs, à contre-courant des masses d'élèves regagnant leurs dortoirs. Je me prépare à aller vers l'extérieur quand une voix sage et des plus redoutées m'arrête net :

- Miss Velon, je m'étonne de vous voir aller vers l'extérieur à cette heure tardive.

Glacée jusqu'à la moelle, je me retourne lentement et fais face au directeur-même de l'école, le bien connu et respecté Dumbledore, dont le regard espiègle masque l'autorité ferme et juste, ainsi qu'une puissance incomparable. Fort heureusement, ma réputation d'élève modèle et un devoir de botanique tombé à temps viennent à mon secours. D'un air très humble et ennuyé, je réponds avec modestie :

-Veuillez m'excuser, professeur Dumbledore, mais j'ai besoin d'extrait de « rosalia lucia » pour un devoir que je dois rendre au plus tôt, je dois absolument en prendre aujourd'hui ou je risque d'oublier. Je vous en prie, professeur, je serais de retour avant le couvre-feu.

J'ignore s'il a accepté ou non mes justifications, mais une étrange lueur brille à travers ses lunettes en demi-croissants, alors qu'il me rétorque avec douceur et fermeté :

- C'est curieux, miss Jyler avait le même soucis. Vous lui tiendrez compagnie comme cela. Mais attention, soyez à l'heure, et n'allez pas au delà des zones autorisées, ou de grands dangers risqueront de vous rejoindre...

Je le remercie avec une immense gratitude, bien que je devine qu'il soit très méfiant. Je n'en attends pas moins de notre directeur du reste ! Évitant Rusard, je rejoins mon amie au point fixé, veillant à ne pas être suivie. Mon amie m'accueille avec le sourire aux lèvres :

- Heureuse de voir que tu as réussis à passer Dumbledore ! Nous devons terminer ce soir, j'ai peur qu'il ne commence à se douter de quelque chose...

- Et le professeur Mc Gonnagal ne nous le pardonnerait jamais,- j'ajoute avec quelque inquiétude.

Mon amie et moi nous hâtons au travail, alors que l'heure tourne. Nous allions enfin essayer de faire fonctionner l'enchantement quand un froid terrible et anormal s'abat tout près de nous. Cessant alors notre activité, nous nous emparons de nos baguettes avec fermeté. Tymothy me glisse d'une voix blanche :

- Je n'aime pas cela... c'est mauvais signe... nous devrions rentrer !

Mais je sens les auras de nos ennemis mystérieux toutes proches, et rétorque à mon amie d'une voix que je veux calme :

- Trop tard... ils sont déjà là... prépares-toi, Tym !

Tendues, au dos à dos, les bois semblent trembler autour de nous. Le silence de mort seulement troublé par le craquement de branches. Puis ils surgissent tout à coup devant nous : quatre silhouettes encagoulées de noir, aux visages non distinguables, leurs baguettes pointées sur nous. Puis tout à coup un sort interdit, que je reconnais comme « endoloris », se jette sur nous, accompagné de ricanements glacials. D'une même voix, mon amie et moi levons le sortilège de « protego maxima », le plus haut bouclier à notre niveau. Puis nous nous retrouvons séparées, et nous battons longuement, face à des ennemis inévitablement plus forts que nous. C'est alors que je hurle à mon amie en concentrant les attaques sur moi :

- Cours chercher des professeurs pendant que je les tiens ! Vite !

Elle semble hésiter à me laisser seule, puis finalement se résout à consentir à ma demande. Elle commence à courir quand une voix terrible qui me glacera toujours murmure :

- Avada Kedavra

Je blêmis aussitôt, connaissant trop bien ce sortilège interdit qui avait eut raison de mes parents, et ses effets mortels. J'essaye d'avertir mon amie, mais cette dernière n'a pas le temps de réagir que le jet vert la touche de plein fouet, arrachant à ses lèvres un cri que je n'oublierais jamais, de pure terreur. Sous mes yeux effrayés elle s'effondre à terre, sur le dos, les bras en croix, le teint morbide. Épouvantée je me dégage de mes ennemis et accoure vers elle, la secouant avec force :

- Tym, non ! Pas toi, non !

Les autres ricanent et forment un demi-cercle autour de nous, moi enserrant avec peine le corps de mon amie, les yeux emplis de larmes. La voix glaciale me lance avec machiavélisme :

- C'est ton tour à présent... tu nous avais échappé... tu vas y rester...

Les yeux vides, je suis terrifiée. Je sais que rien ne peux parer un sortilège impardonnable. Je sais que je vais y passer. Comme mon amie. Seigneur, on aurait dû rester au château ! Mais qui alors aurait prévenu cette intrusion mages noirs ? L'un des mages, au signal du leader, pointe sa baguette vers moi et dit :

- Endoloris !

Mon corps se contorsionne alors de douleur pure, alors que je ne peux contenir un cri de complète souffrance. Ils veulent « jouer » avec moi avant de me tuer. Charmant... comme ils l'avaient fait avec mes parents... je vais donc les rejoindre. Et Tym... Longtemps ils renouvellent leur sort, longtemps je hurle à pleins poumons, pourtant consciente que nul ne viendra nous sauver : c'est le risque à prendre des escapades nocturnes... au moins échapperais-je à la terrible sentence de notre directrice de maison... je commence à faire des adieux silencieux à tous ceux que j'avais connu. La douleur commence à me gagner. Le sang coule à flot, je le sens. Vais-je vraiment mourir ? Je commence à perdre espoir quand une voix indéniablement masculine retentit avec force, inconnue pour moi :

- Non ! Dégagez, sales chiens de votre cinglé de mage noir !

Curieusement, quelque chose atterrit à mes côtés, tandis qu'une intense lumière dorée me force à ouvrir les yeux. De ma vision très floue, je vois une silhouette quadrupède grandir et prendre forme humaine. Pourquoi me semble t-elle aussi familière ? La lumière dorée persiste, tandis que les sorts semblent être déviés. J'en déduis donc que mon mystérieux sauveur a invoqué un bouclier informulé remarquablement puissant. Et sa voix profonde est tout aussi puissante que son sort ;

- C'est lâche de vous en prendre à des proies plus faibles que vous, et de surcroit en surnombre !

Le bouclier est toujours là, même si les autres semblent augmenter leur fréquence d'envoi de sorts. L'inconnu se tourne alors vers moi, et je ne peux distinguer que des mèches noires, un visage fin très flou. Je ferme alors les yeux face à la douleur, et il me saisit par les épaules en me secouant avec force :

- Ah non, tu ne me lâches pas, hein ! Tu n'as pas intérêt à périr ici, Velon !

Tiens, il connait mon nom ? Mais moi je suis certaine de ne pas le connaître... j'ouvre alors les yeux, sans avoir une meilleure vue. Je n'arrive pas à déchiffrer les expressions de son visage, ni à le distinguer clairement. Je sens qu'il m'a posé sur ses genoux, et je devine qu'il inspecte mon état lamentable. Puis je ne peux retenir des larmes muettes devant le drame que j'ai vécu. J'entends sa voix gronder étrangement :

- Bande de saletés... vous allez le payer très cher ! Oh que oui, je ne vais pas vous laisser vous en tirer comme cela après avoir nuit à la seule personne qui m'est proche !

Encore un fait nouveau : il connait, et assez bien il se trouve. Mais qui diable peut-il être ? Mais la douleur emporte encore cette tentative de raisonnement. Il ne prononce pas de mots, mais je sens son incroyable puissance se déferler sur les agresseurs, comme un ras-de-marée magique. Les ennemis prennent la fuite, mais la voix glaciale renvoie alors :

- On se reverra, espèce de gêneur... et ce jour là nous te ferons ta peau ainsi que la sienne !

J'entends mon sauveur rétorquer avec une voix emplie de menace :

- Vous touchez à un seul de ses cheveux... je vous réduis en cendres !

Ils disparurent, et le bouclier doré s'efface. Je me sens soulevée dans des bras puissants, mais ne peux contenir mes larmes de douleur et de chagrin. La voix inconnue se fait alors maladroite et rassurante :

- C'est bon, ça va aller, tu es dans de bonnes mains... je vais t'emmener en lieu sûr, tiens bon !

Alors je perds connaissance, trop bouleversée par la perte soudaine de mon amie, et la douleur de mes blessures me submergeant complètement...

L'étrange sorcier est inquiet quand il sent sa jeune protégée s'affaisser dans ses bras, et il s'empresse alors vers la tour principale :

- Ohé, je t'ai dis de ne pas me lâcher ! On y est presque...!

Revenir en haut Aller en bas
 Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Miroir du Riséd :: Hors-Jeu :: Vos créations :: Fanfictions-