Nom : Rowlands.
Prénom : Peter.
Age en HJ : 16 ans.
Statut du sang du personnage : Sorcier simple.
Comment avez-vous connu le forum : Par google.
Un vent froid et fort balayait le quai de la gare, ce qui n’était pas rare en cette période de l’année. Il n’était pas rare non plus de voir se bousculer sur le quai 9¾ des centaines de personnes. Après tout, c’était le jour de la rentrée. Une foule, pas comme les autres, attendait quelque chose apparemment. Pourquoi « pas comme les autres » ? Pour la simple raison que cette foule n’était composée que de sorciers et sorcières. Parmi eux, se trouvait des parents et des enfants. Et parmi ces sorciers, sorcières, parents et enfants, se trouvait la famille de Rowlands. Elle était composée de trois personnes : Mr Rowlands, un employé du ministère. De Mme Rowlands, une brillante guérisseuse de l’hôpital Ste Mangouste et de Peter Rowlands l’unique enfant de la famille.
Celui-ci attendait avec ses parents ce que chaque enfant qui se trouvait ici attendait. La venue du Poudlard-Express qui devaient les emmener vers une des plus grandes écoles de sorcellerie du monde, nommée Poudlard. Ce lieu, Peter en avait souvent rêver. Une école où il apprendrait des tas de choses comme concocter des potions, lancer des sorts. Mais ce qui l’intéressait le plus, c’était de visiter tous les recoins de l’école. Parce que selon les dire, il y avait beaucoup de passages secrets.
Mais l’atmosphère dans laquelle le jeune garçon se trouvait était loin de celle qu’il avait imaginé à maintes reprises. Dans ses rêves, Peter se voyait, souriant, faisant de grands signes de la main à ses parents qui eux aussi souriraient à pleine dents. Au lieu de çà, Peter avait droit à des visages déformés par l’inquiétude. Peter connaissait les raisons de l’anxiété de sa mère. C’était le fait que l’ancien directeur avait été assassiné à l’intérieur même de l’enceinte du château. L’idée que le tueur courait toujours et que son fils n’était pas en sécurité la terrorisait. D’ailleurs, Elle ne devait pas être la seule mère à éprouver cela.
Peter, lui, n’avait pas particulièrement peur de cela. Bien sûr, il ne voudrait pas se retrouver en face de la personne qui avait tué le célèbre Albus Dumbledore. Mais d’après lui, il y avait peu de chance que le tueur revienne sur le lieu du crime. De toute façon même s’il revenait pourquoi voudrait-il tué un petit blondinet de onze ans qui n’a rien fait.
Pendant qu’il réfléchissait, le regard de Peter s’était perdu au loin, lui donnant un air idiot.
-Il y a quelque chose qui ne va pas Peter ? demanda Mme Rowlands.
-Non, çà va, répondit Peter. Je vais bien.
Pas convaincue, sa mère se pencha pour l’examiner plus attentivement mais Peter détourna la tête.
-Ca suffit, je t’ai dit que j’allais bien !
Il s’éloigna d’un mètre d’elle. Distance de sécurité. Peter adorait sa mère mais détestait qu’elle le prenne pour un de ses patients et qu’elle l’examine comme s’il était maboul. Il pensa avec satisfaction qu’une fois à Poudlard, il n’aurait plus à subir çà.
Quelques minutes plus tard, le Poudlard-Express arriva en gare. C’était leur des « Aurevoir ! ». Avant de monter dans le train, Peter serra sa mère, qui avait des larmes aux yeux, dans ses bras malgré leur pseudo-dispute et serra la main de son père. Celui-ci avait un léger sourire en coin. Un très léger. Mr Rowlands ne montrait que rarement ce qu’il ressentait, une caractéristique que son fils n’avait pas car comme sa mère, Peter sentait les larmes lui monter aux yeux. Prenant bien soin de ne pas ciller, le jeune sorcier monta avec ses valises dans le train. Après un dernier signe de la main, il s’enfonça dans le couloir du train...
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Peter avait apprécié le voyage en train, en tout cas plus que celui en barque sur le lac. Il était resté cramponné au bord de la barque et avait bondit de celle-ci quand elle était arrivée sur la rive.
Il attendait maintenant avec les autres « première année » dans le hall d’entrée, devant les portes de la grande salle. Il trépignait d’impatience, alors que d’autres ne bougeaient pas, pâles comme des zombies. Après quelques minutes de patience, les portes s’ouvrirent de la grande salle s’ouvrirent. Elles tournèrent lentement sur leurs gonds en produisant un léger grincement. Peter fût l’un des premiers à entrer. Malgré les nombreuses fois où sa mère lui avait décrit cet endroit, Peter ne pût s’empêcher d’être émerveiller par ce spectacle. Quatre gigantesques tables étaient alignées. Une pour chaque maison. Le plafond était une représentation miniature du ciel, à l’extérieur. Peter et ses camarades furent accueillis par des acclamations, ce qui renforça la joie du blondinet.
Le cortège de premières s’avançà jusqu’à un professeur, qui se trouvait sur une estrade. Il avait à ses côté un tabouret et tenait en main le Choixpeau magique.
Après un petit discours, le professeur commença à appeler, un à un, les élève de première pour qu’ils se fassent répartir. La répartition...Peter n’y avait pas beaucoup réfléchit. Il se demanda dans qu’elle maison il allait être envoyé. Sa famille étant grande, chacune des maisons avait sûrement eut des Rowlands.
Serpentard avait eut son grand-père, Peter en était sûr. Peter se souvint qu’un jour, son grand-père l’avait emmené dans une boutique pour y acheter des bricoles. Sur le comptoir, il y avait des bonbons. Son grand-père, jaloux que la vendeuse en ait donné à Peter mais pas à lui, avait mis le feu au magasin. Profitant de l’inattention de la vendeuse, il avait plongé sa main dans le bocal et en avait sortit une poignée de bonbons.
-Je n’ai pas fait exprès de mettre le feu, disait-il à Peter, un léger sourire fourbe aux lèvres.
Un sourire qui s’était effacé lorsqu’il avait remarqué avec horreur que la plupart des bonbons qu’il avait « volés » étaient des dragées surprise et qu’ils avaient presque tous le goût « crotte de nez ».
Peter sourit en se souvenant de cela. Il préfèrerait quand même que ses camarades ne soient pas tous comme son grand-père. En y réfléchissant bien, les maisons qui l’intéressait le plus étaient Gryffondor et Serdaigle. Le courage ou la sagesse, deux caractéristique que Peter pensait avoir en lui. En plus, le bleu et le rouge étaient des couleurs qui lui allaient particulièrement bien.
Peter ne put réfléchir plus longtemps car son nom fut enfin cité. Il alla s’asseoir sur le tabouret et attendit que le professeur dépose le choixpeau sur sa tête. Lorsque celui-ci entra en contact avec sa tête, Peter ferma les yeux, attendant avec impatience le verdict final...
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Sujet: Peter Rowlands (Poufsouffle) 
