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 Maladresse du 4 octobre
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  • Ennis B. Lufkins
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    • Date d'inscription : 20/07/2009

    • Pensine
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      Baguette magique: Bois Aulne, 25,5cm, contenant poussière de fantôme, flexible. Excellente pour la métamorphose
    Ennis B. Lufkins
MessageSujet: Maladresse du 4 octobre   Maladresse du 4 octobre EmptyMar 13 Oct - 2:33:59

* Titre de ta nouvelle : Maladresse du 4 octobre
* Présentation de l'histoire: Elle n'était décidément pas une personne matinale. Le cognard qui venait de la heurter en plein visage s'était chargé de le lui rappeller. Dire qu'en plus elle venait de blesser quelqu'un. Il faudrait peut-être s'excuser... Trop tard, néant.
* Protagonistes : Remus (Les maraudeurs) + OC
* Catégorie : Marraudeurs
* Genre : Humour/Romance
* Nombre de chapitres :6 (pour le moment)
* Complet : non

[ référence : http://www.fanfiction.net/~felicefelicis qui est (ne vous inquiétez pas) mon compte FF.net si ça vous tente de laisser des reviews Very Happy]

Je tiens a aviser que les premier chapitre date d'il y a deux un an et demi, et je vous rassure que la qualité de l'histoire s'améliore plus les chapitre avance :)

Bien à vooooooous !

Alors, voici pour mon plus grand plaisir la sympathique histoire d’une jeune Pouffsoufle qui n’as que les pieds dans les plats ! J’espère que vous aimerez, parce que moi je me suis bien marré à la faire !

Bien sur tout les droit son réserver a Mme JK Rowling

©️ Félice Burns – Vess – Émilien Dupont - Jumeau Graham et Loïc - Ethan - partenaire de chambre de Félice. M'enfin vous comprenez le principe!

Bon lecture les amigos !

ooo


Samedi 4 octobre

Félice Burns, voilà mon nom. Je suis une jeune dame Pouffsoufle de 6ème année, peu connue des gens, sauf pour ma maladresse légendaire… En ce moment, je suis en plein entraînement de Quidditch qui dure depuis déjà trop longtemps. Depuis près de quatre heures ce matin que nous sommes perchés sur nos balais! Il est maintenant sept heures et malheureusement pour mes coéquipiers, je n’ai jamais été une lève tôt. Donc depuis 4h30 mes yeux ne cessent de se fermer seuls. Peu pratique me direz vous, en effet, surtout lorsqu'on occupe un poste de batteuse et qu'on est lunatique.

Il ne reste plus que cinq petites minutes, n’abandonne pas ma Félice ! Je vois déjà la prochaine équipe à venir s’entraîner arriver, et s’installer dans les gradins. Ça me donne un peu espoir: bientôt je pourrai retourner à mon lit pour finir ma nuit de sommeil qui n’a pratiquement pas commencée...

Merde, un cognard ! Qu’est-ce que je fais …. Ah! Réveille Félice, frappe-le! Je le frappe donc, un peu trop tard à mon avis. Merde! Je perd l’équilibre! houlala... ça s’annonce mal! Je vois mon cognard frapper quelqu’un dans les estrades et revenir méchamment vers moi, ça va mal… Je n’ai toujours pas repris position sur mon balais, ça va plus que mal! Moi, mon balais à bout de bras et mes pieds pendant dans le vide, ne sommes pas en très bonne posture. Vite Féli, vite! Réfléchit vite!

Trop Tard, Néant


Jeudi 9 octobre

Il pleut, la journée est morne et sans intérêt. Un vent fort balaye les feuilles des arbres et fait voler les robes des jeunes élèves qui se rendent à leur cours, téméraires. Le château est humide et dans les couloirs nous n’entendons que les reniflements des élèves enrhumés et exténués de leur semaine. Belle ambiance pour un réveil… Un œil a la fois, Félice daigne enfin se réveiller, au plus grand bonheur des deux grands yeux verts à quelques centimètres de son nez.

Sursaut, cri et douleur :

- AOOUUTCH, mais Vess ! Qu’est-ce que tu fais là ?!

C'était la meilleure amie de Félice. Vessela Minune, une roumaine qui s’était mis en tête de ne jamais lâcher d’une semelle son amie gaffeuse. Depuis leur première année à Poudlard, les deux jeunes filles étaient devenues inséparables. Adorant chacune les mauvais et les bons côtés de l'autre. Vess ne pouvait s’empêcher de se tordre de rire à chaque maladresses de Félice et celle-ci adorait écouter les longues et interminables histoires de la roumaine. Elles étaient, en bref, un duo parfaitement équilibré et pratiquement inséparable.

Bref, Vess lança un regard empli de sous entendu à son amie et ajouta sur un ton de reproche :

- Ce que je fais ma vieille, je te surveille parce que à ce que je vois, je ne peu même plus te laisser allez à tes entraînements de quidditch sans que tu ne réussisse à te blesser!! Tu te rends compte que ça fait 4 jours que je m’inquiète et que je regarde ton œil au beurre noir devenir de plus en plus... noir !

- Je n’ai pas fait exprès !! Tu sais très bien que ne pas dormir ne m’aide pas à être concentrée !

Vess secoua la tête, décidément Félice était irrécupérable :

- Tout de même ! Tu n’es pas la seule à être amoché de la sorte! Tu as bien faillit en défigurer un beau !

La jeune Pouffsoufle haussa un sourcil, d’un regard interrogateur elle demanda à son amie de poursuivre :

- Mais oui ! Tu sais… le cognard! Quand tu as perdu l’équilibre, tu l’as envoyé tout droit à travers la tête d’un garçon ! Tu sais, un beau Gryffondor mystérieux et séduisant…

- Heu… j’ai fait ça moi ? Merde, merde, merde! Mais c’est que j’ai réellement le don de me mettre dans la merde. Merde.

Félice continua de s’enfoncer dans son lit. Puis finalement l’infirmière surgit de nulle part, expulsa Vess en lui reprochant de ne pas l’avoir prévenue du réveille de la blessée et lui pria de retourner en cours car elle allait, de toute façon, être en retard. La Pouffsoufle, clouée dans son lit, regarda avec exaspération son amie quitter l’infirmerie alors qu’elle ne lui avait toujours pas dit qui le cognard avait attaqué. Des beaux mystérieux Gryffondor il n’y en avait certes pas beaucoup, mais tout de même quelques un…

Mme Pomfresh soupira en s’adressant a Félice :

- Ah! mademoiselle Burns, je devrais vous donner une carte d’abonnement et un lit avec votre nom tellement vous passez du temps ici !

L’infirmière ayant terminer son inspection, elle lui interdit de se lever, de trop bouger la tête, de... En fait, elle lui dit que si elle le pouvait, elle l’attacherait à un lit afin qu’elle bouge le moins possible. Félice haussa les épaules, ce qui réveilla une douleur qu’elle avait jusque là ignorée. Mme Pomfresh s’apprêtait à fermer le rideau de son coin et à partir lorsque Félice l’interpella :

- Pardonnez-moi Mme Pomfresh, mais pourrais-je savoir qui j'ai traîné avec moi ici ?

- Non Mademoiselle, ce n’est pas mon travaille à moi, lorsque Miss Minune reviendra vous lui demanderai. Et je vous interdit formellement de vous levez pour jeter un coup d’œil a côté.

Bien sur, vous vous doutez bien, braver l'interdit est tentant. Félice, plus que curieuse et mal à l’aise d’avoir ainsi défiguré quelqu’un par inadvertance, décida qu’il fallait tout de même qu’elle sache qui était ce jeune homme. Elle ne pouvait tout de même pas attendre toute la journée confinée dans son lit en attendant que Vess ou Émilien daignent se pointer le nez.

Émilien, quand à lui, fit la connaissance des jeunes femmes en première année aussi. Émilien Dupont, était un jeune Pouffsoufle lui aussi, légèrement complexé, mais avec une joie de vivre inébranlable et fascinante à la fois. C’est en 5ème qu’il avoua enfin à ses deux meilleures amies qu’il pensait être homosexuel. Après ce jour, leur amitié doubla encore d’intensité, si cela pouvait être possible, et ils passaient maintenant leur temps à regarder passer devant eux, secrètement, tout les plus beaux jeunes hommes de Poudlard.

Félice s’étira très lentement le cou, peut-être réussirait-elle à apercevoir son voisin de lit entre deux rideaux... Elle prit appui sur sa table de chevet et tenta de se redresser. Essai lamentable. Inutile de vous dire que la jeune pouffsoufle s’affala de tout son long sur la pierre froide du plancher de l’infirmerie. Tentant désespérément de se relever et n'y arrivant pas, Félice gémit de douleur et s’abandonna au sol, espérant que quelqu’un passe bientôt la relever, beaucoup trop gênée pour demander de l’aide. Elle en profita néanmoins pour essayer de regarder sous le rideau et ce qu’elle vit la choqua. Une paire de pieds chaussée uniquement de bas (terriblement laid soit dit en passant).

Malheureusement ou heureusement pour elle, Félice (qui était la subtilité incarnée), n’avait pas pensé qu'en levant le rideau pour regarder de l’autre côté, les occupants de celle-ci la remarqueraient assez rapidement. L’hilarité générale s’en suit.

Cela déclancha chez Félice un phénomène que l’ont nommerait ici de honte et gêne extrème. La jeune pouffsoufle, le nez toujours collé contre le sol, devenait de plus en plus rouge et pestait silencieusement contre elle-même, sa stupide curiosité et son don irréfutable pour se mettre dans l’embarras.

L’éclat de rire sonna l’alarme de Mme Pomfresh et celle-ci commença aussitôt à pester contre les troubles fêtes :

- PETTIGROW, POTTER, BLACK, taisez vous! Si vous ne pouvez rendre visite à Mr Lupin en silence alors! Je ne veut plus vous voir ici est-ce bien clair !? C’est votre dernière chance !

Les concernés se mirent donc à glousser en silence en pointant la pivoine qui servait de corps à Félice. L’infirmière suivit donc des yeux ce que pointaient les Maraudeurs et soupira en découvrant Miss Burns affalée sur le sol, le nez probablement frigorifié, en train de couler et les oreilles plus rouges que nature. Elle réfléchit une seconde puis lui dit d’un ton menaçant :

- Je devrais vous laisser là Félice Burns, pour avoir osé encore une fois faire à votre tête !

- Non, j’vous en pris madame, supplia Félice, dont l’on percevait à peine la voix

Elle tenta de gigoter un peu pour se déplacer mais cela réveilla son mal de dos. Pomfresh haussa les épaules.

- Non, je crois que vous passerez encore quelques minutes là... cela m’évitera de devoir vous ramasser des millions de fois, sachant très bien que vous vous retrouverez dans cette position à nouveau. C’est toujours la même histoire avec vous Miss Burns, vous le savez.

Après cette déclaration, l’infirmière tourna les talons et entra dans son bureau. Félice, ne voyant toujours pas ce qui se passait autour d’elle, commençait à rager. Puis un rire familié retentit derrière elle. Émilien pouffa de rire :

- C’est drôle, ma petite Féli, mais j’était certain que je te trouverais dans cette posture !

- Au lieu de rire, aide-moi! supplia Félice dont le son de la voix était toujours étouffé par les rires et le plancher.

Émilien se pencha et commença à la soulever quand James arriva et lança avec un sourire d’excuses :

- Attends, tu feras pas ça tout seul! Avec tout ce qu’elle trimbale sur elle pour qu’elle ne bouge pas, elle doit peser au moins le double !

- Déjà qu’elle est pas légère ! lança Émilien plus que mort de rire

- ÉMILIEN !! s’écria Félice qui commençait enfin à voir devant elle.

- Allons, s’esclaffa le jeune pouffsoufle, tu sais très bien que tu es la plus petite personne de 6ème que je connaisse !!

Les deux garçons la déposèrent finalement dans son lit et Félice soupira :

- Fait quand même moins froid ici !

Puis elle se tourna un peu vers James, de plus en plus rouge, le regarda rapidement et baissa les yeux :

- heu… merci …

- Ah, y’a pas de quoi ! Puis on doit toujours aider les gens qui nous donnent des fous rires, pas vrai? Allez bon, on va y allez nous, sinon Pompom va vraiment vouloir nous expulser à jamais de l’infirmerie! À un de ces jours !

James se tourna et dit au revoir à Remus, Sirius lui ébouriffa les cheveux et Peter lui fit un petit sourire d’excuses. Finalement, les trois maraudeurs sortirent de l’infirmerie James en tête, accompagner par Sirius, toujours hilare et suivit de près par Peter. Après leur départ, Émilien se retourna vers Félice et ferma le rideau :

- Alors, la belle au bois dormant décide enfin de se réveiller!

- Mais de quoi tu parles? Encore une de ces histoires de moldus j’imagine…

- Oui, bon... enfin! Tu m’expliques ce que tu faisais là, par terre, comme une limace séchée?

- Grmmf… Mme Pomfresh n'a pas voulu me dire qui mon cognard avait attaqué, alors j’ai voulu le trouver par moi-même et m’excuser. Au lieu d’attendre des millions d’années d’avoir de vos nouvelles, je me suis fait une petite mission! L'ennuie c'est qu'elle a complètement foirée... Au moins je sais qui j’ai attaqué maintenant!

- Ouais Francois-Jonh Junior, 2ème année Gryffondor!

- QUOI! Ce n’est pas Lupin…?

Émilien lui lança un regard empli de malice :

- Bah si, je voulais seulement voir ta réaction si ça n’avait pas été lui!

- Oh t’es pas marrant toi à la fin!

Finalement Émilien ne resta que très peu de temps. Avec toutes ces aventures, le temps avait vite passé et il était déjà l’heure du dîner. L’infirmière avait donc mit tous les visiteurs à la porte, prétextant que ses patients avaient besoin de repos.

Le reste de la semaine passa encore plus lentement que le premier jour. Félice recevait quelque fois la visite d'Émilien et de Vess qui lui tenaient compagnie, mais l’infirmière trouvait la jeune poufsoufle encore trop faible pour recevoir longtemps des visiteurs, et encore moins pour la laisser sortir du lit. Félice regardait donc de sa fenêtre les beaux jours d’octobres défiler sous ses yeux.

Puis un bon matin, alors qu’elle observait un groupe de Serdaigle se rendre à leur cours de soins aux créatures magiques, elle reçue une visite à laquelle elle ne s’attendait pas. Le jeune sorcier châtain entra lentement dans la petite chambrette, un jeu d’échec version sorcier à la main.

- Heum, pardonnes-moi... Je ne voudrais pas te déranger, mais je m’ennui un peu à rien faire… Je me suis dit que tu voudrais peut-être faire une petite partie d’échec contre moi, question de passer le temps…

Remus n’avait pas l’air très bien. Un œil au beurre noir faisait ressortir le doré de ses iris, il avait le teint pâle et un bras encore sous écharpe. Le jeune Gryffondor affichait tout de même un agréable sourire discret. Félice lui fit un sourire et l’invita à prendre place au bout de son lit, le regarda et déclara honteusement :

- Je suis vraiment, mais vraiment dis-je, désolée pour le cognard! Je t’assure que ce n’était pas du tout dans mes plans de t’attaquer et de te casser un bras… et la figure par la même occasion!

- Allons, n’en parlons plus et commençons cette partie, que je prenne ma revanche!

La Pouffsoufle fit un large sourire et acquiesça. Elle se retourna ensuite pour prendre son verre d’eau, mais ne réussi qu’à faire tomber deux de ses potions par terre… Félice soupira :

- Par tous les cafards écrasés ça ne cessera donc jamais…
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