Nom : Slughorn
Prénom : Horace E.F.
Age de votre personnage : 103 ans
Poudlard / UMA
Poste souhaité: Professeur de potions et directeur de Serpentard

Age du posteur (en HJ) : 16 ans
Comment avez vous connu le forum? : Partenaire et ravi d'être sur ce forum !

Deux jours. Cela faisait pile deux jours que Horace Slughorn avait accepté un pari fou : revenir à Poudlard afin d'enseigner la matière dont il était le maître : les potions. Tout cela s'était passé en si peu de temps que Horace n'avait réalisé que maintenant les changements que cela entraînerait pour lui. Mais il subsistait quelques petits avantages comme celui de ne plus être cherché par les mangemorts dont le chef était l'un de ses anciens amis et l'autre de ne plus changer de maison chaque semaine même si celle-ci était très confortable. Cette maison de moldus était tout à fait fonctionnelle et le mobilier laissait à penser que les moldus qui habitaient cette demeure de Budleigh Babberton étaient des gens relativement aisés. Après tout, n'était-ce pas cette famille qui était partie au Canaries ? De plus, ce village était assez agréable à visiter car il était dans un style très typique de l'Angleterre du XIXe siècle. Les maisons en toit de chaume ou en tuile et les colombages faisaient de cet endroit une charmante bourgade. Donc, les petites vacances d'Horace se passaient jusqu'à il y a deux jours normalement mais un soir sans crier garde, pendant que le professeur dégustait quelques mets appréciables et lisait un exemplaire de la Gazette des Sorciers, il entendit le bruit du portail de la maison s'ouvrir. Dans la précipitation, il répandit du sang de dragon dans la maison, rangea quelques affaires, et d'un coup de baguette, il changea la maison en véritable chantier. Les meubles étaient cassés, le papier peint vert et rose était fortement détérioré et Horace eut juste le temps de se métamorphoser en un fauteuil moelleux de couleur claire. En effet, le maître des potions était également un véritable maître de la métamorphose.

Et sans surprise spéciale, il vit apparaître un visage dans l'espace sombre du salon qui avançait, baguette à la main. C'était son vieil ami Albus Dumbledore qui voulait sans aucun doute demander à Horace de revenir à Poudlard. Il était suivi d'un jeune garçon qu'il ne reconnut pas immédiatement. Albus toucha le plafond où des gouttes de sang tombaient lentement sur le sol et le goutta. Il esquissa un sourire dès que le liquide toucha sa langue. Il avança confiant envers le fauteuil moelleux et pointa fortement sa baguette sur le fauteuil, donc sur la hanche d'Horace. Ce dernier n'eut que le temps de se dé-métamorphoser. Sa tête sortit du fauteuil en s'exclamant d'un « Par la barbe de Merlin ! ». Il était donc revenu à sa forme normale : petit, un ventre proéminent, chauve et portant une grosse moustache de morse blanche sur un visage malicieux. Il était en tenue de coucher. Un pyjama de grand-père bleu sous une robe de chambre rose brodée à la main avec ses initiales brodée de couleur or. Il fit la rencontre d'un garçon très intéressant : monsieur Potter. Les deux patriarches rangèrent la maison et le professeur dit à son ami :

«Ce sont les mesures de sécurité. Les mangemorts cherchent à me recruter. Tu les connais, on ne leur dis pas non éternellement. Voici donc où je vis pendant cette semaine. A ce propos, je sais pourquoi tu es là. Et la réponse est formelle. Non !»
«Très bien. Puis-je aller aux commodités ? Je t'emprunte ce modèle de tricot»

Horace acquiesça. Il se retrouva donc face à Harry et l'emmena voir les portraits qu'il avait, posé sur une étagère. Il lui présenta sa mère sur les portraits en lui expliquant qu'elle était sa meilleure élève. Il lui présenta également certaines personnalités mondaines telles que Barnabas Cuffe, Regelus Black et bien d'autres relations que le vieil homme possédait comme dans une collection. Albus revint dans le salon et invita Harry à partir. Déçu, Horace dit au directeur :

«Eh bien, Albus... Tu ne restes pas un petit peu ?»
«Tu sais, je sais avouer quand une cause est perdue. C'est dommage, j'aurais bien voulu te revoir à Poudlard. Tu es un des professeurs les plus représentatifs»
«Euh...»

Horace se sentit penaud. Les deux convives sortirent de la maison. Mais le professeur ne les laissa pas partir. Il accepta l'offre en négociant une augmentation. Son ami l'avait encore eut. Qu'il était doué. Il y avait un bon côté : il pourrait redonner vie à son célèbre club dont il s'attirait tout le mérite. Et voici le comment du pourquoi que les valises d'Horace étaient prêtes. Il sortit de sa maison, jeta un coup d'œil sur sa montre à gousset en argent et quitta la demeure moldue...

Deux jours plus tard...

"Plop"

Le physique corpulent et étriqué d'Horace apparut dans un jet de lumière blanche en plein parc de Poudlard. Le temps d'automne commençait à apparaître. L'herbe était sèche, les feuilles commençaient à se ternir, le soleil tapait un peu moins fort qu'en plein été mais cela ne déplaisait pas plus au professeur qui aimait son confort et qui était assez casanier. Pour lui, marcher dans le parc et effectuer quelques cinq cent mètres était un effort. Il regrettait sa jeunesse lorsqu'il était jeune et vigoureux, plein d'ambition et d'une inconscience plaisante envers ceux qui l'entouraient. Mais aujourd'hui, il n'en était plus à ce point là. Son cheveux blonds était tombés et une grosse moustache et des dizaines de kilos étaient apparus. Ces derniers étaient dûs à la nourriture riche que consommait Horace. Des ananas cristallisés, le chocolat ainsi que le bon vin. Il avait d'ailleurs emporté dans les valises qu'il portait une bouteille d'un vieil armagnac qu'il allait faire goûter à quelques amis et collègues de l'école. Fatigué de porter ses valises, il les déposa sur l'herbe, s'essuya le front avec un mouchoir en tissus de couleur lila, brandit sa baguette dont il avait apprit dans sa vie à manier avec brillo et fit léviter ses valises. Il remit sa baguette dans une poche à l'intérieur de sa veste. Ses valises se déplacaient en même temps que lui avançait. Et c'est avec ça qu'il se sentait fier. Fier de ces petits enchantements quotidiens qui faisaient de lui un sorcier accompli à l'instar de Adalbert Lasornette ou Quentin Jentremble mais sûrement pas de mages comme son ami Albus Dumbledore. Epuisé par tout ces efforts, c'est avec un soulagement qu'il passa la grande porte massive de bois qui donnait sur le hall d'entrée où une grande statue de bronze représentant l'actuel directeur était dressée. Les portes de la Grande Salle était à la droite de Horace mais ce n'est que dans quelques heures qu'il aurait le droit de les passer, afin d'assister à son premier festin. Albus avait tenu sa parole pour que le vieux professeur puisse être dans l'ancien bureau du professeur Galatea Têtenjoy à la place de la vieille cabane avec du papier peint qu'on lui avait donné dans le temps passé.

Malheureusement, il y avait un seul petit problème : l'étage où se trouvait ce bureau. Il se trouvait au septième étage. Encore des escaliers ! Si seulement on pouvait transplaner dans l'enceinte de l'école de magie. Mais pour pouvoir poser son opulent corps. Arrivé au quatrième étage, il sentait quelque chose dans ses jambes. Ou plutôt, il ne sentait plus rien. Il était véritablement épuisé par toutes ces marches et ces corridors qui formaient un labyrinthe qu'on ne puisse traverser qu'avec un corps de jeune homme vif et non avec celui d'un homme légèrement plus âgé et quelques kilos en plus. Mais le temps de penser à tout ces petits tracas, Horace était arrivé à bon port. Il poussa la petite porte qui ouvrait son bureau (même si Horace n'avait pas raison de la trouver si petite) et il entra dans une pièce vaste et magnifique. Quelques poussières à enlever et le mobilier du professeur installé, on pourrait trouver cette pièce superbement bien décorée. Horace posa ses valises, posa sa sacoche en cuir de dragon à côté du bureau dont les dorures cachaient le bois de chêne qui avait été utilisé pour fabriquer cette œuvre qui datait du milieu du XIXeme siècle.

Lorsque tout fut fait, les vêtements élégants quelque peu vieillis étaient dans l'armoire du professeur, les paires de chaussette soigneusement rangés dans les tiroirs du bas et les cadres de ses chouchous d'antant posés sur les étagères à côté de son espace de travail, le maître des potions pouvait se détendre avant la cérémonie de début d'année. Et pour ceci Horace n'avait mangé que quelques chocolats et de pâtes de fruits afin de pouvoir avaler quelques denrées. Il ne fallait pas non plus trop manger avant un repas ! Sept heures tapantes, le professeur s'était vêtu très élégamment pour ce premier repas. Lui qui était assez superstitieux avait prit soin de poser une patte de lapin sur son buffet afin de lui porter chance. Il descendit par la porte arrière et arriva dans la Grande Salle par la porte des professeurs. Il avait en face de lui les quatre grandes tables
mais malgré son estime porté pour les autres, il en soutenait particulièrement une, Serpentard. Sa véritable maison. Il s'assit donc et la salle se remplit peu à peu.

Tout compte fait, Horace était finalement ravi d'être revenu. Il était à côté du professeur Bachelard et du professeur Rogue, ancien professeur de potions et ancien élève de Horace. Assis, ses pieds ne touchaient pas le sol. Il toucha sa moustache de morse en savourant une crème glacée succulente. Le directeur se leva et commença son discours habituel. Et ce fut le moment le plus délectable lorsqu'il dit :

«Pour sa part, le professeur Rogue assurera les cours de défense contre les forces du mal»

Des étonnements, des déceptions et des surprises traversèrent la salle mais le directeur continua tout de même :

«...Donc, le professeur Horace Slughorn assurera de nouveau le cours de potions»

Et c'est avec modestie que le professeur s'applaudit et salua certains élèves. Une nouvelle année commençait...

Bonsoir !

Alors comme promis sur la shoot, j'ai lu ta fiche plus en détail, et j'en arrive exactement à ce que je t'avais dit à première vue : il n'y a aucun souci pour être pris, tu as sans conteste le niveau. Néanmoins, Slughorn est un rôle particulier, et nous sommes plus exigeants sur les postes sensibles : bien écrire est nécessaire, sentir le perso est indispensable. Et pour le coup, tu nous rejoues la scène pile poil comme dans le film...

J'aimerais donc que tu complètes ta fiche par une tranche de vie "inédite", que tu peux tout à fait choisir. Simplement, il faut que tu nous montres que tu maîtrises le caractère du personnage et que tu sauras lui donner vie en dehors des sentiers balisés par les livres ou le film...

Ah, et tant qu'à faire, petite précision, sur le forum, Chourave a été remplacée pendant plusieurs année par Sigmund Bachelard, étant souffrante...

Voilà, je te laisse éditer ta fiche, préviens-nos quand c'est fait en postant à la suite
Bonne rédaction !

Voilà, j'ai développé un peu le milieu pour définir le caractère d'Horace.

Ton ajout me va... Je te fais confiance et te confie le rôle, mais il va falloir assurer, car d'autres postulants sont à la porte !

Je change ton pseudo, pense à afficher rapidement un avatar

EDIT : tu as les droits de modération dans tes sections pour t'organiser, pense juste qu'on ne supprime aucun RP, on archive tout
Je suis en train de te cleaner le cours pour attribuer les points de ton prédécesseur, tu auras le champ libre ce soir...

Merci Page !